éditions de l’avenir, coll. « Dessins » 1970 In-8 oblong reliure éditeur pleine toile écrue sous jaquette Non paginé. 23,4 cm sur 25,6. La jaquette est effrangée et présente plusieurs manques. Jaquette en mauvais état. Bon état d’occasion.
Reference : 115648
Avec une dédicace de Marek Halter. Lors des événements de mai 68, Marek Halter, écrivain français, réalisa des croquis montrant les brutalités policières. Bon état d’occasion
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Paris,Ad. Hue Imprimeur, sans date (1895) ; brochure in-8° de 30pp.,(1) pp. Illustré de 5 dessins en noir dans le texte.Couverture factice de papier crème. Le titre et la dernière pages sont salis et tachés,avectrès petit manque au titre. Trace de mouillure dans la marge interne des feuillets.Edition originale rare qui renferme : Avant-propos. Manifeste du 1er mai 1892. Manifeste au peuple de Marseille.Manifeste du 1er mai 1893. Manifeste du 1er mai 1894.
Protot, ancien avocat, ancien membre de la Commune, blanquiste, farouchement opposé aux guesdites et sociaux-démocrates, dirige contre la IIe Internationale et les socialistes allemands ( Bebel, Engels, Liebnecht et le "prussien" Karl Marx) une violente condamnation. Il dénonce, en tant que « socialiste indépendant » la décision qui avait été prise par la IIe Internationale (1889) et reconduite depuis : Fêter le 1er Mai, comme journée de revendication.Cette brochure renferme : Avant-propos. Manifeste du 1er mai 1892. Manifeste au peuple de Marseille.Manifeste du 1er mai 1893. Manifeste du 1er mai 1894.Eugène Protot est né à Carisey (Yonne) en 1839 et est mort à Paris en 1921.(CO2)
Reference : LCS-16337
Précieux exemplaire imprimé sur satin par Didot l’aîné. Paris, de l’Imprimerie de Didot l’Ainé, 1789. Placard in-folio imprimé sur satin. Le discours est surmonté d’une frise composée d’un quadrillage orné de petites fleurs, avec en son centre un médaillon orné des armoiries royales. De chaque côté, le discours est encadré par une colonne de fleurs surmontée du portrait de Louis XVI à gauche et de Marie-Antoinette à droite. Deux petits accrocs. Conservé dans un cadre ancien doré. 525 x 385 mm.
Tirage non cité, imprimé sur satin par Didot l’aîné, alors que le tirage normal sur papier sortait des presses de l’Imprimerie royale. Face à une situation politique et financière catastrophique, Louis XVI se voit contraint de convoquer les Etats généraux, cette assemblée des trois ordres – noblesse, clergé et Tiers Etat –, qui seuls peuvent décider la levée de nouveaux impôts et engager la réforme du pays. Leur ouverture, le 5 mai 1789 à Versailles, marque celle de la Révolution Française. Le 4 mai 1789, a lieu à Versailles la dernière grande cérémonie d’Ancien Régime : la procession des Etats Généraux. Le 5 mai, commence la séance solennelle d’ouverture. Convoqués depuis le 5 juillet 1788, les Etats Généraux n’ont pas été réunis depuis 1614 ! Une salle provisoire à colonnes a été érigée derrière les Menus Plaisirs de l’avenue de Paris. Contrairement à la gravure célèbre, la salle est minuscule. Le roi, entouré de la reine et des princes du sang, trône au fond de la salle sous un dais majestueux. Les députés siègent autour sur plusieurs rangs. Ceux du Tiers Etat y donneront naissance en juin, avec quelques-uns du clergé, à la première Assemblée nationale. Louis XVI ouvre la séance par un discours dans lequel il rappelle les circonstances qui l’ont conduit à cette convocation et ce qu’il attend des Etats Généraux. En roi pacifique, il se déclare « le premier ami de ses peuples ». Certes, le Roi abordera dans son discours les problèmes économiques que le pays traverse, mais s’abstiendra d’évoquer les réformes politiques attendues sur le vote des députés. Mécontent de ce piètre discours sans ambition de réformes, et conscient des attentes du pays, le Tiers Etat prendra les choses en main. La Révolution est en marche… « Quand Louis XVI arriva au centre de l’estrade, dans la Salle des Menus-Plaisirs, des Acclamations le saluèrent, mais pas un cri ne fut poussé en l’honneur de la Reine qu’on crut voir pleurer. Debout et découvert, le Roi adressa aux députés ce bref discours […] qui témoigne des sentiments dont Louis XVI était animé. […] Ferme, prudent et généreux langage ! On en attendait un autre et ce fut une déception pour beaucoup ! Sagement, le roi avait mis les députés en garde contre les nouveautés. Il avait parlé de finances – c’était la préoccupation la plus actuelle – il avait parlé autorité – c’était, bien qu’ils s’en défendissent, le plus grand besoin des esprits.» (F. Patat, Le Calvaire de Louis XVI). « M. d’Estaing a fait présent à chacun des membres de l’assemblée générale de la commune de Paris, d’un exemplaire du discours prononcé par le roi à l’assemblée nationale le 5 Mai, imprimé superbement, sur du satin, et orné des portraits du roi et de la reine. On lit autour du premier, ce vers de M. de la Harpe : ‘Père de ses sujets, il en est le modèle.’ Autour de celui de la reine, cet autre vers : ‘Une sage au rang suprême a trouvé tout en elle. » (J.-P.-L.- de Luchet, Mémoires pour servir à l’histoire de l’année 1789, p. 283). Aristocrate et militaire français, le Comte d’Estaing (1729–1794) servira son pays pendant les guerres de Succession d’Autriche, la campagne dans l’Océan Indien et de l‘autre côté de l’Atlantique. Après une carrière sur le terrain aux résultats en demi-teinte, il est nommé en 1789 commandant de la garde nationale de Versailles où il jouera un rôle équivoque. Précieux exemplaire, imprimé sur satin, du discours historique prononce par le Roi à la veille de la Révolution Française.
THIERS Adolphe (Marseille 1797 - St Germain-en-Laye 1877), Journaliste, historien, Homme politique : ministre et président du Conseil sous la Monarchie de Juillet, député sous la IIe République et pendant le Second Empire, premier président de la Troisième République (1871-1873). - . - Membre de l'Académie française (élu en 1833).
Reference : 11255
Au sujet d'un contrat , au journal Le Constitutionnel, 3 pages in 8° de 1846 , lettre dans laquelle Thiers vient recommander à un collègue, “Mr. Mennaux qui est un excellent homme plein d'honnêteté et de talent et que nous avons chargé de tous… pour l'affaire du Constitutionnel, je crois qu'il est temps d'en finir…“ . (déchirure avec infime sans gène pour la lecture). En 1844, le Journal qui appartenait à 15 actionnaires fut vendu à Louis Véron, Adolphe Thiers en resta rédacteur en chef. En 1848, il sert l'élection de Louis-Napoléon Bonaparte, et est un organe gouvernemental sous le Second Empire.
Au sujet des Elections de 1863. Lettre de 3 pages 1/2 in-12° du 25 mai 1863, une semaine avant les élections législatives, sur les élections Thiers insite son correspondant à la lutte“ puisque nous avons accepté le combat tachons d'en sortir victorieux ce sera chose ardue…“. Il évoque Persigny, Dufaure pour Bordeaux , Odillon Barrot peut-être pour Strasbourg…Il demande à son correspondant s'il rejoindra sa commune “ c'est dans les communes rurales que l'action est indispensable…“ . Pour les élections législatives des 31 mai et 14 juin 1863 (suffrage universel masculin), à Paris, les directeurs de journaux “indépendants“ et républicains s'entendirent pour former une liste unique où figuraient Émile Ollivier, Jules Simon et Adolphe Thiers. ( ClBe1)
1949 La Bibliothèque Française, Paris, 1949 - 1951. Ensemble des 6 volumes brochés, 265, 365, 413, 335, 298 et 343 pages. Les tomes 2 et 3 du S.P. Envoi autographe de l'auteur sur les trois premiers tomes. Le tome 6 et dernier n'est pas coupé. Quelques dos marqués avec très légers manques, exemplaires frais néanmoins.
