Francfort, Chez la Veuve Knoch & J. G. Eslinger, 1750. Imprimé chez Jean Bern. Eichenberg, l'Ain. In-12 relié demi toile bleue, pièce de titre, 144 & 205 pp. Première et Seconde Parties reliées ensemble. Très bon état : rares rousseurs.L'Edition originale date de 1743. Souvent réimprimés.
Reference : 13488
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A Londres, aux dépens de la Compagnie Relié 1785 In-12 (8,7 x 13,8 cm), reliure cartonnée, pièce de titre au dos lisse, 235 pages, tome 1 seul ; frottements aux coiffes, mors et coupes, déchirure sans manque de texte à la page 235, par ailleurs assez bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Amsterdam, La société des libraires , 0; in-4, 158+221 pp., cartonnage de l'éditeur. Très belle reliure signée L.MAGNIN, deux volumes réunis en un seul livre, demi-maroquin à coins tranche du haut dorée, dos à nerfs, feuilles de garde.
Très belle reliure signée L.MAGNIN, deux volumes réunis en un seul livre, demi-maroquin à coins tranche du haut dorée, dos à nerfs, feuilles de garde.
Francfort, Veuve Knocht & J. G. Eslinger, 1750. Deux parties en un volume de 144-205 pages, relié demi-basane blonde à coins, pièce de titre orange, tranches rouges. Reliure du XIXe siècle.
"Ce voyage galant dans les cours de l'Europe et particulièrement dans celle de France, a été mis à l'index, comme immoral par mesure de police, en 1825. L'auteur fait le parallèle des honnêtes femmes avec les phrynés [femme de moeurs légères] et le fait tournées à l'avantage de ces dernières. C'est un des romans satiriques les plus gais et les plus empoignants du siècle dernier. Il se rapproche en quelques manières des Lettres persanes." Gay-Lemonnyer. Une note manuscrite du XVIII ème précise: "Peu de philosophie, encore moins de morale, beaucoup de galanteries et des aventures sans vraisemblance; en un mot un livre peu recommandable pour la Jeunesse". Paru pour la première fois en 1743, cet ouvrage galant du fermier général Godard d'Aucour (1716-1795), connut un grand nombre d'éditions jusqu'au XIXe siècle. Note de lecture manuscrite à un feuillet blanc " Charles, baron de Fain, le 10eme d'Aoust 1792. La seconde fois le 8 de juin 1797". Quelques légères rousseurs, coins et dos frottés. Agréable exemplaire. Barbier, III, 261 (éd. de 1743); Quérard, I, 411; Gay-Lemonnyer, III, 190.
Constantinople [Paris] 1758 3 vol. in-16 basane fauve granitée, dos lisses cloisonnés et fleuronnés, pièces de titre et de tomaison cerise et bouteille, tranches rouges [Rel. de l'époque], manque de cuir à une coiffe inférieure, coins abîmés
1) 180 pp. - 2) 172 pp. - 3) 173 pp.Atabey 507 et 508 (pour deux tirages différents de l'originale). Pas dans Blackmer. Cette délicieuse turquerie, d'abord parue en 1743, est l'œuvre du fermier général Godard d'Aucour (1716-1795), auteur de nombreux ouvrages galants ; elle connut un nombre impressionnant d'éditions jusqu'au XIXe siècle
Par La Société des Libraires, AAmsterdam 1767 (S.d.), 118pp. ; 166pp., relié.
Nouvelle édition sans date, après la première parue en 1743. Rare. Edition non répertoriée par Cioranescu qui donne celle de 1758 et celle de 1776. Reliure en pleine basane brune d'époque marbrée. Dos à nerfs orné. Pièce de titre en maroquin beige. Coiffe de tête élimée. Un coin émoussé et dénudé. Un papier de restautation ancien collé sur la dernière page de texte de la première partie. Bon exemplaire. En pleine mode des "turqueries", et après Marana, Montesquieu, Godard d'Aucourt donne à son tour sa contribution à ce curieux genre littéraire et artistique par l'histoire d'un turc débarquant à Paris en compagnie de son esclave aimée et confronté aux moeurs parisiennes galantes. La première partie du roman étant raconté à la première personne, et donc du point de vue restrictif d'un prince turc, elle n'est pas sans humour et situations libertines, les cent première pages racontant les amours passionnés du narrateur en Turquie sous la forme du conte oriental. La seconde partie est un échange de lettres entre le narrateur et une de ses esclaves, ce dernier y conte l'histoire de ses amours. tampon en page de titre : L. Sigardi fils. - Photos sur www.Edition-originale.com -