Henri Laurens éditeur, coll. « Petites monographies des grands édifices de la France » 1926 In-8 reliure éditeur souple 20 cm sur 13,5. 127 pages. Illustré d’un plan et de 33 gravures en noir et blanc, dont certaines hors texte. Bon état d’occasion.
Reference : 118018
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Lisieux, Typographie E. Piel, 1873 2 volumes in-4, [4]-11-[3]-DCLIII pp. et [4]-XXXI-415 pp., avec deux tirages photographiques d'époque contrecollés sur papier fort (portrait-frontispice de l'auteur, la cathédrale de Lisieux), et une carte dépliante en couleurs, toile grise, étiquettes de titre manuscrite (reliure moderne).
Edition originale, peu courante, de l'une des dernières monographies de Henri de Formeville (1798-1879), natif de Lisieux, même s'il fit toute sa carrière de magistrat à Caen.Oursel I, 370. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Lisieux, Émile Morière, 1899. 502 x 663 mm.
Grand plan de la ville de Lisieux lithographié en couleurs. Le plan a été dressé d'après le cadastre et d'après les plans réalisés lors de l'annexion à la ville de Lisieux de quartiers appartenant aux communes limitrophes de Saint-Jacques et de Saint-Désir, annexion décidée par décret du Conseil d'État le 24 mars 1875. Le plan montre en orangé la ville de Lisieux avant l'annexion, en vert les quartiers annexés. Saint-Jacques fut dépossédée de 129 hectares, Saint-Désir en perdit 38. Dans le même temps, la superficie de Lisieux fut triplée. Le plan est accompagné de 37 légendes numérotées permettant de situer rapidement les monuments et établissements publics, ainsi que l'usine à gaz et station d'électricité. Bon exemplaire. Quelques traces de pliures. Site de la ville de Saint-Désir, Brochure n° 2. Les limites de notre commune.
Lisieux, F. B. Mistral, Paris, Barbou, s.d. (1788) in-4, LXXIV-331-[9] pp., avec 5 tableaux dépliants, dont 3 "in fine", bradel papier rose (reliure moderne). Plat supérieur légèrement sali, mais bon exemplaire.
La généralité d’Alençon, qui prit le nom de Moyenne-Normandie, comprenait le département actuel de l’Orne et une partie de l’Eure et du Calvados. Elle se divisait en neuf élections, qui formèrent ensuite sept arrondissemens, Alençon, Bernay, Lisieux, Conches, Verneuil, Domfront, Falaise, Argentan et Mortagne. L’assemblée provinciale fut convoquée à Alençon, chef-lieu de la généralité, pour la session préliminaire d’août; mais elle exprima le vœu de se réunir à l’avenir à Lisieux, et la session de novembre s’y tint en effet. Le président de l’assemblée, M. de La Ferronnays, évêque-comte de Lisieux, fut sans doute pour beaucoup dans ce changement, qui devait faire de sa ville épiscopale le chef-lieu de la province. Lisieux avait, outre son évêché, de véritables titres à cette préférence; située au milieu de la partie la plus riche et la plus peuplée de la généralité, cette ville était en communication facile avec Paris, Rouen et Caen, tandis qu’Alençon, occupant le sommet d’une sorte de triangle, se trouvait loin de tout le reste. Le maire d’Alençon, M. Pottier du Fougeray, défendit les droits de sa ville, mais il ne put changer le vote.Frère II, 422. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Lisieux, F. B. Mistral, Paris, Barbou, s.d. (1788) in-4, LXXIV-331-[9] pp., avec 5 tableaux dépliants, dont 3 "in fine", basane fauve, dos lisse orné, roulette en encadrement sur les plats, tranches marbrées (reliure postérieure). Épid. sur les plats.
La généralité d’Alençon, qui prit le nom de Moyenne-Normandie, comprenait le département actuel de l’Orne et une partie de l’Eure et du Calvados. Elle se divisait en neuf élections, qui formèrent ensuite sept arrondissemens, Alençon, Bernay, Lisieux, Conches, Verneuil, Domfront, Falaise, Argentan et Mortagne. L’assemblée provinciale fut convoquée à Alençon, chef-lieu de la généralité, pour la session préliminaire d’août; mais elle exprima le vœu de se réunir à l’avenir à Lisieux, et la session de novembre s’y tint en effet. Le président de l’assemblée, M. de La Ferronnays, évêque-comte de Lisieux, fut sans doute pour beaucoup dans ce changement, qui devait faire de sa ville épiscopale le chef-lieu de la province. Lisieux avait, outre son évêché, de véritables titres à cette préférence; située au milieu de la partie la plus riche et la plus peuplée de la généralité, cette ville était en communication facile avec Paris, Rouen et Caen, tandis qu’Alençon, occupant le sommet d’une sorte de triangle, se trouvait loin de tout le reste. Le maire d’Alençon, M. Pottier du Fougeray, défendit les droits de sa ville, mais il ne put changer le vote.Frère II, 422. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Lisieux, Imprimerie de F. B. Mistral, Paris, Barbou, s.d. (1788) in-4, [2] ff. n. ch., lxxv pp., 331 pp., [4] ff. n. ch., avec 5 tableaux dépliants hors texte (2 réparés), déchirure au f. 45-46, sans perte de lettre ; en début de volume ont été placées les pp. 37-52 d'un autre texte relatif à l'assemblée de la généralité d'Alençon en août 1787 (édition d'Alençon, Malassis), broché sous couverture factice postérieure de papier bleu.
La généralité d’Alençon, qui prit le nom de Moyenne-Normandie, comprenait le département actuel de l’Orne et une partie de l’Eure et du Calvados. Elle se divisait en neuf élections, qui formèrent ensuite sept arrondissements, Alençon, Bernay, Lisieux, Conches, Verneuil, Domfront, Falaise, Argentan et Mortagne. L’assemblée provinciale fut convoquée à Alençon, chef-lieu de la généralité, pour la session préliminaire d’août; mais elle exprima le vœu de se réunir à l’avenir à Lisieux, et la session de novembre s’y tint en effet. Le président de l’assemblée, M. de La Ferronnays, évêque-comte de Lisieux, fut sans doute pour beaucoup dans ce changement, qui devait faire de sa ville épiscopale le chef-lieu de la province. Lisieux avait, outre son évêché, de véritables titres à cette préférence; située au milieu de la partie la plus riche et la plus peuplée de la généralité, cette ville était en communication facile avec Paris, Rouen et Caen, tandis qu’Alençon, occupant le sommet d’une sorte de triangle, se trouvait loin de tout le reste. Le maire d’Alençon, M. Pottier du Fougeray, défendit les droits de sa ville, mais il ne put changer le vote.Frère II, 422. Exemplaire de la municipalité de Maison-Maugis (Orne), avec ex-libris manuscrit. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT