Cinéma-Bibliothèque n° 328 - TALLANDIER (1930) - Fascicule in-8 broché (16 x 24) de 96 pages - Couverture photo couleurs - Avec 29 pages hors-textes d'après les photographies du film réalisé par Alfred Abel - Production G.P. Film - Edition Apollon-Film - Très bon état
Reference : 9353
Marché Noir - Librairie Ultime Razzia
Charlotte Dugrand
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Paris Le club français du livre (Théâtre Vol. 15) 1959 550 pages in-8. 1959. relié. 550 pages. In-8 (214x140 mm) XIX-550 pages. Livre relié Pleine toile éditeur - Reliure Engel Maquettes de Jacques Daniel. Choisi et présenté par Paul Louis Mignon. L'inconnue d'Arras La terre est ronde Histoire de rire L'archipel Lenoir. - Ex. n° 964 (Un des 8000). Très bon état général. Poids : 680 gr
Paris, Alphonse Lemerre, 1874. 1 vol. in-8°, demi-percaline vert tendre bradel, dos orné d'un fleuron doré, pièce de titre en basane bordeaux. Reliure postérieure un peu défraîchie. Couv. imprimée conservée. Ex-libris ms de Jacques Boulenger au contreplat. VIII-84 pp. Quelques rousseurs.[C31]
Edition originale de ce pastiche littéraire attribué à l'imprimeur Jules Claye. La publication, fin 1873 des Lettres à une inconnue par Prosper Mérimée avaient mis en émoi le petit monde littéraire qui se demandait qui pouvait bien se cacher derrière cette "inconnue" pour laquelle l'écrivain vouait une amitié amoureuse. On découvrit plus tard qu'il s'agissait d'une certaine Jenny Dacquin qui avait publié des vers dans les recueils romantiques. Les Lettres de l'Inconnue ont également été attribuées à J. M. Cournier. Exemplaire de l'écrivain Jacques Boulenger. Trahard & Josserand, 247; Vicaire V, 271.
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De Moulins Maurice Serva Marcellus Guildé Limat Jones Charpentier
Reference : 100065509
(1955)
Ferenczi 1955 in12. 1955. Agrafé. 7 volume(s). 7 livres "Mon Roman policier": l'inconnue au Browning; meurtre aux studios; l'homme aux aquariums; à l'ombre du crime; cinq heures rue pigalle; trois meurtriers pour un cadavre; la captive de sonora bill
bon état général cependant couvertures défraîchies frottées; accrocs intérieurs jauni tâche sur un des livres bas de marge de "meurtre aux studios" grignottée; circa 1955
PARIS MATCH. 28 janvier 1961. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 80 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : En plein Sahara, une mystérieuse auto inconnue la 3 CV Renault ?, Les américaines adoptent le style Jackie, Dans l'Atlantique, il y avait une ile inconnue, ils étaient vingt huit a bord de la Texas power n° 4, soudain la tempête, Fabiola dans la tourmente par Robert Collin Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
3 lettres signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, 1872, format in-12 de 2 ff. (4 pages), 2 ff. (4 pages), et 4 ff. (7 pages) et 1 brouillon autographe d'Edouard Dentu, s.d., format in-12, 1 f. (une page) : Suivent qq. extraits : 3 Lettres manuscrites signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, et brouillon autographe d'Edouar Dentu ] I : "Lyon, ce 14 août 1872. Monsieur, puisque vous ne voulez pas être mon éditeur, voulez-vous être mon ami. Car pour le moment nous ne pouvons être que deux amis. Pourquoi cherchez-vous un ami dans un inconnu direz-vous. Votre personne m'est inconnue, m'est votre esprit, votre coeur me sont connus, ils me plaisent ; et puis je me sens des sentiments dans l'âme qui veulent un homme de génie pour unique confident. Je ne veux pas que le Poëme de mon coeur soit inutile. Il brillera pour vous comme il eût brillé popur vous seul..." ... "Permettez-moi de vous tendre la main, oh une main bien amie, celle de votre Servante. Comtesse de Scibor Rylski, 174 Cours Lafayette, Lyon, ce 14 août" ; II : Brouillon de réponse non daté de la main d'Edouard Dentu : "Chère Madame, Je suis blessé, et par vous ! Aussi je vous demande de me continuer vos ravissantes confidences, priant Dieu qu'il épargne à votre coeur de nouveaux déchirements car votre nature si délicieusement fine est de celles qui ressentent cruellement les meurtrissures de cette vie" ... "...soyez assez bonne pour m'adresser à l'avenir les lettres dont vous voudrez bien m'honorer à mon domicile personnel, rue Sainte Claire 9 à Passy-Paris".III : 27 août 1872 : "J'ai été ravie je ne voudrais pas autrement que vous êtes dans cette lettre La première oh qu'elle ne soit pas la dernière. Quel autre que vous aurait pu jamais excuser et répondre si gracieusement à une inconnue et la deviner... aussi je vous salue au fond de mon coeur comme on salue un phar qui nous a montré les écueils où l'on pouvait périr. Maintenant que nous voilà amis je vous demande pour le moment une alliance proprement morale et mystérieuse. Venez dans mon coeur quand vous serez malheureux, fatigué, où blessé par quelques-uns de ces échecs moraux qui vous attendent à tous les passages importants de la vie" ... "... votre Augusta". IV : "Lyon, ce 15 Septembre 1872. Mon ami, Laissez-moi vous donner ce nom et comprenez-moi bien, en parlant à Dieu nous lui demandons une foule de choses, il reste muet, moi je veux trouver en vous les réponses que Dieu ne nous fait pas. De plus, je crois qu'il est possible de faire exister, comme dans une symphonie deux harpes qui à distance se répondent, vibrent, et produisent une délicieuse mélodie" ... "ordinairement, les mariages, même les liésons, se font au rebours du sens commun, une famille prend des renseignements sur un jeune homme. Si le Léandre fourni par la voisine ou pêché dans un bal n'a pas volé, s'il n'a pas de tare visible, s'il a la fortune qu'on lui désire, s'il sort d'un collège ou d'une école de Droit, ayant satisfait aux idées vulgaires sur l'éducation, et s'il porte bien ses vêtements, on lui permet de venir voir une personne, lacée dès le matin à qui sa mère ordonne de bien veiller sur sa langue, et recommande de ne rien laisser passer de son âme, de son coeur, sur sa physionomie"... "J'attends votre réponse et suis de grand coeur votre Augusta"
Etonnante correspondance dont on ne sait s'il faut réellement l'imputer à la Comtesse de Scibor Ryslki (Agnès Veth ?) qui signe par la suite "Augusta". Mais curieux lot, révélateur de la passion que pouvait alors (toujours ?) susciter un éditeur célèbre du temps. Un mystère à élucider...