P., Livre de Poche, in-12, br., couv. ill., très nombreuses illustrations en noir, index. (Chr)
Reference : 3355629
- Tome 1. L'Art antique. 1965, 364 pp., 209 ill. - Tome 2. L'Art médiéval. 1964, 378 pp., 155 ill. - Tome 3. L'Art renaissant. 1965, 381 pp., 180 ill. - Tome 4. L'Art moderne, vol. 1. 1976, 379 pp., 197 ill. (la couv. de ce tome est couleur orange). - Tome 5. L'Art moderne, vol. 2 1965, 314 pp., 142 ill. Série Art.
Librairie HURET
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Paris, Somogy éditions d'art, 2013. In-4, 798 pp., cartonnage éditeur de toile noire, jaquette originale illustrée (petits frottements).
Monographie relatant l'histoire de l'art chinois durant le XXe siècle. Elle explore les thèmes de la peinture traditionnelle, l'influence occidentale ou encore la politique dans les oeuvres d'artistes chinois. Elle comprend de nombreuses reproductions en couleurs. Voir photographie(s) / See picture(s) * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
Précieux exemplaire conservé dans sa reliure de l’époque de cette œuvre d’intelligence de Diderot unissant l’art et la littérature. A Paris, Chez Fr. Buisson, L’An Quatrième de la République (1795). In-8 de (2) ff. faux titre et titre, iv et 415 pages, coin inf. du titre déchiré sans atteinte au texte, pte. déch. en marge des pp. 85 et 321 sans manque. Demi-maroquin rouge à coins verts, tranches jaspées. Reliure de l’époque. 196 x 120 mm.
Edition originale importante, l’une des plus difficiles à trouver parmi les œuvres de Diderot, dans laquelle il exprime au moyen de la littérature «toute sa doctrine sur l’art au XVIIIe siècle.» Écrit sous forme de journal manuscrit avant d’être ici imprimé, ce texte fut réservé à une douzaine de souscripteurs: Catherine II; le prince de Prusse… Adams, EF1; Tchemerzine, II, 964. «Cet essai de Diderot écrit en 1766 resta inédit jusqu’en 1795. Diderot y expose les principes qui l'ont guidé dans la critique de ses Salons, il y étudie la peinture en suivant le classement habituel: le dessin, le clair-obscur, et surtout la couleur, à la compréhension de laquelle il arrive à travers le concept naturaliste: l'art est imitation de la nature ; celle-ci est imitable pour autant qu'elle est visible, et elle est visible pour autant qu'elle est colorée. Diderot se montre assez peu sensible à la magie du dessin : pour lui, un bon dessin peut toujours s'apprendre, tandis que la couleur est un don de la nature ; c'est elle qui révèle le plus sûrement le caractère d'un peintre et qui lui permet d'entrer en communication directe avec l'imagination du public. Le caractère, l'humeur même de l'artiste influent sur sa manière de colorer : il suffirait de voir comment il mélange ses couleurs sur sa palette, comment il les dépose sur sa toile, pour se faire une idée de la richesse et de l'originalité plus ou moins grandes de son art. L'accord est la loi fondamentale du coloris. Il y a des accords simples, faciles, agréables à voir mais attendus, qui sont le propre des peintres médiocres ; il y a des ‘peintres pusillanimes’, ‘des ronds-de-cuir de la peinture’ qui se restreignent et se répètent. Les peintres de génie se reconnaissent à leur ‘pinceau intrépide’, qui cherche inlassablement et crée les accords les plus nouveaux et les plus difficiles, et joue sur les contrastes les plus audacieux. De telles idées, exprimées dans le style ‘parlé’ de Diderot, extraordinairement vivant et coloré, capable de refléter d'une manière incomparable toute la chaleur d'une discussion animée, donnent toute sa signification à cet essai où s'exprime toute la doctrine sur l’art du XVIIIe siècle.» (Dictionnaire des Œuvres, II, 734). Ce volume réunit les textes de Diderot qui contiennent l’essentiel de ses idées sur l’art, y compris ses Observations sur le Salon de Peinture de 1765, célèbre essai critique par lequel il se fit rénovateur de la critique de salon d’art. Diderot, dans ces écrits, tâche de ramener les artistes à une observation plus sincère de la nature. Il n’envisage pas l’œuvre d’art sous le seul angle des qualités formelles, mais s’attache aussi à la décrire dans ses rapports ambigus, souvent déterminants, avec la société et les institutions politiques. «Métier d’écrivain, métier de peintre, le texte de Diderot va de l’un à l’autre. Il ne lui suffit plus de regarder, de décrire, de penser, de juger, il va expérimenter la peinture par l’écriture dans sa capacité à rendre le visible… Il fait entrer l’écriture dans le tableau, et pas par la petite porte.» - Le Monde. Précieux exemplaire conservé dans sa reliure de l’époque de cette œuvre d’intelligence de Diderot unissant l’art et la littérature.
Ensemble de trois volumes avec reliure pleine-toile grise. Dos lisses avec pièce de maroquin rouge sur laquelle la mention d'auteur et le titre sont inscrits en doré. Tranches de tête mouchetées. Couvertures bien conservées. Pages non-ébarbées. Frontispices en noir et blanc. Papier légèrement jauni. Bel état des contenus ornés d'illustrations en noir et blanc hors-texte. Exemplaires dotés de leur signet de tissu rouge. Minuscules piqures et annotations manuscrites éparses sur les contenus.
Paris. Plon. Tome I : 1947; Tome II : 1948; Tome III : 1948. Tome I : 189 pp.; Tome II : 340 pp.; Tome III : 308 pp. In-8. Cartonnés. Très bon état. 3 tomes. Série de livres écrits par l'essayiste et historien de l'art du XXe siècle, Élie Faure. Grâce à lui vous pourrez suivre l'évolution de la notion "d'art" de balbutiement antiques aux expérimentations de l'époque moderne.
Couverture beige illustrée avec titre en rouge. Intérieur très propre. Riche iconographie en noir et blanc.
Paris Les éditions d'histoire et d'art, Librairie Plon 1947 Tome 1: 189 pp. Tome 2: 242 pp. Tome 3: 215 pp. Tome 4: 340 pp. In-8 Brochés. Très bon état. 4 tomes.
Paris, Étienne Gide, 1801-1803 "3 volumes in-4 de CII, 695; (1) pp., 25 pl. - (2) ff., 692 pp, 37 pl. - (4) ff., 405 pp., 3 pl., veau raciné, roulette dorée en encadrement sur les plats, dos à nerfs ornés de caissons de fleurons dorés, pièces de titre et de tomaison de maroquin rouge et olive, roulette dorée sur les coupes, tranches marbrées (reliures de l'époque)."
"Nouvelle édition française, revue et illustrée, du texte fondateur de l'histoire de l'art. Elle réunit 164 gravures en tailles-douces : 3 frontispices - dont le portrait de Winckelmann gravé d'après le tableau de Mengs -, 65 planches hors-texte et 96 vignettes d'en tête et culs-de-lampe. Le texte de la Geschichte der Kunst des Alterthums traduit par Michel Huber et révisé ici par Hendrick Jansen, est précédé de trois préfaces - celle de Huber, celle de l'édition italienne de 1779, et celle de Carlo Fea pour l'édition romaine de 1783 -, ainsi que des Mémoires sur la vie et les ouvrages de Winkelmann par Huber, et de son Éloge par Heyne. L'Histoire de l'art chez les Anciens présente les recherches les plus abouties de Winckelmann. Le savant allemand y étudie les débuts, les progrès, la plénitude et la décadence de l'art, avec un développement - après l'évocation des œuvres des Égyptiens, Phéniciens, Perses, et Étrusques -, sur les différents styles de l'art grec. À partir de l'exemple de la Grèce, Winckelmann souligne, au-delà de l'influence du climat, le rôle fondamental d'un régime de liberté comme condition à l'épanouissement des arts. ""À l'égard de la constitution et du gouvernement de la Grèce, la liberté forme une des principales causes de la prééminence des Grecs dans l'art"" (I, p. 323). Dépassant les simples questionnements archéologiques, Winckelmann invente l'histoire de l'art : ""faire entrer l'art grec dans l'histoire, c'était reconnaître une vérité toute simple, à laquelle personne n'avait pensé avant lui: que l'art grec était mort, et que sa seule résurrection possible ne passait pas par l'imitation […], mais par l'écriture de l'histoire"" (E. Pommier). Dès 1765, Winckelmann commença à travailler à une nouvelle édition de son maître livre, mais son assassinat à Trieste en 1768 ne lui permit pas de mener à bien ce projet. Cette édition comprend en outre, à la suite de l'Histoire de l'art : dans le deuxième volume, les Observations sur l'architecture des Anciens de Winckelmann, les Observations sur le Temple de Girgenti, en Sicile, et dans le troisième volume, la Lettre du Père Paolo, sur l'origine et l'antiquité de l'architecture ; De la peinture chez les Anciens, pour servir de suite à l'histoire de l'art par MM. B. Rode et A. Riem ; De la toreutique des Anciens, ainsi que les Observations sur quelques passages de l'Histoire de l'art par Hayne ; et enfin les Observations de Lessing sur l'Histoire de l'art. Le dernier tome se complète de l'Explication des planches, vignettes et fleurons (pp. 235- 341) et d'une table détaillée. Très bel exemplaire en veau orné de l'époque. Vinet, Bibliographie méthodique et raisonnée des Beaux-Arts, 1255. - Édouard Pommier, Winckelmann, inventeur de l'histoire de l'art, pp. 188-198. - PMM, n° 210 (pour l'originale allemande de 1764)."
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