Signé par René Lacoste à l'encre noire.Précoce portrait de l'un des « Quatre Mousquetaires » du tennis français. [Wimbledon, 1927]. 1 photo (115 x 170 mm) dans l'encadrement (280 x 335 mm) monté sur carton floqué du logo Lacoste. Signé par René Lacoste à l'encre noire.
Reference : 26905
René Lacoste, l’un des « Quatre Mousquetaires » du tennis français avec Henri Cochet, Jean Borotra et Jacques Brugnon, a remporté la Coupe Davis pour la France en 1927 et 1928. Sur le plan individuel, il a remporté à trois reprises les Internationaux de France de tennis (1925, 1927, 1929), deux fois le tournoi de Wimbledon (1925, 1928) et deux fois l’US Open (1926, 1927). Il fut désigné meilleur joueur du monde en 1926 et 1927. René Lacoste est évidemment connu pour ses activités d’industriel, et particulièrement pour la marque de textile portant son nom dont le logo est un crocodile. Son surnom, « le crocodile », the Alligotor, lui fut attribué par la presse américaine, à la suite d’un pari qu’il aurait fait en 1923 avec Allan Muhr, alors capitaine de l’équipe de Coupe Davis, à Boston. Lacoste aurait craqué sur une superbe malle en alligator dans la vitrine d’une boutique. Allan Muhr, voyant l’intérêt de acoste pour cet objet lui aurait proposé ce pari : s’il remporte un match décisif, la malle est à lui. Le match fut perdu, mais l’anecdote du pari remonta jusqu’à un journaliste qui décida de surnommer Lacoste The Alligator, ce qualificatif rappelant aussi qu’il était un joueur tenace « qui ne lâchait jamais sa proie ». S’inspirant du surnom donné à Lacoste, Robert George dessine alors un crocodile, qu’il fait broder en 46 couleurs sur le blazer blanc que porte en avant match Lacoste, au niveau de la poche. Cette photographie, prise à Wimbledon en 1927, est l’un des plus célèbres du joueur arborant ce fameux blazer. Six ans plus tard, après avoir mis un terme à sa carrière, il lance avec André Gillier, le leader de la bonneterie française, la marque Lacoste, une collection de polos principalement destinée aux joueurs de tennis et aux golfeurs. Habitués à porter une chemise aristocratique à manches, les joueurs de tennis vont rapidement se laisser convaincre par le caractère à la fois sportif et élégant de ces nouvelles tenues. Ce logo à usage personnel devient vite le symbole de la marque. Le logo varie selon les tailles et couleurs avant que Lacoste ne tranche pour un petit crocodile vert à écailles blanches, gueule ouverte et rouge. Qui ne connaîtra aucune variation jusqu’en 2011, où le logo subit une légère refonte.
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CONRADY (Alexander) Général allemand de la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale (1903-1983).
Reference : 85C26
Photographie signée le représentant en tenue d’officier. (8,8 x 12,5 cm).
1970, 21,9x16,2cm, une feuille.
Photographie originale de Lawrence Durrell signée et datée, réalisée par le photographe Mark Gerson, et portant son tampon au verso : "šPhotograph by MARK GERSON, FIIP. ARPS. 24, Cavendish Ave., St. John's Wood, London NW8". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes sur un menu de restaurant et à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. Photographie originale en noir et blanc de Lawrence Durrell portant une signature autographe de l'auteur : "Buttons you are impossible 1970", adressé à Janine Brun, sa jeune amante française. L'écrivain pose souriant devant l'objectif du célèbre photographe portraitiste d'écrivains Mark Gerson, à l'occasion d'une séance de signatures à Londres pour la parution deTunc, le premier voume de sa série d'ouvrages distopiques intituléeLaRévolte d'Aphrodite. Cette photographie fut adressée à une jeune amante de l'auteur,qui, àSommières comme à Paris, égaya ses journées solitaires à la fin des années soixante et soixante-dix. Janine Brun, aussi surnommée "Buttons" dans les lettres de l'écrivain, fut ainsi décrite par le biographe de Durrell Ian McNiven : "She was almost thirty but she looked much younger, with a girl's small-breasted figure, as dark-haired as Claude Kiefer was blonde, and not languorous but tremendously energetic" (" Elle avait presque trente ans mais avait l'air bien plus jeune, avec une silhouette de jeune fille aux seins menus, aussi brune que Claude Kiefer [une autre de ses amantes, femme d'un chirurgien suisse] était blonde, pas tant langoureuse qu'extrêmement énergique", (Lawrence Durrell: A Biography, page 591). Leur relation se prolongea jusqu'à la fin des années 1970, Jani/Buttons apparaissant à l'occasion dans les oeuvres de Durrell (et notamment le poème« Vaumort»,Collected Poems: 1931-1974) et dans la fameuse correspondance de l'écrivain avec Henry Miller : "that little demon Buttons [...] turned up for a New Year TRINC and stayed the night with me finally, in my eternal little Room 13 at the Royal" ("Buttons ce petit démon arriva pour trinquer à la nouvelle année et passa enfin la nuit avec moi, dans mon éternelle petite chambre du Royal", lettre de Durrell à Miller, 6 janvier 1979). Elle reçut également des lettres et cartes postales pleines de sollicitude, d'allusions intimes et de conseils de lecture de la part de Durrell et de son grand ami Henry Miller, ainsi que des uvres d'art originales signées par Lawrence Durrell lui-même. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.N. S.L. 1989 Lettre dactylographiée et signée ( 295 X 210 mm ) + photographie en couleurs signée de Antoine PINAY, datées du 13/04/1989 adressées à Claude VIDAL. Parfait état. Ensemble, 2 documents.
S.N. S.L. 1961 Lettre dactylographiée et signée ( 270 X 210 mm ) + photographie en noir ( 175 X 125 mm ) signée de Carlo RIM, datées du 04/12/1961. Parfait état. Ensemble, 2 documents.
S.N. S.L. 1961 Lettre dactylographiée et signée ( 270 X 210 mm ) + photographie en noir ( 140 X 90 mm ) signée de Léon ZITRONE, datées du 01/12/1961. Parfait état. Ensemble, 2 documents.