PARIS. UNION LATINE D'EDITIONS. 1945. IN-4 CAVALIER (25 X 34,5 CENTIMETRES ENVIRON) DE (2) + XXXI ET 203 PAGES, SOUS COUVERTURE GRISE REMPLIEE ET EMBOITAGE CARTONNE DE L'EDITEUR. TRADUCTION DE RAOUL MORTIER. ILLUSTRE DE 16 GOUACHES HORS TEXTE PAR BRAYER, REPRODUITES EN COULEURS AU POCHOIR PAR JACOMET. PREMIER TIRAGE LIMITE A 975 EXEMPLAIRES NUMEROTES, TOUS SUR VELIN. ROUSSEURS SUR LA COUVERTURE UNIQUEMENT, SINON BEL EXEMPLAIRE, INTERIEUR FRAIS.
Reference : 2227
Librairie du Château de Capens
M. Xavier Ottavi
Château de Capens
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État : Bon état - Année : 1943 - Format : in 8° - Pages : 300pp - Editeur : Albin Michel - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché - Divers : Couv un peu usagée. Mors fendus et recollés. Mention 2e mille. - Collection : Les chefs-d'oeuvre et l'Histoire - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/emile-mireaux/3699-la-chanson-de-roland-et-l-histoire-de-france?lrb
L'auteur, historien très sérieux et membre de l'Institut, décortique ˮLa chanson de Rolandˮ, poème épique sans doute remanié de nombreuses fois, pour tenter d'en extraire les éléments historiques ou tout au moins de démontrer que le sens poètique de son auteur s'inscrit dans une perspective historique correspondant à son époque. Ainsi, ˮLa chanson de Rolandˮ est, en fait, celle de Charlemagne. ˮToutes les poésies doivent être des poésies de circonstance, c'est à dire que la réalité doit en avoir donné l'occasion et fourni le motif.ˮ (Goethe) Rechercher comment et dans quelle mesure les chefs-d'oeuvre du passé s'expliquent par l'histoire du temps qui les a vu naître, montrer que ces chefs-d'oeuvre à leur tour éclaire cette histoire, tel est l'objet de la présente collection.
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Paris, Les Editions de l'Ibis, 1986. Grand in-4 de 195 pages. Le texte est celui du manuscrit d'Oxford, XII ème siècle, dans sa traduction en français moderne établie en 1872 par Léon Gauthier et il est imprimé dans de beaux et larges encadrements en couleurs dans le style des miniatures. Les illustrations de Jean-François Mincet ont été mises en couleurs à la main. Tirage limité à 950 exemplaires. Un des 60 exemplaires sur vélin chiffon de Lana auquel est joint : deux pages de croquis signées par l'illustrateur, une suite du dessin au trait de toutes les illustrations et une planche en pleine page encadrée et signée par l'illustrateur. Notre exemplaire porte le numéro LV. Certificat d'authenticité joint. Superbe reliure d'éditeur de grand luxe vert-olive. Les plats sont richements ornés : sur le premier, d'une plaque en creux du portrait de Roland en pieds dans un encadrement de motifs à froid et dorés, sur le second de l'épée de Roland dans un encadrement de même. Dos à larges nerfs orné de motifs à froid. La suite dans son portefeuille remplié de papier blanc, légendée est dans son portefeuille de soie moirée avec dos lisse . Etui bordé de même et recouvert de soie moirée. Le tout en parfait état.
La Chanson de Roland est un poème épique et une chanson de geste du XIe siècle attribuée parfois, sans certitude, à Turold (la dernière ligne du manuscrit dit : Ci falt la geste que Turoldus declinet). Neuf manuscrits nous sont parvenus, dont un, le manuscrit d'Oxford du début du XIIe siècle, le plus ancien et le plus complet, est en anglo-normand. Ce dernier, identifié en 1835, est considéré par les historiens comme le manuscrit d'autorité. C'est donc lui que l'on désigne quand on parle sans autre précision de la Chanson de Roland. La Chanson de Roland comporte quatre mille deux vers (dans sa version la plus ancienne ; elle en compte neuf mille dans un manuscrit de la fin du XIIIe siècle) en ancien français répartis en laisses assonancées, transmises et diffusées en chant par les troubadours et jongleurs. Elle s'inspire, trois siècles après, du combat fatal dans les Pyrénées du chevalier Roland, préfet de la Marche de Bretagne et de ses compagnons d'armes contre une force toujours identifiée avec difficulté, possiblement des Basques.
Paris Lecene & Oudin 1887 In12 2 volumes - Belles reliures demi-basane rouge - dos a nerfs 737 et 765 pages - bon etat pour l'ensemble même si les bords de reliure sont légèrement frottés - manque de papier sur un 4eme plat - (voir mes scans)
Bon
Paris Marpon et Flammarion Editeurs sans date ca 1930 1 in 16 Couverture percaline Cartonnage Editeur Girard et Boitte 237[pp] Découverte de la chansonHenri Monin découvrit, en 1832, un poème nommé « La chanson de Roland » dans la Bibliothèque du roi. Francisque Michel donne une première édition du texte en 1837 qui était fondée sur un autre manuscrit conservé à la bibliothèque d'Oxford en Angleterre. Ensuite, d'autres manuscrits sont découverts à Venise, à Versailles, à Lyon et à Cambridge. Toutefois celui d'Oxford présente le plus d'autorité, il est écrit de la main d'un scribe anglo-normand et date de 1170 environ.
Les quatre parties de la chanson1. La trahison de Ganelon : Ganelon, beau-frère de Charlemagne et beau-père de Roland, jaloux de la préférence de Charlemagne envers son neveu auquel l'empereur a confié l'arrière-garde de ses armées, cherche à se venger et, se faisant, trahit la France et son suzerain. Il intrigue avec Marsile, roi de Saragosse, pour sassurer de la mort de Roland en livrant l'arrière-garde à l'armée ennemie. Cette partie va des laisses 1 à 79 dans la chanson.2. La bataille de Roncevaux : Roland et son compagnon le chevalier Olivier, ainsi que toute l'arrière-garde de l'armée de Charlemagne, meurent dans la bataille en emportant avec eux une grande partie de leurs assaillants. Cette partie va des laisses 80 à 176.3. La vengeance de Charlemagne sur les Sarrasins : Roland avait sonné du cor pour alerter Charlemagne, mais trop tard et quand le reste des armées arrivent pour secourir l'arrière-garde, le comte est déjà mort. Charlemagne venge alors son neveu en battant les Sarrasins avec l'aide de Dieu. Cette partie va des laisses 177 à 266.4. Le jugement de Ganelon : Après la bataille, Charlemagne fait juger Ganelon qui est condamné à mourir écartelé. Cette partie va des laisses 267 à 291. Bon état de conservation , pages légèrement jaunies et rousseurs éparses mais exemplaire agréable. Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique. Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique. Disponibilité sous réserve de vente en boutique, prix valable frais de port inclus pour commande > 90 € et poids < 1 Kg
[gradassi] - PLAZZOLLES Louis-Robert illustré GRADASSI Jean
Reference : CCC00019
(1962)
mb.Club du livre Paris, Philippe Lebaud éditeur, 1962. Couverture rigide.les 2 livres sont en tres bon etat et sont dans un coffret, ce dernier est legerement frotte, in-4 , le coffret c'est un emboitage avec le dos de 2 livres. Reliure du livre principale est en pleine cuir marron ornée de cinq clous en laiton sur chacun des plats et d'un décors de croisettes et de losanges entrelacés dans le goût médiéval. Dos à 5 faux nerfs, portant le titre en lettres dorées (19x24 cm)pour les chanson de Roland et l'autre livre a une reliure en pleine cuir marron portant les armoiries de Kenelm Digby sur le plat supérieur. Dos muet à 4 faux nerfs (12x18 cm)pour le manuscrit d'Oxford 72 feuillets. Traduction originale du manuscrit d'Oxford et commentaires de Louis-Robert Plazzolles. L'ouvrage de la chanson de Roland a des enluminures de Jean Gradassi pleines pages. Tranche supérieure dorée. Avec un FACSIMILE du manuscrit de la Bodleian Library d'Oxford reproduisant fidèlement toutes les particularités du manuscrit (irregularités des feuillets, trous.) Le tout conservé dans un LUXUEUX EMBOITAGE legerement abime reproduisant la forme de deux livres factices reliés en peau marron et portant les titres "La chanson de Roland" et "Le manuscrit d'Oxford". Le manuscrit d'Oxford est le plus ancien manuscrit de chanson de geste qui nous soit parvenu (XIIème siècle). Il s'agissait probablement d'un modeste volume à l'usage d'un jongleur chargé de réciter ou chanter ces vers. Il fut offert au XVIIème siècle à la Bodleian Library par Kenelm Digby, philosophe brillant et fantasque, et ami de Descartes.photos possibles
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