EDILOIRE , excellent état , 1997 , 127 pages
Reference : JAF-2144
etbl
Librairie Jaffry Xavier
M. Xavier Jaffry
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Institut Universitaire de Technologie B, Bordeaux III. 1989. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 97 pages. Illustré de quelques schémas et photos en noir et blanc. Ouvrage à spirales en plastique.. . . . Classification Dewey : 370-Education
Mémoire de DUT Carrières de l'Information, option Communication, sous la dir. de Annie CHIAROTTO et Jocelyne JOUBERT. Classification Dewey : 370-Education
Ensemble de 7 pièces reliées en un volume in-8 (214 x 134 mm), demi-veau marbré, dos à 5 nerfs filetés or richement orné de compartiments fleuronnés et cloisonnés, palettes en tête et pied, pièce de titre de maroquin bordeaux (rel. signée Laurenchet dans le goût de l'époque)
Edition originale des 7 pièces. Les trois premières sont rédigées par Voltaire qui donna une résonance nationale à cette affaire et lutta inlassablement pour la réhabilitation de Jean Calas.Dans le contexte de conflits religieux entre protestants et catholiques à Toulouse, Jean Calas avait été accusé à tort d'avoir assassiné son fils pour l'empêcher se convertir au catholicisme, condamné à mort et brûlé le 10 mars 1762. En 1765, à la suite d'une large mobilisation, la veuve de Jean Calas fut rétablie dans ses droits et la mémoire de son mari réhabilitée.1- "Pièces rédigées par Voltaire d'après des documents qui lui avaient été fournis notamment par l'avocat genevois Charles de Manoël de Végobre" ('Voltaire à la B.N.', 3944). (Bengesco, 1675. Coquerel, 14-16).2- (Bengesco, 1677. Coquerel, 23-24. 'Voltaire à la B.N.', 3949).3- (Bengesco, 1678. Coquerel, 25. 'Voltaire à la B.N.', 3953).4- Édition originale. (Coquerel, 26).5- Édition originale. Signé "Pierre Mariette, avocat". (Coquerel, 27).6- Édition originale. (Coquerel, 28).7- Édition originale. Signé : "Monsieur Thiroux de Crosne, maître des requêtes, rapporteur [et] Me Mariette, avocat". (Coquerel, 29).Quelques auréoles brunes à quelques feuillets.Bel exemplaire, frais, ensemble des pièces non rognées.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
LaValette (Antoine), sur - Lioncy (Jean) et Gouffre - Le Pelletier de Saint Fargeau et Maitre Le Gouvé - Rouhette et Target - Lherminier, Gillet, Maillard, Taboue, de la Monnoie, Babille, Thevenot d'Essaule - Me Laget-Bardelin - Dufranc - La Valette
Reference : 79330
(1761)
Imprimerie de P. Alex Le Prieur à Paris, M.DCC.LXVI et Imprimerie d'Houry à Paris, M.DCC.LVI - J. Chardon à Paris Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1761 Book condition, Etat : Bon relié, plein veau d'époque, dos lisse orné de fleurons, pièce de titre bordeaux, et tomaison I et II In-12 2 vol. - 1154 pages
1ere édition "Contents, Chapitres : Volume 1. Mémoire à consulter et consultation pour Jean Lioncy contre le Corps et Société des P.P. Jésuites - Le Prieur, 1761. Texte principal, 531 pages, errata, i - Pièces envoyées d'Italie qui peuvent servir à l'instruction du Procès des Jésuites, 48 pages - Volume 2. - 2.1. Plaidoyer pour le Syndic des créanciers des sieurs Lioncy frères et Gouffre, négocians à Marseille contre le Général et la Société des Jésuites. Texte principal, par Le Pelletier de Saint Fargeau et Maitre Le Gouvé, 219 pages - Mémoire sur les demandes formées contre le Général et la Société des Jésuites au sujet des engagemens qu'elle a contracté par le Ministère du Père de la Valette, par MM. Rouhette et Targez, 96 pages - Second mémoire pour le sieur Cazotte et la demoiselle Fouque contre le Général et la Société des Jésuites, par Rouhette et Target, 112 pages - Mémoire à consulter et consultation pour les Jésuites de France, par Lherminier, Gillet, Maillard, Taboue, de la Monnoie, Babille, Thevenot d'Essaule, 77 pages - Mémoire pour les jésuites des provinces de Champagne, Guyenne, Toulouse et Lyon, opposans et défendeurs (Chez J. Chardon à Paris), par M. de Saint-Fargeau et Me Laget-Bardelin, 62 pages - Arrêt de la Cour du Parlement contre le Général et la Société des Jésuites, par Dufranc, 8 pages - Antoine Lavalette, né « Valete » le 26 octobre 1708 à Martrin (France) et décédé le 13 décembre 1767 à Toulouse, était un prêtre jésuite français, missionnaire en Martinique. Bien qu'il ait quitté la Compagnie de Jésus en 1762, Lavalette est à