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METHIVIER Hubert
LA FRONDE
PUF , excellent état , 1984 , 194 pages
Reference : 3637
j2 h2
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Librairie Jaffry Xavier
M. Xavier Jaffry
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Madame de Longueville pendant la Fronde (1651-1653).- Etudes sur les Femmes illustres et la Société du XVIIe siècle - Madame de Longuevile pendant la Fronde 1651-1653.
1859 P., Didier & Cie, 1859, 1 vol. in-8° (220 x 135) relié 1/2 chagrin bleu, dos à 4 faux-nerfs richement orné, auteur et titre dorés, plats de papier marbré bleu et noir, reliure du temps, de (2) ff. (faux-titre et titre) - VII - 488 pp.Très bel exemplaire.
Edition originale.Au sommaire : Renouvellement de la guerre civile - Condé en Guienne - La Fronde à Paris - Triomphe de Mazarin - La Fronde à Bordeaux - Fin de la Fronde à Bordeaux - Importants appendices.
La Fronde et Mazarin.
Tours, Mame, 1852, in-8°, 396 pp, 4 gravures sur acier sous serpentes en hors texte, reliure demi-chagrin vert, dos à 4 nerfs guillochés et caissons dorés ornés de fleurons, encadrements à froid sur les plats, tranches dorées (rel. de l'époque), qqs rousseurs éparses, bon état
Essai historique sur la Fronde couvrant la période qui va de la mort de Louis XIII à 1653 : Anne d'Autriche régente, Mazarin chef du conseil, Ruine des importants ; Administration de Mazarin, Paix de Westphalie ; Lutte entre la cour et le parlement ; Assemblée de la chambre Saint-Louis, Délibération du parlement ; Les barricades ; Nouveaux démêlés entre la cour et le parlement, Déclaration du 24 octobre ; Guerre de la fronde, Paix de Ruel ; Conduite imprudente de Condé, Arrestation des princes ; Insurrection nobiliaire, Guerre de la princesse de Condé ; Exil de Mazarin, Condé et le coadjuteur ; Guerre civile, retour de Mazarin ; Troubles dans Paris, Fin de la fronde. — Par Louis-Phocion Todière, né en 1804, il obtient l'agrégation d'histoire en 1845, historien, professeur d'histoire dans des lycées, dont celui de Dijon, il est l'auteur de nombreux livres d'histoire et manuels.
3 lettres autographes signées à une écrivaine et journaliste collaboratrice de la Fronde s.d. [1899].
3 pp. et demie in 8°, 1 p. et demie in 12.
– Chatelneuf par Champagnole, s.d. : « Je ne puis ni lire ni écrire, un état d’accablement complet, mais tout à fait délicieux. Allez le 16 chez Félicia Mallet. Elle sera probablement rentrée. Vous êtes annoncée et très vivement recommandée. Elle m’a demandé « si vous accepteriez sa collaboration ». J’ai répondu pour vous que vous en seriez charmée. Je désire que vous réussissiez… Mme Gagneur va vous répondre, chère petite amie. » – St Laurent s / Mer, Calvados : « de tout ce que vous écrivez sur moi, ce matin dans la Fronde. C’est beaucoup trop ?... Mais en ce cas c’est le trop qui fait le plus de plaisir. Je suis très contente de la place que vous prenez chez nous. Je rentrerai prochainement à Paris, cela me fera plaisir de vous revoir…. Avez-vous vu Félicia ? Je n’ai passé que 48 h. à Paris elle est venue me voir, mais j’avais du monde et n’ai pu m’informer de votre pantomime. » – Chère petite jolie madame, c’est pour le Vaudeville que j’ai demandé deux fauteuils pour lundi à votre aimable mari. Le lui rappeler. J’ai écrit pour lui à Felicia. Elle est prévenue de sa visite. Lundi. 3 heures… Je passerai vous prendre lundi… à 4 heures pour aller chez Mme Gagneur. » Manoël de Grandfort, nom de plume de Marie-Antoinette Barsalou (1829-1904), écrivit également dans la Fronde, de même que sa fille Jeanne Marnière sa petite-fille Emy Fournier. Intéressantes lettres qui mêlent à ces noms ceux de la grande mime Félicia Mallet et de la romancière Marie-Louise Gagneur.
3 lettres autographes signées à une écrivaine et journaliste collaboratrice de la Fronde [Marguerite Durand elle-même ?].
3 pp. et demie in 8°, 1 p. et demie in 12.
– Chatelneuf par Champagnole, s.d. : « Je ne puis ni lire ni écrire, un état d’accablement complet, mais tout à fait délicieux. Allez le 16 chez Félicia Mallet. Elle sera probablement rentrée. Vous êtes annoncée et très vivement recommandée. Elle m’a demandé « si vous accepteriez sa collaboration ». J’ai répondu pour vous que vous en seriez charmée. Je désire que vous réussissiez… Mme Gagneur va vous répondre, chère petite amie. » – St Laurent s / Mer, Calvados : « de tout ce que vous écrivez sur moi , ce matin dans la Fronde. C’est beaucoup trop ?... Mais en ce cas c’est le trop qui fait le plus de plaisir. Je suis très contente de la place que vous prenez chez nous. Je rentrerai prochainement à Paris, cela me fera plaisir de vous revoir…. Avez-vous vu Félicia ? Je n’ai passé que 48 h. à Paris elle est venue me voir, mais j’avais du monde et n’ai pu m’informer de votre pantomime. » – Chère petite jolie madame, c’est pour le Vaudeville que j’ai demandé deux fauteuils pour lundi à votre aimable mari. Le lui rappeler. J’ai écrit pour lui à Felicia. Elle est prévenue de sa visite. Lundi. 3 heures… Je passerai vous prendre lundi… à 4 heures pour aller chez Mme Gagneur. » Manoël de Grandfort, nom de plume de Marie-Antoinette Barsalou, collabora également à la Fronde, de mêmle que sa fuille Jeanne Marnière et la fille de celle-ci Emy Fournier. Intéressantes lettres qui mêlent à ces noms cxeux de la grande mime Félicia Mallet et de la romancière Marie-Louise Gagneur.
études sur les femmes illustres et la société du XVIIe siècle. Madame de Longueville. Madame de Longueville pendant la Fronde (1651-1653)
Didier et Cie, impr. J. Claye, Paris 1859 In-8 15 x 23 cm. Reliure de l’époque demi-chagrin rouge cerise, dos à 4 nerfs ornés de roulettes dorées, caissons ornés de fers à chaud, tête dorée, VII + 488 pp. Coins légèrement émoussés et frottés. Exemplaire en bon état.
Bon état d’occasion
