Paris, Ancienne Librairie Furne, éd. Boivin & Cie, 1936. Coll. Les vieilles Provinces de France. In-8 broché, 327 p., gravures h.-t. couv. en état d'usage (petits accrocs, dos insolé), intérieur très propre. De la Préhistoire au début du XXe siècle.
Reference : 3395
Librairie Ancienne Laurencier
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broché - 13.5X20.5 - 327 PP - 1936 - FURNE, BOIVIN et cie, Paris- 26 planches photographiques
P., Boivin, 1936. In-8 broché, 327 pp., 16 planches en noir. (Les vieilles provinces de France).
Discret monogramme estampillé au faux-titre. Qq. rouss. en marge, bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Paris, Furne, 1936. In-8, broché, 327p. Ouvrage illustré de gravures h.t.Etat d'usage, couv. un peu fanée, rousseurs éparses.
L'histoire d’Orléans racontée par un orléanais de Louis D'illiers chez Houzé, Libraire et Chez Loddé, Libraire en 1940. Édition Numérotée 11/25/500 sur papier Madagascar, ornés de plans, illustrés par Galanis avec un courrier signé de Louis D'illiers. Le livre est illustré de deux culs-de-lampe par René Vallette. Les eaux fortes de Galanis ont été gravées par Roger Lacourière. Le livre mesure 19x24 cm et pèse 1,500 kg (c) pour 477+XLIV pages. Reliure d'éditeur souple, Broché. Le livre est en très bon état.
PRÉFACE Bien des savants se sont penchés et se penchent encore sur les textes où s'inscrit le passé de notre ville. Aucun n'en a tiré le travail d'ensemble et d'une lecture facile que réclament beaucoup de nos concitoyens. Qui veut connaître l'histoire d'Orléans doit feuilleter d'abord Lemaire ou Symphorien Guyon, puis, franchissant deux siècles, se plonger dans la chronologie trop sujette à caution de Lottin, ou, travail plus accablant encore, tenter de suivre dans ses méandres l'excellent M. Bimbenet. Le beau livre de M. Crozet n'a pas comblé cette lacune parce qu'une histoire de l'Orléanais n'est pas une histoire d'Orléans et moins encore une histoire des Orléanais. C'est celle-ci que j'ai tenté de raconter pour mes enfants, pour moi et pour les membres de cette grande famille que constituent les habitants d'une très vieille cité. Ce récit porte la trace de mes goûts : c'est œuvre d'amateur; quelques chapitres plus ou moins austères sont rac courcis au bénéfice d'autres plus attrayants et, grave méfait, je n'ai point voulu réfuter certaines de nos vieilles légendes auxquelles je persiste à accorder un fond de vérité. Telle quelle, et malgré des faiblesses que je n'ignore point, je confie cette histoire de leurs ancêtres à l'indulgence de mes concitoyens. A Dieu vat! L. I. 1938.