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Parmi les 251 œuvres d’Alexandre Dumas recensées par le bibliographe M. Clouzot (Guide du bibliophile français du XIXe siècle, Paris, 1996) 4 seulement portent la mention « très recherchée » : Les Trois Mousquetaires ; Le Comte de Monte-Christo ; La Tour de Nesle ; Mes Mémoires. Paris, J. N. Barba, 1832.In-8 de (4) ff., 98 pp., relié comme souvent sans les (2) pp. d’annonces commerciales du libraire Demi-maroquin bordeaux à coins, dos lisse orné d’un fleuron doré, témoins. Reliure signée de Champs, vers 1870.209 x 130 mm.
Édition originale « rare et très recherchée » (Clouzot p. 94) de ce drame d’Alexandre Dumas représenté pour la première fois à Paris sur le théâtre de la Porte Saint-Martin le 29 mai 1832.« Pièce célèbre devenue rare. » Carteret, I, 314.Parmi les 251 œuvres d’Alexandre Dumas recensées par le bibliographe M. Clouzot (Guide du bibliophile français du XIXe siècle, Paris, 1996) 4 seulement portent la mention « très recherchée » : Les Trois Mousquetaires ; Le Comte de Monte Christo ; La Tour de Nesle ; Mes Mémoires.« Très rare. Exemplaire avec la couverture. Vendu » pouvait-on lire dans le Bulletin de la Librairie Morgand et Fatout dès 1884 (n°11117). « Drame en cinq actes d’Alexandre Dumas père (1803-1870) et Frédéric Gaillardet (1808-1882), représenté en 1832. Une légende fait de la tour de Nesle le théâtre de plus d’un crime : c’est là, en effet, que Marguerite de Bourgogne, l’épouse légitime du roi Louis X et ses propres sœurs auraient massacré leurs amants après certaine nuit d’amour, dont nul ne fut jamais témoin. Cette légende a fourni le sujet du drame qui nous intéresse, un des premiers du théâtre romantique après le triomphe d’’Hernani’, de Victor Hugo en 1830. Léonet de Bournouville, page du duc de Bourgogne, est l’amant de la princesse Marguerite ; de cette liaison, deux enfants sont nés. Le duc de Bourgogne veut faire enfermer sa fille dans un couvent ; pour échapper à cette éventualité, Margeurite pousse Léonet à assassiner le duc. Mais, épouvantée par son crime et voulant effacer le souvenir de sa passion et de ses conséquences, elle ordonne au page de partir et confie les nouveau-nés à un homme afin qu’il les noie. N’ayant pas le cœur d’accomplir son horrible mission, ce dernier abandonne les jumeaux devant Notre-Dame, après leur avoir marqué le bras, à tous deux, d’une croix, avec la pointe de son poignard. Les années passent : l’ancien page, devenu un valeureux officier, revient à Paris, sous le nom de Buridan. Les enfants abandonnés sont devenus deux séduisants cavaliers, Philippe et Gaultier Daulnay. Philippe, dans la triste tour de Nesle, est assassiné ; Gaultier, qui veut se venger des meurtriers de son frère, est passionnément amoureux de Marguerite qui a fait tuer Philippe (sans le savoir, elle est la mère des deux frères) ; pour la première fois de sa vie peut-être, en face de Gaultier, elle éprouve un sentiment pur. Elle décide de faire mourir Buridan, puisque celui-ci sait que Philippe a été tué sur l’ordre de la reine ; mais Buridan dévoile sa véritable identité et parvient à se faire nommer premier ministre. Il apprend par hasard que Gaultier est son propre fils, alors qu’il a déjà causé sa perte en l’envoyant à la tour de Nesle [...] » (Dictionnaire des Œuvres, VI, p. 454).Précieux exemplaire de cette originale littéraire de la plus grande rareté, grand de marges avec de nombreux témoins, sans rousseur, relié par Champs vers 1870.