‎GEORGES (Jean-Pierre).‎
‎Où être bien.‎

‎Saint-Florent-des-Bois (Vienne), Le Dé Bleu, 1984, in-12, br., couv. à rabats, 139 pp. (DD3) ‎

Reference : 1363942


‎ Suivi de Rien simple menace. ‎

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‎SOUBIRAN, Yvonne‎

Reference : 54723

(1928)

‎Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

‎3 cahiers manuscrits dont deux brochés (l'un oblong), 1928, 40 ff. et 1943, 36 ff. et l'autre cartonné (recueil de citations). Rappel du titre complet : Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎


‎Très remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : R240105155

(2005)

‎THALASSOTHERAPIE HELIANTHAL SAINT JEAN DE LUZ - AUTOMNE HIVER 2005 - ETRE BIEN ETRE A SAINT JEAN DE LUZ.‎

‎HELIANTHAL. 2005. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 55 pages - nombreuses illustrations en couleurs dans le texte.. . . . Classification Dewey : 646.72-Soins de beauté‎


‎Sommaire : la thalassothérapie - les sons à hélianthal - le parcours bio marin - le hammam le sauna - l'espace forme - la thalassothérapie détente et bien etre - la semaine vitalité beauté - le séjour jeune maman - hélianthal spa - la diététique du bien etre - saint jean de luz - le restaurant l'atlantique etc. Classification Dewey : 646.72-Soins de beauté‎

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‎BALZAC Petites misères de la Vie conjugale illustrée par Bertall Chlendowski‎

Reference : 4896

‎"BALZAC Honoré de Petites misères de la Vie conjugale illustrée par Bertall Paris, Chez Chlendowski, s.d. (1845), superbe reliure de l'époque, demi-maroquin à grains longs à coins, tranches dorées (bien réglées), intérieur frais, grand in-8°, II & 392 pp. Magnifique ouvrage publié en 50 livraisons, contenant 50 gravures hors-texte et 310 dessins sur bois dans le texte d'après les dessins de Bertall. Edition originale. ''Il n'a eu qu'une seule édition qui est fort rare.'' Ce livre est très recherché en belle condition d'époque (in Carteret), ce qui est le cas de notre exemplaire. ""Livre illustré avec esprit par Bertall, dont les compositions complètent à merveille un texte plein d'humour. Il n'y a eu qu'une seule édition qui est fort rare."" (Carteret III, 48). ""Un jour le maître vint me trouver. - Mon cher petit, me dit-il, je fais un livre pour vous. J'en ai publié un volume chez Hetzel, et je le complète maintenant à votre intention. Cela s'appelera les Petites Misères de la vie conjugale. J'ai déniché un éditeur superbe, um comte polonais qui vaut beaucoup mieux qu'Hetzel. Il a de l'argent, lui, il s'appelle Kleudowski (Chlendowski), et possède un femme extraordinaire qui fume comme un Suisse, et parle comme George Sand. Je lui ai parlé de vous; il est enchanté. Je veux que vous mettiez là-dedans des dessins, énormément de dessins. Cela vous va-t-il? -Si cela me va, cher et excellent maître, mais vous ne savez pas à quel point je suis heureux. -Eh bien, c'est convenu, j'arrangerai tout. Ainsi fut dit, ainsi fut fait"" (in Bertall, Souvenirs intimes, paru dans Figaro, supplément littéraire du dimanche, 1881). Les Petites misères de la vie conjugale sont composées de divers morceaux dont certains avaient déjà été composés en 1830. Il fut publié presque en même temps dans La Presse ou il provoqua de nombreuses réclamations de lectrices scandalisées par les propos du romancier. Vicaire I, 223 ; Clouzot, 25 ; Carteret III, 48 ; Berès, Expo Balzac. ''Livre qui doit être recherché par les amateurs d'illustrés ainsi que par les amateurs d'originales car c'est sous cette forme que parut pour la première fois ce texte''. (in Clouzot). ''Livre illustré avec esprit par Bertall, dont les compositions complètent à merveille un texte plein d'humour''. (in Carteret). ''Dessinateur et caricaturiste, Bertall a un crayon pétillant de gaieté malicieuse et de piquante originalité''. (in Carteret). ''Bertall est l'un de ces hommes précieux qui a eu le rare privilège de distraire et d'amuser ses contemporains. Ce dont il faut lui être bien reconnaissant : il y en a tant qui les ennuient''. (Béraldi). ''Les Petites Misères constituent une critique féroce des convenances et de l'hypocrisie conjugale. Balzac, presque en vacances, se promène en observateur amusé dans l'intimité des couples : dans cette suite de saynètes sur la vie conjugale, comparables aux caricatures de Daumier, il porte à son apogée le genre des « physiologies ». L'essentiel pour Balzac est de saisir sur le vif quelque chose de pittoresque, qui montre les petites mesquineries et les grandes déceptions du mariage bourgeois - tout en gardant toujours un rire généreux. C'est ainsi que Balzac met en scène deux types humains : d'un côté, Adolphe, l'homme bourgeois, se signale par une aridité mentale désespérante ; de l'autre, la femme (Caroline) est réduite à être l'un des « plus jolis joujoux que l'industrie sociale ait inventés ». Ensemble, les jeunes époux vont suivre pas à pas le chemin qui mène de la promesse de bonheur. aux « misères » du mariage. Car entre eux, les époux ne cessent jamais de faire l'expérience de l'incompréhension. Balzac, lui, se contente de les trahir à chaque page, et l'équivoque du narrateur (à défaut d'impartialité) lui permet de pouvoir délicieusement compter les points dans la guerre des sexes.'' Clouzot, Guide du bibliophile français, p. 17 - Carteret III, Le Trésor du blibliophile romantique et moderne, p. 48 - Vicaire I, Manuel de l'amateur de livres du X"‎


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EUR624.00 (€624.00 )

‎Yves Réquéna, Marie Borel‎

Reference : R200120716

(1993)

ISBN : 2844451721

‎Le guide du bien-etre selon la medecine chinoise - Etre bien dans son élément - Etre bien dans son élément‎

‎Guy TREDANIEL. 1993. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 341 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc, dans le texte.. . . . Classification Dewey : 618-Autres branches de la médecine‎


‎ Classification Dewey : 618-Autres branches de la médecine‎

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‎Meier Cédrine, Alvarez Rosa‎

Reference : R200112369

(2016)

‎Famili magic maman- N°238 décembre janvier 2015 2016 Enceinte : que choisir au resto? -bébé sort de la maternié bien soigner son ombilic pour un joli nombril -être bien accompagnée pour mieux allaiter -la bronchiolite tout pour passer au travers cet hiver‎

‎Avantages SAS. 2016. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Environ 125 pages. Nombreuses photos en couleur, dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Enceinte : que choisir au resto? - bébé sort de la maternié : bien soigner son ombilic pour un joli nombril - être bien accompagnée pour mieux allaiter - la bronchiolite tout pour passer au travers cet hiver- comment combattre les peurs d'enfant - les meilleurs cadeaux pour les 0-5ans Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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