Pierre de Tartas.1975.Gd.in-4 en feuilles,sous chemise à rabats et étui.Illustré en couleurs par Valadié.Ex.286,signé par l'artiste et l'éditeur.23 lihographies originales ,sous serpentes, dont 2 double-planches signées par l'artiste.Bel exemplaire.Etui fermé en tissu bleu.
Reference : 47593
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Pushkin A. S Leda. In Russian (ask us if in doubt)/Pushkin A. S Leda.. Short description: In Russian (ask us if in doubt).The Silver Age. Laboratory of Light and Color Art 1932. 12 p. 22x15.5 sm. We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUalb21196e91e31107d4
Reference : alb0f248bfdb6937ac1
Salvador Dali. Atomic Leda and Other Images of the Gala. In Russian (ask us if in doubt)/Sal'vador Dali. Atomnaya Leda i drugie obrazy Gala.. Short description: In Russian (ask us if in doubt).Catalog of the exhibition in Saint Petersburg on October 13 2021-January 10 2022. Saint Petersburg Time Connection. Faberge Museum. 2021. 168 p. We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUalb0f248bfdb6937ac1
1929 Société Française des Amis des Arts... Paris : [s.n.], 1929- In-fol.- 4 gravures originales, tirage sur Japon à 137 ex.,numérotées au dos; - complet .- 47 x 33 cm, 4 nn pp + 4 full page plates each with a serpent with printed caption.- Tirage à 137 ex.- rare
Eau-fortes originales signées sur Japon: FOUQUERAY (D. Charles).P. POIVRE a TOURANE (Annam), gravé par Eugène DECISY (114/137) - BIBOUL (Lous-François) LE MATIN gravé par Lucien Penat (39/127) - RAOUL DU GARDIER- l'heure du bain - gravé par Raoul SERRES (26/137) - Paul BAUDRY - LEDA gravé par A.F.Dezarrois (14/137) .
Paris [18]93, 13,5x14,5cm, quatre pages sur un feuillet remplié.
Lettre autographe signée de Pierre [Louÿs] datée de Noël [18]93 adressée à Georges Louis. Quatre pages rédigées à l'encre bleue sur un double feuillet bleu aux initiales de l'écrivain et à en-tête du 49 rue Vineuse. Belle lettre adressée à son frère Georges Louis avec qui Pierre Louÿs entretint une très intime relation et qu'il considéra comme son propre père. La question de la réelle identité du père de Pierre Louÿs fascine aujourd'hui encore les biographes:«Son père, Pierre Philippe Louis, [...] avait épousé en 1842 Jeanne Constance Blanchin, qui mourut dix ans plus tard après lui avoir donné deux enfants, Lucie et Georges. En 1855, il se remaria avec Claire Céline Maldan, et de cette union naquit, en 1857, un fils, Paul; puis, en 1870, notre écrivain, qui reçut les prénoms de Pierre Félix. Cette naissance tardive, les différences de caractère entre le père et le fils, la désaffection du premier à l'égard du second, la profonde intimité qui régna toujours entre Louÿs et son frère Georges, tout cela a fait soupçonner à certains biographes et critiques que ce dernier était en réalité le père de l'écrivain. La relation exceptionnellement intime et constante que Pierre et Georges maintinrent entre eux toute leur vie, pourrait être un argument en ce sens. Bien entendu, on n'a point découvert de preuve irréfutable, et on n'en découvrira sans doute jamais. Il n'empêche que certaines lettres [...] sont assez troublantes. En 1895, par exemple, Louÿs écrit gravement à son frère qu'il connaît la réponse à «la question la plus poignante» qu'il puisse lui poser, question qu'il a «depuis dix ans sur les lèvres». L'année suivante, en plein triomphe d'Aphrodite, il remercie Georges avec effusion et termine sa lettre par cette phrase: «Pas un de mes amis n'a un PERE qui soit pour lui comme tu es pour moi.» Arguant de l'étroite intimité de Georges et de Claire Céline durant l'année 1870, et de la jalousie que le père ne cessa de montrer vis-à-vis de son fils cadet, Claude Farrère n'a pas hésité à conclure en faveur de Georges Louis. Et que penser de cette dédicace de Louÿs à son frère sur un japon de l'originale dePausole: Pour Georges, son fils aîné / Pierre.» (Jean-Paul Goujon,Pierre Louÿs) Pierre Louÿs envoie cette lettre à son frère alors que celui-ci vient de prendre ses fonctions de délégué de la France à la Commission internationale de la dette égyptienne et se trouve au Caire : «La lettre où tu me demandais d'acheter un cadeau de jour de l'an m'est arrivée trop tard (vingt quatre heures) pour que je puisse l'envoyer à temps. J'espère que tu auras pu trouver quelque chose là-bas.» Faute de cadeau, Pierre a pu transmettre à son frère un portrait de lui: «En même temps que ma dernière lettre j'ai mis à la poste pour toi une photo du photographe ordinaire de Jane Hading, et qui représente un Pierre posthume et sentimental, assez ressemblant tout de même. L'épreuve n'était pas très propre, mais c'était la seule que j'eusse encore reçue.» On ne connaît à l'heure actuelle que très peu de portraits photographiques de l'écrivain et il ne nous a pas été possible d'identifier le cliché dont il est ici question. L'année 1893 est marquée par plusieurs succès littéraires pour Pierre Louÿs qui n'avait jusqu'ici publié qu'Astarté à compte d'auteur en 1891 et avait aux côtés d'André Gide, son ami de l'Ecole Alsacienne, et Paul Valéry créé La Conque, « anthologie des plus jeunes poètes » dont le premier numéro vit le jour le 15 mars 1891. Coup sur coup, paraissent Chrysis ou la cérémonie matinale, la traduction des Poésies de Méléagre et enfin Lêda ou la louange des bienheureux ténèbres. Il est d'ailleurs question de ce dernier titre dans notre lettre: «Mallarmé m'a écrit des choses pompeuses sur Lêda; mais de sa part cela ne signifie rien.» Pierre Louÿs fréquenta Mallarmé dès les années 1890 et rencontra à ses «mardi» de nombreuses personnalités, notamment Henri de Régnier. Très admiratif des vers du maître symboliste qu'il considère comme «la suprême incarnation de l'artiste, celui qui a tout sacrifié à son idéal» (Ibid.), Louÿs semble ici froissé des commentaires de son aîné, mais qu'à cela ne tienne, il en faut plus pour freiner son enthousiasme: «J'aime pour moi la surprise que j'ai eue la semaine dernière, étant dans l'arrière-boutique de Bailly, en entendant Mme de Bonn...[ières] en demander cinq exemplaires pour ses amies. Cela est en vrai plaisir.» Très belle lettre témoignant des premiers succès littéraires de Pierre Louÿs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Toulon 11 Juin 1908, 13,5x20,5cm, quatre pages sur un double feuillet + une enveloppe.
Lettre autographe datée et signée de Claude Farrère, 62 lignes à l'encre noire à en-tête du Grand Hôtel de Paris à Séville, adressée à son ami Pierre Louÿs décrivant un bas-relief du retable de la chapelle expiatoire que fit élevé Isabelle la Catholique dans l'Alhambra de Grenade. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli, enveloppe jointe. Claude Farrère campe la scène mythologique composant le bas-relief du retable de la chapelle expiatoire que fit élevé Isabelle la Catholique dans l'Alhambra de Grenade:"... aux deux extremités, deux satyres debout, regardant vers le milieu, l'un avec ahurissement, l'autre avec convoitise ; au milieu, une jeune dame que nous supposerons être Léda... Il ne manque rien nonplus aux satyres, dont le geste est tellement vertical que leur nombril ne doit pas être exagérément rassuré... le cygne très correct, et s'efforçant d'enlacer tout ce qu'il peut de sa partenaire, par ses pattes et par son cou... Enfin, vous vous rendez compte ?" En tant que séducteur invétéré, Claude Farrère ne peut qu'admirer la beauté des Andalouses qu'il a rencontrées : " Il y a tellement d'adorables filles à Séville que je ne suis pas près d'en quiter. Je pense à Conchita, soyez tranquille. J'ai déjà trouvé sa maison, plaza del Trionfo." - Photos sur www.Edition-originale.com -