‎GOMEZ MANGO Edmundo‎
‎La Mort Enfant‎

‎Nrf.2003.Gd.in-12,couv.souple.225 p.TBE.‎

Reference : 40327


‎‎

€10.00 (€10.00 )
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Librairie Ancienne Laurencier
Patrick et Liliane Laurencier
7 rue du Chai des Farines
33000 Bordeaux
France

livresanciens.laurencier@wanadoo.fr

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‎BEAUDET‎

Reference : SVBLIVCN-9782842760496

‎LORSQUE LA VIE ECLATE IMPACT MORT ENFANT‎

‎SELI ARSLAN‎


‎LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782842760496‎

Bookit! - Genève
EUR66.04 (€66.04 )

‎Abbé Pierre Lauga de Lartigue‎

Reference : 4417

(1995)

‎Vie et mort de l'abbé Lauga. Le martyre d'un enfant de Clairac. 20 juillet 1792‎

‎État : Très bon état - Année : 1995 - Format : in 8° - Pages : 117pp - Editeur : Editions Bergeron - Sanders - Lieu d'édition : Saint Marcel - Type : Broché - Divers : Envoi d'Alain Sanders. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/abbe-pierre-lauga-de-lartigue/4417-vie-et-mort-de-l-abbe-lauga-le-martyre-d-un-enfant-de-clairac-20-juillet-1792?lrb‎


‎Préface de Jean de Viguerie. L'abbé de Lartigue fait partie des toutes premières victimes du grand holocauste sacerdotal de la Révolution française. ˮPremières victimes qui annoncent et précèdent les martyrs de septembreˮ. C'était un saint homme mais cette qualité ne l'a pas protègé. Bien au contraire, sa réputation est, sans doute, une des causes de son massacre. ˮLe récit que l'on va lire de sa vie et de sa passion illustrent de manière exemplaire la logique révolutionnaire du massacre. Le lecteur découvrira comment il est possible, dans les périodes de folie collective, de faire d'un saint prêtre, un ennemi public.ˮ (Extrait de la préface) Envoi de l'éditeur Alain Sanders.‎

Phone number : 09 63 58 85 14

EUR13.00 (€13.00 )

‎Revue Psychanalyse à l'Université - Laplanche (Jean), ed. - François Gantheret et Serge Leclaire - Antoine Vergote - Gérard Bonnet - Jacques Gagey - Raoul Moury - Jean-Claude Czyba - Geneviève Delaisi de Parseval - F. Zohra Madani-Perret - Christine Manuel - Anne Bouchart-Godard - Danièle Brun - Colette Pericchi - Philippe Gutton et Annie Birraux‎

Reference : 87505

(1982)

‎Psychanalyse à l'Université - Tome 7 - n°28 - Septembre 1982 , (Biologie et psychanalyse, débat - Pulsion de mort et destins mortifères de la pulsion - A propos de la pulsion de mort, malentendus et divergence - Le gène et le mulet - Le transfert négatif d'un groupe de meurtriers - Artifices de la maternité : L'insémination artificielle avec sperme de donneur et la réparation du lien de filiation - Réflexions sur les vecteurs de la parentalité en insémination artificielle avec donneur - La filiation du maghrébin stérile - La ressemblance de l'enfant né par IAD à son père stérile - Post-scriptum, Hihadé ? - Une filiation inversée, l'enfant accouchant de sa mère - Généalogie de la jeune fille stérile - Enfant à perdre, père à retrouver - Ils virent qu'ils étaient nus, différence et complémentarité des sexes à l'adolescence)‎

‎Editions Eres Réplique , Revue Psychanalyse à l'Université Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1982 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur violet clair illustrée grand In-8 1 vol. - 169 pages‎


‎ 1ere édition, 1982 Contents, Chapitres : François Gantheret, Jean Laplanche et Serge Leclaire : Biologie et psychanalyse, débat - Antoine Vergote : Pulsion de mort et destins mortifères de la pulsion - Gérard Bonnet : A propos de la pulsion de mort, malentendus et divergence - Jacques Gagey : Le gène et le mulet - Raoul Moury : Le transfert négatif d'un groupe de meurtriers - Artifices de la maternité : Jean-Claude Czyba : L'insémination artificielle avec sperme de donneur et la réparation du lien de filiation - Geneviève Delaisi de Parseval : Réflexions sur les vecteurs de la parentalité en insémination artificielle avec donneur - F. Zohra Madani-Perret : La filiation du maghrébin stérile - Christine Manuel : La ressemblance de l'enfant né par IAD à son père stérile - Jean Laplanche : Post-scriptum, Hihadé ? - Anne Bouchart-Godard : Une filiation inversée, l'enfant accouchant de sa mère - Danièle Brun : Généalogie de la jeune fille stérile - Colette Pericchi : Enfant à perdre, père à retrouver - Philippe Gutton et Annie Birraux : Ils virent qu'ils étaient nus, différence et complémentarité des sexes à l'adolescence dos et bords des plats à peine insolés, sinon bon état, intérieur frais et propre - Paginé 533 à 701 avec 20 pages de résumés‎

Librairie Internet Philoscience - Malicorne-sur-Sarthe
EUR10.00 (€10.00 )

‎SOUBIRAN, Yvonne‎

Reference : 54723

(1928)

‎Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

‎3 cahiers manuscrits dont deux brochés (l'un oblong), 1928, 40 ff. et 1943, 36 ff. et l'autre cartonné (recueil de citations). Rappel du titre complet : Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎


‎Très remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR590.00 (€590.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110457866

(1981)

‎Enfance n° 1-2 - Le nouveau régime démographique et la place de l'enfant dans la famille et la société - Recul de la mort et maitrise de la fécondité par Alain Girard, Aspects démographiques des rapports entre enfance, famille et société par Massimo Livi‎

‎Presses universitaires de france. Janvier-Mai 1981. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 1 à 103.. . . . Classification Dewey : 155.4-Psychologie de l'enfant‎


‎Sommaire : Le nouveau régime démographique et la place de l'enfant dans la famille et la société - Recul de la mort et maitrise de la fécondité par Alain Girard, Aspects démographiques des rapports entre enfance, famille et société par Massimo Livi Bacci, L'enfant, la famille et le ménage par H. le Bras, L'évolution de la divortialité et le statut de l'enfant par Jacques Commaille Classification Dewey : 155.4-Psychologie de l'enfant‎

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