l'origine d'un scandale financier qui contribua beaucoup à jeter l'opprobre sur la Compagnie de Jésus et précipita son bannissement de France en 1763. - En 1751, les premières accusations de participations à des opérations commerciales furent lancées contre le jésuite français. Antoine Lavalette fut rappelé de Martinique en 1753 pour justifier sa conduite. Juste avant qu'il ne meure, le supérieur général de la Compagnie de Jésus Ignacio Visconti l'autorisa à rentrer dans sa mission, où il devint le Supérieur des Missions Françaises de l'Amérique du Sud en 1754, mais avec un ordre explicite d'arrêter toute entreprise commerciale. Cet ordre fut ignoré par Lavalette et, quelque temps plus tard, quand plusieurs de ses navires furent saisis par les pirates anglais à leur retour en Europe, la compagnie commerciale fit faillite. En mars 1762 un Visiteur canonique envoyé par le Supérieur Général à la Martinique confronta Lavalette devant plusieurs témoins. Après avoir nié, ce dernier finalement admit lévidence devant les documents produits. Il fut canoniquement suspendu jusquà décision du Supérieur Général. Mais avant que décision soit prise Lavalette quitta la Compagnie de Jésus (1762). Il passa deux ans à Amsterdam et retourna à Toulouse en 1764 où, après le bannissement des jésuites du royaume de France, il répudia formellement ses liens avec les Jésuites en prononçant le serment qui, en condamnant le caractère pernicieux de lOrdre religieux, permettait aux anciens jésuites de recouvrer leur statut et droits comme citoyens français. Retiré dans son village natal de Valette il y meurt le 13 décembre 1767. Ce scandale et le refus des jésuites français d'accepter d'engager leur responsabilité financière donnèrent l'opportunité aux ennemis de la Compagnie en France de déclencher des attaques contre celle-ci. Le 6 août 1762, le Parlement de Paris prit un arrêt bannissant la Compagnie de Jésus de France. Malgré l'intervention du pape Clément XIII, Louis XV fut amené à expulser les jésuites le 26 novembre 1767. (source : Wikipedia) - Le 8 mai 1761, sur les conclusions de l'Avocat général Le Pelletier de Saint-Fargeau, le Parlement condamna les Jésuites : ils devaient rembourser ses créances à la maison Gouffre et Lioncy et lui verser, à titre de dommages-intérêts, 50.000 livres ; défense leur était faite de se mêler à l'avenir d'aucun genre de trafic. Au Palais, la foule accueillit le prononcé du jugement avec des cris d'enthousiasme ; les Jésuites présents furent couverts de huées, et le Premier Président et l'Avocat général portés en triomphe. Des inconnus s'embrassaient, comme si la France eût remporté une grande victoire. (source : Lavisse)" Tome 1, 580 pages, Tome 2, 574 pages (sommaire détaillé sur demande) - bel exemplaire, complet en 2 tomes homogènes, reliure d'époque, mors à peine frottés, avec une infime déchirure à l'extrémité du mors du plat supérieur sur les deux tomes sans gravité, belle provenance, président de Conseil Général, (1808-1884), intérieur frais et propre, quelques rousseurs discrètes et quelques pages brunies, sans gravité, cela reste un bel ensemble complet et propre. Ces deux volumes regroupent les principaux actes et mémoire du célèbre procès de La Valette et de l'Ordre des Jésuites de 1761, opposés notamment à ses créanciers Lioncy et Gouffre de Marseille.
1762 13 plaquettes en un volume in-8, demi-veau havane, dos à nerfs orné de roulettes, palettes et caissons avec motifs floraux dorés, pièce de maroquin citron, tranches rouges (reliure de l'époque).
"Précieuse réunion de 13 pièces en éditions originales concernant l'affaire Calas. Quatre de ces pièces sont signées de Voltaire : Pièces originales concernant la mort des Srs. Calas. - Mémoire de Donat Callas. - Histoire d'Elisabeth Canning et de Jean Callas. - Lettre de M. de Vol[taire]… à M. d'Am[illaville]… ""L'Homme aux Calas"", c'est ainsi que les Parisiens appelèrent Voltaire à la fin de sa vie, tant sa lutte sans relâche pour la réhabilitation de la malheureuse famille Calas symbolisa plus de vingt années de son combat pour la justice et la tolérance. Témoignage de l'intérêt énorme exprimé à l'époque pour cette affaire, toutes ces pièces ont été réunies et reliées dès leur parution. Bn, L'Œuvre imprimé de Voltaire, II, n° 153 (XXI, 6), 3944, 3948 et 3952."
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