H. Lecène et H. Houdin, éditeurs, coll. « Collection des classiques populaires » 1889 Ouvrage orné de deux portraits et autres illustrations. In-8 demi chagrin 22,5 cm sur 13,5. 238 pages. Pages de papier bruni. Ex-libris manuscrit et cachet en étoile sur première page de garde. Gouttière irrégulière. Coupes frottées sinon Bon état d’occasion.
Reference : 111847
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Paris : Editions du Mercure de France (Collection Théâtre et poésie), 1998. Un volume broché (15x21,5 cm), 255 pages. Avec son prière d'insérer. Joint un article extrait du journal Le Monde sur la relation d'Yves Bonnefoy avec l'oeuvre de Shakespeare. Edition originale sur papier courant. Bon état.
EUROPE. JANV-FEV 1964. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 334 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Pierre ABRAHAM:ThéâtreHenri FLUGHÈRE:Shakespeare et nous ..Jean-Jacques BERNARD: Lumières de Shakespeare ***Émile TERSEN:l'Angleterre au temps de Shakespeare .Jacques MADAULE:Shakespeare et l’histoire d’AngleterreMichel SAINT-DENIS:Shakespeare et l’Angleterre d’aujourd’hui ..Barbara BRAY:Shakespeare at home ..Cyrille ARNAVON:Shakespeare et les Etats-Unis ..***Jean-Jacques MAYOUX: Le politique et le social Pierre-Aimé TOUCHARD:Shakespeare en France ...Michel GRIVELET:Les Français, la Lune et ShakespeareM.T. JONES-DAVIES:Le chœur, le prologue, etc.Félix CARRÈRE:Shakespeare, artisan de théâtre ...Robert H. VERCAMBRE:La fidélité ..Michel ZÉRAFFA:Shakespeare et « le nouveau théâtre »Jésus IZCARAY:Vart du type ...Jan KOTT:Titania et la Tête d’Ane Morvan LEBESQUE:« Hamlet » sous le chapiteau ..Raymonde TEMKINE:« Le roi Lear » en proie aux exégèsesNelly STÉPHANE:Notes pour une interprétation du« Roi Lear » ...Guy GAUTHIER:Shakespeare au cinéma ...Quelques réponses à notre questionnaire .Hélène HENRY:Shakespeare en plein air Chronologie . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
William SHAKESPEARE. Stockdale's Edition of Shakespeare: Including, in One Volume, The Whole of His Dramatic Works; with Explanatory Notes compiled from Various Commentators, embellished with a striking likeness of the author. FIRST SINGLE-VOLUME OCTAVO EDITION OF SHAKESPEARE'S PLAYS. PREMIÈRE ÉDITION DES OEUVRES COMPLÈTES EN 1 VOLUME IN-8. 1784, John Stockdale, London. 1 vol. grand in-8 relié de [18], 1079 pages. Manque le frontispice gravé. Reliure de l'époque plein vélin. Dos lisse orné de caissons, frises, fleurons, filets et titre, frappés à l'or fin, et d'une pièce de titre en basane rouge. Intérieur frais avec quelques très rares rousseurs claires, reliure robuste avec le haut du mors supérieur fendu sur quelques centimètres, vélin patiné, ce qui lui donne beaucoup de charme. Bel et rare exemplaire de cette édition très recherchée, surtout en reliure d'époque. Moyen
"SHAKESPEARE, WILLIAM. [Translated by:] ÖRIKAGASIZADE HASAN SIRRI.
Reference : 60040
(1884)
Istanbul, Matbaa-i Ebuzziya, 1301 [1884]. 8vo (180 x 120 mm). Uncut, unopened. Unbound without wrappers as issued. Turkish in Arabic script. 11 loose stapled gatherings, as issued. Extremities with soiling and first leaf missing lower 5 mm, far from affecting text. Last leaf detached. Internally clean. A good copy of a very fragile publication. 176 pp.
