P., Perrin, 1985, in-8, br., couv. ill., 528 pp., cahier d'illustrations en noir hors-texte, fac-similés, bibliographie de ses oeuvres, bibliographie, index. (DE10)
Reference : 1364641
Librairie HURET
M. Jean-Etienne HURET
9 rue de la Pompe
75116 Paris
France
33 01 40 50 15 40
TELEPHONER avant de venir à la librairie car une grande partie de notre stock est en réserve, il faut 48 heures avant qu'il soit à la librairie. Les ouvrages sont expédiés après réception du règlement (chèque,carte Visa,virement) SAUF PAYPAL. Frais de port variables selon poids à ajouter au prix du livre. Envoi en colissimo (Livres et brochures pour l'étranger pour les livres de moins de 70 €) sauf indication contraire du client.
P., Perrin, 2001, gr. in-8, br., couv. ill. à rabats, 528 pp., cahier d'illustrations en noir hors-texte, bibliographie des oeuvres de madame de Genlis, bibliographie, index. (SS208bis)
Hambourg, Cerioux, 1796, in-12, demi-basane marbrée, dos lisse entièrement orné de caissons dorés, pièce de titre rouge, tr. rouges (rel. de l'ép.), 336 pp. (CN46)
Édition originale. Cioranescu II, n° 30619. Coiffe supérieure émoussée.
Perrin In-8, broché, couverture souple glacée rempliée ill (femme aux cheveux fleuris), 529 pages ainsi que 16 de clichés en vignettes en noir hors texte - Très bel exemplaire . Épuisé.
Très Bon Etat Franco de port pour la France par MONDIAL RELAY dés 20 euros pour les ouvrages modernes . Paiement immédiat par Paypal . Chèques et virement acceptés. Votre Libraire vous accompagne dans toutes les étapes de vos achats. Achat et déplacement France Suisse.
0 1 feuillet manuscrit de une page relatif à plusieurs titres écrits par Madame de Genlis (non signée). Lettre à l'adresse de Monsieur Maradan par Madame de Genlis: '' Je voudrais revoir la préface de: LES CHEVALIERS DU CYGNE (publiés chez Maradan, 1811), LES CONTES, HERBIER MORAL, LA DUCHESSE DE LA VALLIERE, LES MONUMENS RELIGIEUX, ce feuillet renferme aussi un petit relevé de compte de son éditeur Maradan, remis le 16 vendemiaire an I? (1792), et 26 septembre 1805. (Feuillet double de format: 185mm x 130, papier vergé bleuté). Caroline-Stéphanie-Félicité Du Crest de Saint-Aubin, comtesse de Genlis, marquise de Sillery, Château de Champcery à Issy-l'Evêque 1746 - Paris 1830, femme de lettres, romancière, et dramaturge française. Claude-François Maradan (1762-1823), éditeur majeur de l'ère napoléonienne
Très bon Pas de couverture
Perrin, 1912, in-8°, xii-557 pp, préface d'Émile Faguet, 8 pl. de gravures hors texte, sources, biblio, broché, couv. lég. salie, bon état
"Étiennette-Félicité du Crest comtesse de Genlis a vécu un roman qui ne saurait être mis entre toutes les mains. Le désaccord piquant entre ses actes et ses préceptes, sa conduite et sa morale a égayé ou irrité ceux qui l'ont rencontrée dans la vie ou dans l'histoire, – contemporains ou érudits. La savante pécheresse vient de trouver grâce devant Jean Harmand qui l'a confessée avec sympathie, seule clef pour pénétrer l'âme des bons ou des méchants. Tout en mettant galamment à profit la littérature d'hier et d'aujourd'hui, cette biographie apporte sa part d'information nouvelle et précise plusieurs points litigieux. La biographie est le règne du détail : ce livre donne confiance par le souci d'exactitude et la loyauté de sa méthode. (...) La vie privée de Madame de Genlis ne nous importe guère qu'en raison de son rôle politique. M. Harmand me semble avoir trop accordé à l'ambition de son héroïne ; il lui a prêté une grande part du premier rôle qu'elle voulut jouer, en dépit de sa dénégation – et il s'en faut qu'elle l'ait tenue de fait. « Maîtresse des secrets de sa politique comme de ceux de son ménage... Mme de Genlis, à partir du voyage à Forges, régente sans conteste, le futur Égalité... A partir de 1772, le Palais Royal est aux mains de Mme de Genlis ; elle y régnera secrètement pendant près de vingt années » (p. 116). Plus loin (p. 207) : « Mme de Genlis embrassa les doctrines anti-aristocratiques, les inculqua à ses élèves et en persuada leur père... elle manœuvra ce pitoyable instrument... Le duc, aveuglé par sa haine contre Marie-Antoinette, se laissa faire, sans l'ombre d'une résistance, par sa chère Genlis. Pour le reste... ses amis du Palais Royal, principalement Laclos, s'en chargeront avant peu, reléguant Mme de Genlis au second plan. A eux certainement revient la grande responsabilité des actes du parti Orléanais. »..." (Amédée Britsch, Annales révolutionnaires, 1912)