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WILDE Percival
L'accusation du mort
Collection " Le Masque " n° 313 - Librairie des Champs-Elysées (1941) - In-12 relié de 254 pages - Superbe jaquette en couleurs de Jean Bernard - Exemplaire en très bon état
Reference : 17095
" Le Masque " collection de romans d'aventures créée et dirigée par Albert Pigasse
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L'ACCUSATION DU MORT
LIBRAIRIE DES CHAMPS ELYSEES EDITIONS LE MASQUE. 1941. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 253 pages. Présence d'écriture sur la couverture. Livre réparé. Premiéres pages,présence de tâches.. . . . Classification Dewey : 843.0872-Le roman policier
LE MASQUE collection de romans d aventure crée et dirigée par Albert Pigasse. Adapté de l'américain par Odette Bost. Classification Dewey : 843.0872-Le roman policier
L' ACCUSATION DU MORT
EDITIONS LE MASQUE N° 0313. 1941. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 253 Pages. . . . Classification Dewey : 810-Littérature américaine
Adapté de l'américain par ODETTE BOST Classification Dewey : 810-Littérature américaine
L'Accusation du mort.
Librairie des Champs-Elysées / Le Masque n° 313 de 1941. In-12 broché sous magnifique & rare jaquette illustrée par Jean Bernard. Infime manque en haut de la jaquette. Intérieur parfait. Adapté de l'américain par Odette Bost. Superbe état. Rare édition originale avec jaquette.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Mémoire sur la Fable de l'Empoisonnement de Choisy [ Suivi de : ] Mémoire sur la Fable de l'Empoisonnement de Choisy. Deuxième Partie Contenant tous les faits érigés en charges contre les accusés [ Suivi de : ] Affaire de l'Empoisonnement de Choisy. Exposé et plaidoyer de M. l'Avocat-Général Jaubert ; précédés de l'Acte d'accusation et suivis de la Déclaration du Jury, et de l'Arrêt ; recueillis par M. Breton, sténographe [ Suivi de : ] Consultation pour Julie Jacquemin, condamnée à mort pour crime d'empoisonnement, par Arrêt de la Cour d'Assises du 20 mai 1814, demanderesse en Cassation
1 vol. in-4 reliure de l'époque demi-basane marron, dos lisse orné, Mémoire sur la Fable de l'Empoisonnement de Choisy, s.l.n.d, 279 pp. [ Suivi de : ] Mémoire sur la Fable de l'Empoisonnement de Choisy. Deuxième Partie Contenant tous les faits érigés en charges contre les accusés, De l'Imprimerie de Magimel, Paris, 1814, 3 ff., 292 pp. et 1 f. n. ch. [ Suivi de : ] Affaire de l'Empoisonnement de Choisy. Exposé et plaidoyer de M. l'Avocat-Général Jaubert ; précédés de l'Acte d'accusation et suivis de la Déclaration du Jury, et de l'Arrêt ; recueillis par M. Breton, sténographe, Chez P. Didot l'Aîné, Paris, 1814, 1 f., 64 pp. [ Suivi de : ] Consultation pour Julie Jacquemin, condamnée à mort pour crime d'empoisonnement, par Arrêt de la Cour d'Assises du 20 mai 1814, demanderesse en Cassation, De l'Imprimerie de Magimel, s.d., 39 pp.
Cette terrible affaire est digne des meilleurs romans. "Une femme intéressante par sa conduite exemplaire autant que pas sa beauté et ses malheurs, ne trouvant au sein de l'union conjugale que douleurs et chagrins, obligée de souffrir dans sa propre maison les désordres d'un mari et ses liaisons coupables avec une misérable domestique [... ] présumée enfin avoir été empoisonnée par la concubine que l'époux entretenait dans le domicile commun", c'est en ces termes que le Journal du Palais résumera l'affaire. La femme de chambre Julie Jacquemin sera condamnée à mort pour l'empoisonnement de la comtesse de Noirmont, mais le verdict sera cassé et l'accusée acquittée lors du second procès. Etat très satisfaisant (accroc avec mq. en coiffes, bon état par ailleurs, ex-libris en garde).
ROUCHER (Jean-Antoine) poète français (né à Montpellier le 22 février 1745, guillotiné le 25 juillet 1794.)
Reference : 159C30
Lettre autographe à sa fille Eulalie. Paris, 30 avril 1788. 1 p.et demie in-4. Rare. Rare lettre du poète mort sur l’échafaud en compagnie d’André Chénier. Sur l’acte d’accusation, Fouquier-Tinville le désigna comme un « aristocrate puant, salarié de la liste civile, écrivain stipendié du tyran, mercenaire du parti autrichien, fondateur et Président du club de la Sainte-Chapelle, conspirateur à la maison d’arrêt de Saint-Lazare, pour Roucher, ennemi du Peuple : la mort ».
« …continuez à me donner la joie de vous lire » avoue-t-il à la jeune Eulalie, âgée de 14 ans. Il la félicite et l’encourage à continuer à lui écrire sans brouillon. « le style l’orthographe et l’écriture se sentent un peu de cette nouveauté, mais l’habitude vous rendra maitresse de votre pensée, de vos principes et de votre main. Je ne veux pas dire cependant que votre lettre soit mal, mais seulement que bientôt j’en recevrai qui seront mieux. Vous me faites, ma chère Minette des promesses bien douces, je les accepte de bien bon cœur…. ». Il lui recommande d’être attentive aux conseils donnés par sa mère, « elle veut comme moi s’il est possible, une fille parfaite…. ». Sa surcharge de travail et son éloignement de Paris pour plusieurs jours à Epinay, ne lui permettront pas d’être en famille, « comme je ne serai point ici samedi prochain, je prends mes avances afin que vous receviez dimanche prochain votre pain béni… ». On joint 2 lettres autographes signées de Marc François GUILLOIS (1774-1848) rédacteur au Moniteur Universel, qui épousa sa fille Eulalie Roucher pendant la terreur, en Août 1794. Ces deux lettres sont adressées au baron Le Prieur de Blanvilliers. La première lettre datée de septembre 1838, fait état du don de cette lettre au baron. Dans la seconde lettre datée de février 1839, il lui demande de lui transmettre une copie de cette fameuse lettre, « ma famille désire et je désire une copie de tous les autographes dont je dispose et même que j’en demande une à toutes les personnes à qui j’en ai déjà remis… ».
Bel ensemble
