‎Revue AILLEURS.‎
‎Revue Ailleurs. n° 7.‎

‎P., Ailleurs, 1965, in-8 étroit, br., couv. ill., nombreuses illustrations et photos en noir. (S2B91) ‎

Reference : 1366862


‎Intéressante revue dirigée par Henri Tronquoy : littérature, arts plastiques, anticipation, critique. ‎

€15.00 (€15.00 )
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Librairie HURET
M. Jean-Etienne HURET
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‎Collectif‎

Reference : R100054720

(2004)

‎Recherches en Esthétique Revue du C.E.R.E.A.P. n°10 oct.2004 - L'Ailleurs - Marc Jimenez, l'ailleurs ? entretien avec Dominique Berthet - Heiner Whitmann, la photographie de l'ailleurs une esthétique de la vue - Richard Shusterman...‎

‎Revue du C.E.R.E.A.P.. 2004. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 191 pages - nombreuses illustrations en couleurs et en noir et blanc dans et hors texte - quelques traces de crayon à papier en marge à l'intérieur de la revue ne gênant pas la lecture.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Marc Jimenez, l'ailleurs ? entretien avec Dominique Berthet - Heiner Whitmann, la photographie de l'ailleurs une esthétique de la vue - Richard Shusterman, affinités des ailleurs : esthétiaque pragmatiste, pensée chinoise, pensée grecque - Dominique Chateau, l'ailleurs poétique - Scrlett Jesus, Paul et Virginie images d'un ailleurs - Aline Dallier-Popper, Werther, du roman de Goethe à l'opéra de Massenet - Dominique Berthet, la passion des lointains - Jean Marc Lachaud, Luis Bunel, un surréaliste flamboyant et corrosif - Kunio Tsunekawa, notre ailleurs - Hervé Pierre Lambert, Octavio Paz et l'ailleurs indien etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎Revue Autrement - Collection Français d'ailleurs, peuple d'ici / Karima Direche-Slimani et Fabienne Le Houérou‎

Reference : 12648

Phone number : 04 78 38 32 46

EUR8.00 (€8.00 )

‎PERRIN, Emile‎

Reference : 44449

(1860)

‎Chronique Musicale. [ Manuscrit autographe signé de 12 pp. in-8, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860 ] "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎

‎Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎


‎Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR390.00 (€390.00 )

‎Revue La Psychanalyse de l'Enfant - Revue de l'Association Freudienne - Gabriel Balbo - Claude Jeaugirard - Jean-Pierre Lebrun - Pascal Martin - Rozenn Le Duault - Gabriel Balbo - Jacques Hébert - Bernard Penot - Marie-Christine Laznick - Denise Vincent - Claude Wacjman - M. Basquin et J.-C. Lemaire - Denise Lachaud - Danièle Brunewal - Simone Viargues‎

Reference : 87180

(1985)

‎"Revue La Psychanalyse de l'Enfant n° 1 - Que serait aujourd'hui une bonne institution pour les enfants ? , Revue de l'Association Freudienne (1. Arguments : Introduction à la question de l'économie de l'institution - Point de fuite - Sexuation et institution - D'ailleurs - De la ""bonne"" institution - Sujet attributif et sujet de l'attribution - Du Kibboutz à Summerhill - Rôle de la synthèse clinique - L'enfant psychotique est-il lettre volée ? - La Révolution française aurait voulu mettre au monde une bonne institution éducative - L'établissement de l'institution Enfance inadaptée - La polyphonie comme révélatrice de l'histoire - La langue maternelle - 2. Cliniques : A propos de dysorthographie et de dyslexie - Réflexion sur la pratique de la rééducation psycho-pédagogique - Plaidoyer pour l'artisan - 3. Cabinet de lectures (comptes rendus)"‎

‎Joseph Clims Editeur , Revue La Psychanalyse de l'Enfant - Revue de l'Association Freudienne Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1985 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur orangé saumon, illustrée d'une image en noir et blanc grand In-8 1 vol. - 192 pages‎


‎ 1ere édition, 1985 "Contents, Chapitres : Gabriel Balbo : Editorial - 1. Arguments : Introduction à la question de l'économie de l'institution - Claude Jeaugirard : Point de fuite - Jean-Pierre Lebrun : Sexuation et institution - Pascal Martin : D'ailleurs - Rozenn Le Duault : De la ""bonne"" institution - Gabriel Balbo : Sujet attributif et sujet de l'attribution - Jacques Hébert : Du Kibboutz à Summerhill - Bernard Penot : Rôle de la synthèse clinique - Marie-Christine Laznick : L'enfant psychotique est-il lettre volée ? - Denise Vincent : La Révolution française aurait voulu mettre au monde une bonne institution éducative - Claude Wacjman : L'établissement de l'institution Enfance inadaptée - M. Basquin et J.-C. Lemaire : La polyphonie comme révélatrice de l'histoire - Denise Lachaud : La langue maternelle - 2. Cliniques : Danièle Brunewal : A propos de dysorthographie et de dyslexie - Simone Viargues : Réflexion sur la pratique de la rééducation psycho-pédagogique - Denise Vincent : Plaidoyer pour l'artisan - 3. Cabinet de lectures (comptes rendus)" infimes traces de pliures aux coins des plats de la couverture, dos de la couverture un peu insolé, sinon bon état, intérieur frais et propre‎

Librairie Internet Philoscience - Malicorne-sur-Sarthe
EUR15.00 (€15.00 )

‎[REVUE]‎

Reference : 19127

‎GULLIVER. Revue littéraire Gulliver. Numéros 1 à 5. Le pouvoir des mots (n°1), L'écriture voyage (n°2/3), En France... et ailleurs (n°4), La guerre (n°5)‎

‎ Revue littéraire Gulliver, rédaction : O. Cohen, A. Dugrand, M. Le Bris. Première année complète en 5 numéros publiés entre janvier 90 et janvier 91 (4 livraisons avec un n° double). N°1- Le pouvoir des mots, n°2/3 – L’écriture en voyage, n° 4 – En France et ailleurs…, n° 5 – La Guerre. En tout, plus de 1200 pages. Sommaires de rêve : Havel, Rushdie, Kundera, Blondin, Morand, Miller, Hardellet, Mutis, Stevenson, Morin, Conrad, Malraux, Bouvier, Chatwin, Ford, etc. Etat neuf pour les 3 premiers volumes, petits défauts au 4e. ‎


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