P., Publications de la Sorbonne, 1980, gr. in-8, br., couv. ill., 221 pp., 3 index des noms de personnes, géographique et des noms de journaux. (Z.13)
Reference : 1365009
Joseph Caillaux (1863-1944), homme politique français. Mémoires, souvenirs et documents. À travers ses souvenirs et sa correspondance, l'auteur offre à la fois des documents de première importance pour l'historien et sa vision personnelle d'une période exceptionnelle de la France contemporaine. Préface de Jean-Baptiste Duroselle. Envoi de l'auteur : "À Monsieur Burgelin qui porte un grand nom, ces pages sur un Homme d'État qui préférait l'Homme en vie et la Paix à la guerre". Université de Paris I Panthéon-Sorbonne. Série "Documents", n° 31.
Librairie HURET
M. Jean-Etienne HURET
9 rue de la Pompe
75116 Paris
France
33 01 40 50 15 40
TELEPHONER avant de venir à la librairie car une grande partie de notre stock est en réserve, il faut 48 heures avant qu'il soit à la librairie. Les ouvrages sont expédiés après réception du règlement (chèque,carte Visa,virement) SAUF PAYPAL. Frais de port variables selon poids à ajouter au prix du livre. Envoi en colissimo (Livres et brochures pour l'étranger pour les livres de moins de 70 €) sauf indication contraire du client.
Publications de la Sorbonne, 1980, gr. in-8°, xii-221 pp, préface par J.-B. Duroselle, 3 index, broché, couv. illustrée, bon état, envoi a.s. de E. Roche
"Ce qui fait l'objet des souvenirs d'Emile Roche, c'est l'exposé, tout simple et sans emphase, de la naissance et du développement d'une exceptionnelle amitié. Vingt-huit ans les séparent. Au moment où Emile Roche, journaliste déjà confirmé, rencontre pour la première fois Joseph Caillaux en 1927, celui-ci a déjà derrière lui l'essentiel de sa carrière. Mais il continuera, par la présidence de la commission des Finances du Sénat, à jouer un rôle considérable, supérieur, en bien des cas, à celui des présidents du Conseil, paralysés par l'instabilité du système... En 1927, Emile Roche a trente-quatre ans. Mais c'est à dix-huit ans, au plus tard – lors du grand ministère Caillaux, marqué par la crise marocaine et l'affaire d'Agadir – , qu'il se prend d'admiration pour celui qui deviendra son « grand maître ». Lieutenant en 1917, il est favorable à Caillaux, l'homme de la paix juste, plutôt qu'à Clemenceau le « jusqu'au-boutiste » ; cela lui vaut quelques querelles avec ses supérieurs et ses pairs. Il est hostile aux mesures prises contre Caillaux. Inscrit, dès sa démobilisation, au parti radical-socialiste, il salue l'amnistie de 1924 ; il approuve les brefs passages de Caillaux aux Financés en 1925 et 1926 : il l'écoute dans les réunions publiques. Bref, lorsqu'il rencontre l'homme d'Etat, il est bien préparé à passer du statut d'admirateur lointain à ceux, qui vont se succéder rapidement, de disciple, de conseiller, de confident, de collaborateur, et finalement d'ami intime et préféré. Mon rôle n'est pas ici de résumer un livre qui frappera le lecteur par l'originalité de sa préparation et par son caractère, direct, attachant, émouvant parfois. Je me contenterai d'insister sur sa division « tripartite ». Des pages de « mémoires », concises, sur ce qu'on pourrait appeler la « préparation ». Puis, l'ensemble des souvenirs sur Caillaux, regroupés et organisés selon un plan cohérent. Et enfin, l'étonnante correspondance entre le maître et le disciple – étonnante par l'évidente franchise qui jaillit de l'une et l'autre plumes. Pour notre malheur, une moitié de ces lettres ont été détruites du fait de l'occupation allemande. Pour notre bonheur, ce qui reste est l'essentiel. Mon collègue et ami Jean-Claude Allain, professeur à l'université du Maine et éminent biographe de Caillaux, a assuré la présentation scientifique de cette correspondance." (J.-B. Duroselle)
1 document officiel pré-remplié complété par un secrétaire du Cabinet, 1 p. in-4, signée par Joseph Caillaux, contresigné par Georges Leygues avec 5 mots autographes, 29 avril 1900
On connaît la pratique de l'époque consistant à privilégier veuves et orphelins de fonctionnaires et militaires aux postes de débitants de tabac. Ce système prendra fin 6 ans plus tard, en 1906. Bon état
Paris, Les Editions du Monde moderne, 1930 ; in-8°, broché, couverture rempliée blanche imprimée en noir et rouge; 296pp.,1f.; 2 illustrations hors texte en couleurs par Bernard Lamotte. Edition originale .Tirage total à 1520 exemplaires numérotés, celui-ci 1 des 50 sur papier vélin pur fil Lafuma Navarre. Bel envoi autographe signé de l'auteur à M. et Madame Purifié ( de Mamers et Paris). Exemplaire enrichi d' une coupure de presse ( de 1930, journal non identifié), d'un article intitulé : " Les Souvenirs du Vieux Logis " par Joseph CAILLAUX , avec le Manuscrit Original autographe signé de cet article consacré à l' ouvrage de Marmande , abondamment raturé et corrigé par Caillaux. 3 pages in-4°.
Le célèbre homme politique Caillaux et Marmande s'étaient fréquemment rencontrés chez M. et Mme Purifié ( les dédicataires de l'ouvrage) à Mamers dans la Sarthe. Couverture très légèrement jaunie, une coupure de presse de l'époque insérée dans l' ouvrage a jauni 2 pages. ( Reu-Bur)
MESSIDOR. 1938. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages augmentées de nombreuses illustrations et photographies en noir et blanc in et hors texte - manque un article en derniere page. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
NOTA: Léon Henri Jouhaux est un syndicaliste français, né à Paris (XV) le 1 juillet 1879 et mort à Paris (XII) le 28 avril 1954 . Ouvrier allumettier et syndicaliste, il est secrétaire général de la Confédération générale du travail (CGT) de 1909 à 1947, puis fondateur et président de la Confédération générale du travail - Force ouvrière ...En 1937, Jouhaux, à son tour, avec le concours de l’appareil de la CGT, lança un journal, Messidor, dont le double objectif était bien dans la manière de Jouhaux : se poser en arbitre entre les hommes de la VO et ceux de Syndicats et, d’autre part, grâce à des collaborations et à une diffusion extra-syndicales, populariser des analyses et des positions : il multipliait à cette époque sa collaboration à des journaux non syndicaux : on trouvait sa signature dans de grands hebdomadaires comme La Lumière ou dans des quotidiens de province : Le Populaire de Nantes, La Dépêche du Midi, etc. Messidor ne répondit pas à tous les espoirs de Jouhaux, mais il n’avait pas besoin d’un succès journalistique pour asseoir son autorité sur la CGT et dans le pays. Secrétaire général indiscuté d’une organisation qui revendiquait cinq millions d’adhérents, il était l’indispensable représentant de la classe ouvrière : on le vit même occuper un fauteuil d’administrateur de la Banque de France à la suite de la réforme de juillet 1936. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
Paris, Nouvelle librairie nationale, 1927 in-8, 438 pp., un f. n. ch., chagrin bordeaux, dos lisse orné de filets dorés, décor de filets dorés et de bandes verticales mosaïquées sur les plats, couverture et dos conservés (reliure de l'époque).
Foisonnant recueil de contributions sur l'élaboration d'une "République à venir" dans le contexte des affaires de corruption : "La vraie République, c'est la République de l'avenir, et voilà pourquoi, sans jeu de mots, l'avenir de la République est le souci naturel des républicains". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT