‎Strawson (J.)‎
‎Le régiment S.A.S.‎

‎France empire . Très bon état d’occasion.‎

Reference : 10891


‎ Très bon état d’occasion ‎

€19.00 (€19.00 )
Bookseller's contact details

Librairie de l'Avenue
M. Henri Veyrier
Marché aux Puces. 31, rue Lecuyer
93400 Saint-Ouen
France

contact@librairie-avenue.fr

01 40 11 95 85

Contact bookseller

Payment mode
Cheque
Transfer
Others
Sale conditions

Conforme aux usages de la profession. Paiement avec votre carte bancaire par Paypal ou en V.A.D. (Vente à distance sur le site), par virement ou chèque. Les frais de port sont de 9,50 € pour la France pour les colis de moins de 5kg en colissimo (ou 4,50 € en Mondial Relay), 12 € pour les pays de l'Union Européenne (sauf Espagne) en Mondial Relay. Nous consulter pour les autres pays et livres au dessus de 5kg. Notre téléphone : 01 40 11 95 85.

Contact bookseller about this book

Enter these characters to validate your form.
*
Send

5 book(s) with the same title

‎BORNE DE GAGÈRES (André).‎

Reference : 12080

(1740)

‎[Régiment de la Couronne]. Etat et Filiation du Régiment de la couronne créé en 1643 sous le nom de la Reyne mère, la filiation ne commence qu'en 1670, n'ayant pû trouver des Etats plus anciens.‎

‎, , 1740 ca. Manuscrit in-4 à l'encre brune de (2)-203 pp. de 4 à 30 lignes par page, veau havane, dos orné à nerfs, titre encadré en capitales dorées sur le plat supérieur, tranches jaspées (reliure de l'époque). ‎


‎Premier historique manuscrit du régiment d'infanterie de La Couronne attribué à André Borne de Gagères (1740-1812) par Oscar de Poli qui le publia en 1891. C'est la deuxième version princeps connue avec la copie citée par Oscar de Poli dans son introduction - établie au XVIIIe siècle dans une reliure proche de notre exemplaire et titrée à l'identique sur le plat supérieur RÉGIMENT DE LA COURONNE (p. XL) ; selon Poli, les « Manuscrits de M. de Gagères, lieutenant-colonel du génie » étaient conservés dans les archives du château de Beauvoir (arrondissement de Montbrison), résidence du comte de Courtin de Neufbourg. Contient : 1. Etat et filiation du Régiment de la couronne créé en 1643 sous le nom de la Reyne-mère, la filiation ne commence qu'en 1670 n'ayant pû trouver des Etats plus anciens. 2. Etat des dix compagnies du Régiment de la Couronne dont six ont été créées en 1692 pour former le second btaillon de Limousin et le troisième de la Reyne lors de la reduction des bataillons de campagne à treize compagnies de 55 hommes chacune… en may 1722 et la 4e en 9bre 1734 3. Etat-Major, Rang d'ancienneté de Messieurs les Capitaines du Régiment de la Couronne à Commencer du 14 février 1705 4. Etat des Capitaines du Régiment de la Couronne qui ont été tués, placés, abandonnés, ou qui sont morts depuis l'année 1695. 5. Règles du Service de Campagne du Régiment de la Couronne. 6. Conventions de Mess.rs les Capitaines du Regiment de la Couronne concernant ceux qui seront placés par la cour ou ceux qui se retireront chez eux avec pension ou sans pension. 7. Recueil de ce que l'on a appris de la création du Régiment de la Couronne et des actions et lieux où il s'est trouvé. Cette dernière partie constitue l'historique depuis la création du régiment sous l'appellation « de la Reine Mère » en 1643 jusqu'en 1740 tandis qu'il fut renommé en 1666 régiment de Genlis puis régiment d’Artois, enfin régiment de La Couronne en 1673.Exemplaire annoté en 1920 (la signature autographe au bas de la page 2 est difficilement déchiffrable) - qui renseigne et complète la copie : « Ce manuscrit a été publié en 1891 par le vicomte de Poli dans son histoire de régiment de la Couronne. En juillet 1920, j'ai eu en communication par Nourry, libraire à Dijon, un historique manuscrit de ce régiment. C'est un cahier cartonné de 101 figures numérotées mesurant 22 x 29 centimètres, et qui n'ajoute pas grand chose au livre publié. Le libraire en veut 100 fr., je le lui retourne après avoir ci-après copié ce qui suit, en reprenant un peu plus haut, afin de montrer la différence des textes ».Cachet ex-libris « Henri Debard ». [Voir : Les Régiments d'Autrefois : Le Régiment de la Couronne (1643-1791) annales et documents recueillis par le Vte Oscar de Poli, Paris, Conseil héraldique de France, 1891].Manuscrit militaire rare sur l'un des régiments royaux les plus prestigieux créés au XVIIe siècle. ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 33 01 46 33 57 22

EUR2,000.00 (€2,000.00 )

Reference : 42379

(1731)

‎[Régiment de la Calotte. Manuscrit]. Recueil des Brevets du Régiment de la Calotte. Se vend chez Momon libraire Place des Ris au Miroir sans fard.‎

‎, , (1731 ca). Manuscrit in-4 à 13 lignes par page )de (2)-751 pp. mal chiffrées, (14) pp. de table, titre encadré, veau marbré, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque). ‎


‎Archives manuscrites réunies l'année de la mort du fondateur "généralissime" du Régiment de la Calotte Aymon Ier en 1731 âgé de plus de 80 ans.Le "Régiment de la Calotte" avait été créé en 1702 par Étienne-Isidore-Théophile Aymon et Philippes-Emmanuel de Torsac et réunissait en de joyeuses mascarades une société de viveurs, qu'on appelait les "Calotins" ; il avait pour armoiries une lune d'argent et, en souvenir de Momus, une calotte à grelots. « Sous prétexte de manquement aux bienséances, au bon goût, à la logique et au bon sens, soit dans les paroles soit dans les actions, les membres de l’association de la Calotte envoyaient des brevets à tous ceux qu’ils croyaient dignes d’être enrôlés dans leur régiment. Aucun grade, aucune dignité, nulle position élevée n’était à l’abri des brevets satiriques de ces joyeux critiques » (Arthur Dinaux, Les sociétés badines, bachiques, littéraires et chantantes, I, p. 134). Réunion de 110 brevets décernés à Voltaire “Grand Bâtonnier du Régiment”, John Law “Contrôleur Général du Régiment” mais aussi Dabats imprimeur du Châtelet, le Prince de Conti "brevet qui le nomme Juge Souverain de la Musique", un “brevet d’historiographe du Régiment pour l’Évêque de Soissons” daté 1730, un “brevet pour les Avocats du Parlement de Paris” daté 1731. Les pièces liminaires comprennent Idée légère du Régiment de la Calotte, Académie des Inscriptions, Table alphabétique des Brevets contenus dans ce Recueil.« [Avec la calotte] le brevet est l’autre signe de reconnaissance calottin. Il s’agit de poèmes d’une cinquantaine de vers parfois de petits textes en prose énumérant plaisamment les travers et les ridicules qui distinguent telle ou telle victime de la satire. Le brevet est un détournement satirique de la lettre patente, ce document qui conférait emploi dignité et privilège dans l’ancienne France. Les Mémoires pour servir histoire de la Calotte dont cinq éditions augmentées à chaque reprise se sont succédé entre 1725 et 1754 ont réuni deux cents de ces brevets. (…) Les auteurs calottins forment un groupe assez identifiable dans espace littéraire français du début du 18e siècle. Au nombre d'une dizaine, ils disent se retrouver régulièrement dans les cafés proches de Opéra comique pour rédiger les brevets de la calotte. (…) l’abbé François Gacon père de l’Oratoire puis prieur de Bâillon auteur d'une cinquantaine de brevets au début de la Régence. De même Guillaume Plantavit de la Pause abbé de Margon a acquis sa réputation de plus caustique des hommes au cours de ses démêlés avec les Jésuites, auteur du Jansénisme démasqué en 1715 ; l'abbé de Grécourt lui aussi a acquis une certaine célébrité au cours des querelles religieuses du moment en publiant Le Philotanus en 1720. Pierre Charles Roy poète lyrique a rencontré le succès avec son Ballet des Éléments joué en 1725, succès beaucoup plus conséquent que ses brevets calottins adressés aux hommes de lettres visés par le Régiment, Voltaire, Fontenelle ou Crébillon ; on connaît quatre autres auteurs de brevets ayant été joués sur la scène de l'Opéra comique, Desfontaines, Bosc du Bouchet mais surtout Louis Fuzelier auteur du Carnaval du Parnasse et Alexis Piron créateur de l’École des Pères pièce de 1733 au succès considérable. Le dernier auteur calottin important est aussi le protecteur le plus influent du Régiment le comte de Maurepas, un des principaux ministres du Régent puis de Louis XV. (…) Comme tous les satiristes, ce groupe a mauvaise réputation, ni les gazettes du temps ni les notices des dictionnaires littéraires ne rendent hommage à Gacon, Margon, Roy, Grécourt, Desfontaines, Fuzelier ou même Piron pourtant le plus connu d’entre eux » (Antoine de Baecque).Précieux manuscrit calligraphié précédé d'un faux-titre illustré de deux cornes croisées, d’un grelot et d’une calotte, le tout surmonté de l'effigie de Momus. Provenance : Maison de Montmorency (ex-libris armorié) et ses descendants depuis 1862 : la Maison de Gontaut-Biron (cachet "Montmorency - Gontaut-Biron"). Coins frottés, petit accident en pied.Antoine de Baecque. Les éclats du rire. Le Régiment de la calotte, ou les stratégies aristocratiques de la gaieté française (1702-1752). In Annales. Histoire, Sciences Sociales. 52 année, N. 3, 1997. pp. 477-511. ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 33 01 46 33 57 22

EUR2,800.00 (€2,800.00 )

‎Bouthillier-Chavigny (Charles-Léon de).‎

Reference : 41029

(1757)

‎[Guerre de Sept ans. Manuscrit]. Livre des Campagnes d'Hannôvre à commencer de celle de 1757 jusques y compris celle de 1762. Lequel appartient à Monsieur de Chavigny, lieutenant au régiment du Roy.‎

‎, , 1757-1762. Manuscrit in-12 (11 x 17 cm) à l'encre brune de (2)-306-(3) pp. à 18 lignes par page, table, basane brune racinée, dos à nerfs, étiquette manuscrite sur le dos, tranches rouges (reliure de l'époque). ‎


‎Relation manuscrite inédite sur la Guerre de Sept ans qui porte en faux-titre : Détail des Six Campagnes d'Hannôvre, la récapitulation générale, et la table instructive se trouve (sic) à la fin du vôlume.« Charles-Léon, marquis de Bouthillier-Chavigny, né à Paris en 1743, d’une famille qui a fourni des ministres sous Louis XIII et Louis XIV, entra, jeune encore, dans les chevau-légers de la garde du roi, qui offrait une espèce d’école militaire pour la jeune noblesse. Il passa, en 1762, comme lieutenant au régiment du Roi (infanterie). En cette qualité, il prit part à la guerre de sept ans, où il se conduisit avec distinction, fut blessé et fait prisonnier » (Michaud Biographie universelle, V, 348). Journal militaire et historique tenu par le jeune Bouthillier-Chavigny qui consigne itinéraires, calendriers, événements, récapitulations (lieux, camp, bivouac) des batailles des armées françaises en Allemagne, de 1757 à 1762. La France, alliée avec l’Autriche, la Russie, la Suède et la Saxe, traversa le Rhin en avril 1757 avec deux armées totalisant 100 000 soldats, pour attirer l’attention de la Prusse, alliée de la Grande-Bretagne et du Hanovre. Relations de la bataille d'Hastenbeck (23 juillet 1757), la bataille de Crevelle (juin 1758) la bataille de Lutterberg (10 octobre 1758), la bataille de Bergen (avec une armée dirigée par le Duc de Broglie le 13 avril 1759), la capitulation de Munster proposée par M. de Zastrou au Marquis d'Armantières le 25 juillet 1759, la bataille de Minden (1er août 1759), la bataille de Corbach (10 juillet 1760), la bataille de Villinghausen (15-16 juillet 1761), la Journée de Cassel (25 juin 1762).Député de la noblesse du Berry aux États-généraux, Charles-Léon de Bouthillier-Chavigny (1743-1818) fut promu maréchal de camp dans l'armée de Condé le 20 mai 1790, l'année où il publia un projet de constitution militaire sous le titre Plan, général et abregé, d'une constitution militaire, dans tous ses différens détails. Par M. le marquis de Bouthillier, colonel du régiment de Picardie, membre du Comité militaire à l'Assemblée nationale. Pièce historique précieuse d'une parfaite lisibilité reliée à l'époque. ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 33 01 46 33 57 22

EUR5,000.00 (€5,000.00 )

Reference : 39845

(1784)

‎Corps Royal d'Artillerie. Régiment de Strasbourg, en garnison à Douay en Flandres.‎

‎A Douay, de l'Imprimerie de Derbaix, [1784-1785]. Affiche in-plano (53,5 x 42,5 cm). ‎


‎« Celte intéressante affiche et la fine gravure qui l'accompagne, donnent lieu à une assez curieuse observation. Alors que le placard du Corps Royal (1770), anticipant de six années sur les événements, dotait les artilleurs d'un habit à nous inconnu, celui-ci, huit ans après l'adoption de la nouvelle tenue, leur laisse encore le jusle-au-corps d'autrefois, preuve certaine de l'utilisation d'un ancien bois. Notons aussi, dans la légende, la présence d'un mot nouveau : Patrie ».Brillante jeunesse, qui desirez acquérir de la gloire en servant votre Patrie, venez sous les Drapeaux (...) La paie, en y entrant, est celle des Grenadiers dans les Régimens d'Infanterie, & va toujours en augmentant jusqu'à celle de 30 sols par jour. Il y a vingt-deux places d'Officiers au Régiment, que l'on donne aux Sergens qui se mettent dans le cas de les mériter par leur bonne conduite. Et les Soldats, en se retirant, ont des places de Garde-Magazin & d'Artificier dans les différentes Villes du Royaume, dont les appointemens sont depuis 800 jusqu'à 3000 livres. Il y a au Régiment des Salles de Mathématiques, de Dessin, d'Armes & de Danses, où tous les Soldats sont admis.Albert Depréaux, Les Affiches de recrutement du XVIIe siècle à nous jours, planche 20. ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 33 01 46 33 57 22

EUR1,000.00 (€1,000.00 )

Reference : 39699

(1800)

‎[Campagne d'Allemagne. 1798-1800. Manuscrit]. Mes Campagnes depuis le 1er Vendemiaire an 7 (22 septembre 1798) jusques et compris le - Par Alphonse Delassus hussard au 2e régiment cy-devant Chamborant.‎

‎, , circa 1800. Manuscrit in-12 (11,5 x 18 cm) de (2)-90 pp. à 23 lignes par page, cartonnage brun (reliure de l’époque). ‎


‎Souvenirs manuscrits inédits du hussard Alphonse Delassus du 14 octobre 1798 au 5 février 1800 enrôlé dans l’Armée de Mayence devenue Armée du Rhin : « J’avais vingt ans et cinq mois lorsque le gouvernement ordonna une levée pour les armées de tous les jeunes gens de vingt ans à vingt et un (…) je désirais extrêmement servir dans la cavalerie et surtout dans la cavalerie légère, le 2e régiment d’hussards était alors à Paris (…) J’entrai au régiment le 23 Vendémiaire de l’an 7 (14 octobre 1798) ». La France révolutionnaire est alors en guerre contre la seconde coalition formée en 1798 entre l'Angleterre, l'Autriche, la Russie, la Sicile et la Turquie. En route pour Mayence, le jeune conscrit s’attache dans une courte première partie à la description de la vie de soldat (étapes, hébergements, querelles et camaraderie, nécessité d’acquérir une monture etc.). Sitôt sur le champ de bataille en Allemagne « les hussards de Seckler près de deux cents nous attaquèrent (…) les premières balles qui sifflèrent à mes oreilles m’effrayèrent extrêmement et mon cheval aussi novice que moi (…) nous partîmes nous ranger en bataille dans la plaine ; il était alors sept heures, le combat devenait vif de plus en plus, l’ennemi envoyait sur nous des boulets qui nous forçaient de faire de nouvelles évolutions » ; l’ardeur patriotique bientôt s’étiole et tourne à la résignation : « Nous marchâmes tout le reste du jour et une partie de la nuit, nous nous restâmes environ une heure dans le milieu de la plaine, il faisait déjà froid, il était impossible d’avoir du bois, je n’avais pas mangé depuis le matin il me restait la moitié d’un pain, je le partageai avec mon cheval qui avait aussi froid que moi ». La résignation devient sidération et emporte peu à peu le récit de campagne du jeune conscrit vers le témoignage amer d’un soldat de la Grande Armée revenu de l’enfer : « Je m’avançais sur la route qui conduit à Bruchsall les environs de cette ville étaient couverts de sang et de cadavres ; sur un des côtés de la route je vis un misérable hulan tout couvert de sang et de boue il poussait des cris affreux je m’approche de lui il avait la jambe emportée d’un boulet (sic), j’appelai aussitôt mes camarades pour lui donner quelques secours ; ce malheureux nous demandait la mort, la douleur lui faisait perdre la raison ; nous lui fîmes boire quelques gouttes d’eau de vie puis nous le fîmes porter à la ville sur un brancard. Je ne puis exprimer tout ce qui se passa en moi à la vue de ce spectacle (…) Le combat cessa, je n’étais plus bon à rien, une sombre mélancolie s’était emparée de moi et (ce qui ne m’était jamais arrivé) je maudis l’espèce humaine et l’ambition qui causait le malheur des hommes ». La relation s’achève avec la reprise de Phillipsbourg en 1800 tandis que l’auteur conclut son manuscrit avec la mention «Fin de la première campagne». Manque de papier sur le dos du carnet.Joint: [Famille Delassus]. Recueil de vers et de couplets par Théodore Delassus. Paris, 1831–1853. Manuscrit in-8 de (64) pp., demi-cuir rouge de Russie, dos lisse orné, coiffe de tête arasée (reliure de l’époque). 40 pièces de vers numérotées de Théodore Delassus (dont un feuillet imprimé volant d’une pièce extraite du recueil, A Mademoiselle Rachel, 1853) suivies des oeuvres de son descendant (feuillet 54) recopiées entre 1892 et 1901 : « Les poésies qui suivent ont été écrites à partir de l’année 1892 par Louis-Hyppolyte Delassus. Autant que possible l’origine des chansons ou poésies a été indiquée » ; 1 lettre manuscrite signée Delassus, circa 1830 (4 feuillets). ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 33 01 46 33 57 22

EUR2,500.00 (€2,500.00 )
Get it on Google Play Get it on AppStore
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !