Paris, Firmin-Didot et Cie 1894 In-4 27 x 17 cm. Cartonnage éditeur percaline havane, XI-367 pp., 26 gravures hors texte par Quesnay de Beaurepaire, table des gravures, table des matières.Cartonnage terni, accrocs en pied et en tête de dos
Reference : 121540
Histoire complète de la première guerre moderne marquée par l’utilisation du chemin de fer et de la marine à vapeur, l’usage de la photographie, la puissance du feu, l'apparition du télégraphe et l'emploi d'anesthésiques en chirurgie. Bon état d’occasion
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CENTRE EUROPEEN DE LA DOTATION CARNEGIE. 1930. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 22 + 20 + 19 + 22 + 22 + 20 + 24 + 19 + 20 + 18 + 20 + 16 + 23 + 19 + 22 + 20 + 22 + 22 + 22 + 16 + 20 + 20 + 23 + 23 pages - nombreux soulignements et annotation au crayon de papier et de couleur dans et en marge du texte - 1 tampon sur le 1er plat, page de garde, page de garde et de titre.. . . . Classification Dewey : 973-Etats-Unis
"le ""reglement europeen"" en 1815 - la ""conference"" en Europe - le systeme des Congres (1818-1823) - la doctrine de Monroe - l'independance grecque (1821-1832) - independance de la Belgique - la question egyptienne - la question de la Mediterranee de 1830 à 1846 - le probleme de l'Amerique Centrale de 1830 à 1860 - la question du Pacifique entre 1830 et 1850 - l'Europe de 1841 à 1848 - le mouvement des nationalites en 1848 et la question autrichienne - la revolution de 1848 la reaction - les origines de la Guerre de Crimée - la Guerre de Crimée (1) - les preliminaires de la Guerre de l'independance Italienne (1) - l'independance Italienne (1) - les mouvements nationaux en Europe Orientale (Roumanie, Grece et Pologne de 1856 à 1863) - la question de l'Amerique du Nord entre 1860 et 1865 - la question des Duches - le conflit Austro-Prussien - la France, la Prusse et l'Autriche d'Aout 1866 à Novembre 1869 - le origines immediates de la Guerre de 1870-71 (1) - la guerre de 1870-71. Classification Dewey : 973-Etats-Unis"
Bureau de la revue. Décembre 1987. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 144 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 355.021-Militaria
Sommaire : Dossier : actions extérieures, La guerre de Crimée : les transports par le capitaine de vaisseau Murracciole, La guerre de Crimée : les opérations par le capitaine de vaisseau Murracciole, L'hivernage mouvementé de la flottille du Bas Dniepr (1855-1856) par le capitaine de vaisseau René Guillemin Classification Dewey : 355.021-Militaria
Paris: J. Dumaine, 1867 in-8, 379 pages, 12 vues lithographiées, 1 portrait et un facsimilé en hors texte, 3 cartes dépliantes. Demi reliure toile, qq rousseurs autrement très bon état.
Souvenirs de la guerre de Crimée 1854 - 1856. (Paris: J. Dumaine, 1867). [M.C.: Histoire militaire, Guerre de Crimée]
Musée de Chantilly 1994 Catalogue de l'exposition des photographies de Fenton sur la guerre de Crimée - broché - non paginé ( 72 pages ) - Fenton fit 360 photographies en Crimée .
Bon
, , 1858. Cahier manuscrit (205 x 165 m) de (2)-151-(1) pp. à 23 lignes par page, table, demi-toile verte muette (reliure de l'époque).
Journal de campagne inédit du soldat L. Baron, débarqué dans la baie de Kamiesch le 30 septembre 1855. « Sébastopol qui jusqu'alors avait été le but principal de l'expédition était pris depuis le 8 septembre. La campagne semblait se terminer là ; mais l'Armée Russe qui avait occupé la ville, s'était rejetée en arrière et occupait le littoral depuis la baie du Carénage jusqu'à Simferopol. Leurs communications se faisaient difficilement, leurs vivres et munitions ne leur arrivaient qu'avec de grands obstacles à cause du passage étroit qui reliait l'armée avec l'Empire et la difficulté des transports ; les routes étaient obstruées par la boue et l'eau qui était tombée en abondance pendant le mois de septembre. Avec un effort vigoureux et quelques mois de campagnes on pouvait en poussant jusqu'à Simferopol enfermer l'ennemi entre la mer et notre armée. Là il eut été obligé de poser les armes, ou d'accepter une bataille où toutes les chances du succès étaient pour nous. C'est dans ce but que la 4e division du 2e corps de réserve, sous les ordres du Général d'Aurelle (Louis Jean Baptiste d'Aurelle de Paladines, 1804-1877 ndlr) reçut l'ordre de pousser en avant. Mon régiment faisait partie de cette division ». Parti sur le Jemmapes qui croisait en 1855 pour la deuxième fois en Méditerranée, le soldat encore loin du champ de bataille décrit les paysages traversés à la manière d'un récit de voyage depuis le bagne de Toulon qu'il visita avant d'embarquer jusqu'au détroit des Dardanelles, Constantinople, le Bosphore et la Mer Noire. Arrivé sur la péninsule avec les dernières troupes françaises pour pacifier la région après les grandes batailles, le soldat découvre « sur la rive gauche de la Tchernaïa la grande plaine où s'est livrée la bataille qui porte son nom (…) J'ai remonté la rivière depuis le pont de Kreutzene jusqu'à Sebastopol, on y voyait encore des cadavres réduits à l'état de squelettes (…) sur la rive droite se trouvaient les Russes et le plateau de Makensie". Il passe l'hiver 1855-1856 en mission avec le 2e de ligne dont il décrit les conditions de vie, l'alimentation, le prix des denrées, mais aussi les mises à sac des maisons russes, les travaux de fortification (camp d'Albat) ainsi qu'un aperçu des Alliés anglais, piémontais ou turcs ; Sébastopol et le camp d'Inkermann, Balaclava, le camp de Kadi-Koï achèvent son expérience de la guerre : « j'en ai vu assez pour connaître un peu le soldat russe chez lui (…) J'ai gardé un profond souvenir de cette visite dans un camp russe. C'est la seule et probablement la dernière fois qu'une pareille occasion s'est présentée ». « C'est au mois d'Avril que la paix fut annoncée officiellement ». Le traité de Paris avait été signé le 30 mars 1856. « Tout a bien changé d'aspect en Crimée depuis la ratification de la paix. On n'est plus du tout sur le pied de guerre, les travaux de défense ont cessé, l'armée ne reçoit plus de renfort ». Rentré en France au mois d'août 1856, Baron encore en activité rédigea ses souvenirs sur cette « année de ma vie qui sera sans doute la plus agitée et la plus remplie en événements ». Le manuscrit autographe est titré, signé et daté 11 octobre 1858, L. Baron. Une lettre autographe du même soldat en poste à Alger est jointe adressée à son oncle le 3 janvier 1861 pour lui annoncer son retrait de la vie militaire. Cartonnage défraîchi. Cachet ancien sur le verso du dernier feuillet de garde "Eugène Duval Librairie Rue des Barbiers, 16, Montreuil-sur-Mer". Témoignage inédit sur les derniers mois de la Guerre de Crimée depuis la prise de Sébastopol jusqu'au au Traité de Paris.