Extremely rare first Turkish translation Shakespeare's The Merchant of Venice - The first work by Shakespeare, translated directly from English, to be published in Turkey, one of the very first translations of any English literature into Turkish. As Ottoman power was waning, some sultans developed a passion for Shakespeare. Sultan Abdülhamid II, who ruled about 34 years and earned fame as a despot, was a theatre buff with an intense interest in Shakespeare's tragedies and comedies. It was rumored in the late 19th century that when The Merchant of Venice was presented at the special exclusive palace theatre in ?stanbul, and Shylock began to sharpen his knife to take his revenge, the Sultan became apprehensive, actually so scared that he ran out screaming and caused the play to come to an abrupt end. The Sultan later reportedly said: ""Abandon such frightening scenes"" instead, present performances that will make us laugh"". ""The young translator, while adhering to the original, added the translator's notes to explain to the Turkish reader certain cultural features of the text [8, p. 43]. The translator himself remarked that, despite having a good command of the English language due to the specifics of Shakespeare's style, he sometimes needed to refer to French translations of the work to clarify certain points. Some translation tricks that Hasan Sirri resorted to at the time were interesting and justified. In most Shakespearean replicas with the word Jew he replaced the name of the hero - Shylock, probably in order to bypass possible conflicting moments [8, p. 45]. After all, Hasan Sirri himself occupied the position of a civil servant at the time of the translation and, given the national diversity of the Ottoman state at that time, his decision to ""avoid sharp corners"" was correct. Reading the translation of Hasan Sirri, it is also interesting to observe its accuracy in relation to the Turkish cultural heritage"" (Prushkovska1, TURKISH TRANSLATIONS OF SHAKESPEARE'S WORKS) Kitabhane-i Ebüzziya was a series published by the Turkish publisher Ebüzziya Mehmet Tevfik Bey in order to present classical and contemporary literature to a wider Turkish speaking audience.
Versailles. Chez l'auteur. 1964. 2 cahiers de 10 pages (un avec le texte en anglais ; l'autre avec le texte en français) et 8 pages de figures et diagrammes. Chemise imprimée. E.O. Peu fréquent. Bon état.
Professeur d'anglais (Agrégé de l'Université) au Lycée Hoche de Versailles, Pierre Henrion se voua avec beaucoup d'effort et d'obstination à prouver que Shakespeare n'était qu'un prête-nom de Francis Bacon." Ses lettres, volumineuses, contenaient les publications à compte d'auteur qu'il multipliait pour prouver que Shakespeare était un prête-nom de Bacon. Les miennes, minces, étaient d'un adolescent étonné qui relançait l'interlocuteur pour en savoir davantage. Il avait entrepris le décryptage de Shakespeare, et en particulier des Sonnets. Persuadé que les typographes de l'époque n'avaient rien laissé au hasard, il traçait des diagonales sur les éditions originales du Barde et trouvait, alignées, les lettres des noms Bacon et Francis, et divers messages subliminaux destinés à dévoiler aux explorateurs à venir la supercherie sur l'auteur. Il repérait toujours des alignements. Le contraire aurait été surprenant. Quand il en trouvait trop peu pour que la preuve soit écrasante, je crois me rappeler qu'il tordait un peu ses lignes pour qu'elles passent sur les lettres dont il avait besoin. Mais qui lui en aurait tenu rigueur ? Tout le monde sait que l'espace est courbe. C'était clair dans son esprit : Shakespeare n'avait été qu'un histrion de dernier ordre, ou un technicien inculte, un transporteur de tréteaux. Son nom, Shakes-pear ou Shake-spear, ne pouvait désigner qu'un secoueur de poires ou de javelots. Et ainsi de suite, pour tout ce qui touchait le Barde. Les portraits : des faux, composés à la manière débile d'Arcimboldo. La signature : un faux, puisqu'il était évidemment illettré. Je ne comprenais pas pourquoi il tenait tant à prouver que Bacon était Shakespeare, mais ses décryptages géométriques trouvaient en moi le terrain le plus favorable. Plutôt que le but de l'aventure, c'était le moyen qui me passionnait. Cependant, Henrion m'envoyait brochure sur brochure, calculs sur calculs, de plus en plus tirés par les cheveux, accompagnés de lettres guerrières qui disaient la victoire imminente. Les objections ne l'atteignaient plus. Monomane, sourd comme un pot, il avait quelque chose du Courtial de " Mort à crédit ". [] Si je le rencontrais aujourd'hui, je lui expliquerais qu'il m'a porté à penser, de bonne heure, qu'avec un peu d'habileté et de temps à perdre, on peut faire dire n'importe quoi à n'importe quoi. (Jean-Pierre Issenhuth, article dans la revue " Liberté ", volume 36, numéro 4, août 1994, pp. 150-152).Le Professeur Henrion s'est aussi occupé du cas de Jonathan Swift.