P., Hôtel de la Monnaie, 1974, in-4, skivertex bleu décoré d'un encadrement or sur les deux plats, dos lisse également décoré, signet, gardes ill., LXVI-682 pp., frontispice en couleurs, nombreuses reproductions en noir et en couleurs, bibliographie, index des artistes. (v/3)
Reference : 1363692
Un moment de perfection de l'Art français. Publié à l'occasion de l'exposition.au Musée monétaire, Hôtel de la Monnaie du 19 décembre 1974 au 5 avril 1975 (938 pièces et oeuvres présentées). . Joint l'invitation au vernissage de cette exposition
Librairie HURET
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L’exemplaire conservé dans sa reliure en maroquin de l’époque aux armes du roi Louis XV et de la ville de Strasbourg. Paris, [1745]. Grand in-folio comportant 1 titre gravé, 1 beau portrait de Louis XV à cheval, 11 grandes planches doubles, 20 pages de texte gravé. Maroquin bleu, dentelle fleurdelysée autour des plats, cartouche armorié aux angles, armoiries au centre, dos à nerfs orné du chiffre royal, filet or sur les coupes, large roulette intérieure, tranches dorées. Reliure de l'époque. 624 x 470 mm.
Edition originale du plus beau livre de fêtes édité à Paris pour la convalescence du roi Louis XV et son séjour dans la ville de Strasbourg en 1744. Cohen 870; Vinet 520; Ruggieri 574. Il est orné d’un titre gravé, d’un portrait peint par Parrocel représentant Louis XV à cheval, de 11 superbes planches doubles dessinées par Weis et gravées par Le Bas, de 2 jolies vignettes en tête et de 20 pages de texte gravé avec encadrement rocaille et fleurons variés. Le roi, qui, le 8 août, était si dangereusement malade à Metz qu'on le croyait perdu, par son retour à la santé fit éclater dans toute la France la joie la plus vive. Les 11 grandes estampes doubles représentent: 1°) L'arrivée du Roi aux portes de Strasbourg ; 2°) l'entrée du Roi par le faubourg de Saverne ; 3°) la vue d'une place de Strasbourg, du côté du faubourg de Saverne ; 4°) le Roi devant la principale porte de la cathédrale ; 5°) feu d'artifice tiré sur la rivière d'Ill en face du palais épiscopal ; 6°) les réjouissances sur la place de l'Hôtel de ville ; 7°) la vue de l'illumination de la cathédrale et notamment de la flèche ; 8°) l'illumination de la façade du palais épiscopal ; 9°) offrande du vin d'honneur â Sa Majesté par le corps des tonneliers de Strasbourg, leurs exercices et leurs jeux sur la terrasse du palais épiscopal ; 10°) exercices de la bague et de l'oie par les bateliers et pêcheurs de Strasbourg ; 11°) exercices à l'épée et danses sur la terrasse épiscopale par les boulangers de la ville. Les municipalités de paris et de certaines grandes villes firent paraître à leurs frais en de fréquentes occasions des publications rappelant les festivités données en l'honneur du roi et de sa famille. « La plus célèbre de ces réalisations est peut-être la Représentation des fêtes données par la ville de Strasbourg pour la convalescence du Roi et à l'arrivée et pendant le séjour de Sa Majesté dans cette ville (1748) ». (Histoire de l'Édition). Ce livre des fêtes de la ville de Strasbourg, le plus somptueux publié sous le règne du roi Louis XV, fut l’objet de tous les soins de la cour et le plus illustre relieur du règne fut chargé de dessiner et créer un modèle de reliure spécifique. Padeloup le jeune réalisa ainsi la plus belle reliure française de style rocaille réunissant les armes et le chiffre du roi Louis XV aux armes de la ville de Strasbourg. Les volumes ainsi ornés étaient destinés aux personnages les plus distingués de l’Etat. Précieux exemplaire conservé dans sa reliure en maroquin bleu-nuit de l’époque, portant les armes du roi Louis XV au centre des plats et celles de la ville de Strasbourg en écoinçons. Provenance: Château de Vaux le Vicomte (ex libris).
Édition originale et premier tirage de ce superbe ouvrage consacré aux monuments érigés à travers la France à la gloire du roi Louis XV. Paris, chez l’auteur, et chez Desaint et Saillant, 1765. In-folio de : (2) ff., 232 pp., (1) f. d’approbation et privilège, 57 planches numérotées (33 pl. à pleine page et 24 sur double-page dont 9 dépliantes), 4 vignettes gravée dans le texte. Qq. ff. brunis, marge de la pl. LII anciennement restaurée sans atteinte à la gravure. Plein maroquin rouge, triple filet doré encadrant les plats, grandes armes frappées or au centre, chiffre doré couronné frappé aux angles, dos à nerfs orné du même chiffre couronné dans les caissons, pièce de titre de maroquin havane, double filet or sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées. Reliure de l’époque. 417 x 283 mm.
Edition originale et premier tirage de ce superbe ouvrage consacré aux monuments érigés à travers la France à la gloire du roi Louis XV. Avery Architectural Library p. 760 ; Brunet, IV, 443. Exemplaire du premier tirage, publié avant l’ajout du supplément en 3 pages page 177. Pierre Patte, architecte du prince palatin, duc de Deux-Ponts, né à Paris le 3 janvier 1723 et mort à Mantes le 19 août 1814, « s’est fait connaitre plus par les ouvrages qu’il a écrits sur son art que par ses travaux d’exécution. Il avait élevé à Paris l’hôtel Charost, dirigé la construction d’une partie du palais du duc de Deux-Ponts, et celle du château de Jaresbourg, dessiné sur le modèle du Trianon. » L’illustration superbe se compose de 33 planches à pleine page, 24 planches sur double-page dont 9 dépliantes et 4 vignettes dans le texte dont une dessinée par Boucher et gravée par Cochin. Elles représentent des plans, des projets d’élévation de places, des fontaines et décorations, des statues... à Paris, Rouen, Reims, Rennes, Nancy, Bordeaux, Valenciennes, etc. « Un fleuron sur le titre, 2 vignettes dessinées par Patte et 57 planches, dont plusieurs pliées, par Patte, Marvie, Loye, Constant, etc. gravées par Aubri, Baquoy, Gabriel, etc. » (Catalogue Pichon, n°451). « Un exemplaire en maroquin rouge aux armes du Roi, 140 fr. vente Béhague » (Cohen, col. 786). Superbe exemplaire de présent relié à l’époque en maroquin rouge aux armes et au chiffre du roi Louis XV. (1710-1774).
« L’Ode à la reconstruction du Panthéon », opérée sur ordre de Louis XV, par l’architecte Soufflot, reliée pour Madame Elisabeth, sœur de Louis XVI, guillotinée le 10 mai 1794. Paris, Veuve Thiboust, 1764. In-folio de 8 pp., 7 pp. Plein maroquin rouge, triple filet doré encadrant les plats, fleurs-de-lys couronnées aux angles et armoiries frappées or au centre des plats, dos lisse richement orné, pièce de titre de maroquin olive, roulette dorée sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées. Reliure de l’époque. 400 x 258 mm.
Édition en partie originale de cette Ode de Bernard sur la reconstruction du Panthéon sur ordre de Louis XV par l’architecte Jacques Germain Soufflot. « Jean-Baptiste Bernard, chanoine régulier de Ste-Geneviève, prieur et curé de Nanterre, naquit à Paris en 1710. Il fut choisi par sa congrégation pour professer l’éloquence. Aspirant au double titre de poète et d’orateur, le P. Bernard se fit connaître par ces compositions peu étendues, mais qui obtinrent le suffrage des critiques de son temps. Une “Ode sur le prix de sagesse” que Louis, duc d’Orléans, se proposait de fonder à Nanterre, Paris, 1741, in-12, fut considérée “comme une des meilleures qui eussent été faites depuis le grand Rousseau” ». L’Ode sur la reconstruction de l’église de Ste-Geneviève, que, le P. Bernard fit paraître en 1755, fut réimprimée en 1764 avec des changements et des corrections. Précieux exemplaire pour l’histoire de Paris. Imprimé sur grand papier, il fut relié à l’époque en maroquin rouge aux armes de Madame Elisabeth. « Elisabeth-Philippe-Marie-Hélène de France, huitième et dernier enfant de Louis, dauphin, fils de Louis XV, et de Marie-Josèphe de Saxe, et sœur de Louis XVI, appelée Madame Elisabeth, naquit à Versailles le 3 mai 1764 et vécut le plus souvent loin de la cour, dans sa petite maison de Montreuil, uniquement occupée d’œuvres de bienfaisance ; à partir de 1789, cette vertueuse princesse vint partager les dangers de Louis XVI, refusa d’émigrer et fut enfermée au Temple avec la famille royale. Accusée d’entretenir des relations avec ses frères émigrés, elle fut condamnée à mort par le tribunal révolutionnaire le 10 mai 1794 et guillotinée le même jour sur la place de la Révolution. » « Sa bibliothèque, qui contenait des ouvrages de piété, d’histoire et de science, fut transportée à la Bibliothèque Nationale ; les volumes sont en général reliés simplement, en veau marbré ou granité ; quelques-uns portent sur le dos le mot : “Montreuil” ». (Olivier Hermal, planche 2531). L’un des exemplaires privilégiés relié en maroquin rouge de l’époque. Provenance très rare. Exemplaire cité par Olivier-Hermal, pl. 2531. De la Bibliothèque Béarn, 1ère partie, 1920, n°110.
Magnifique volume. S.l. [Paris], 1731. Très grand in-folio, maroquin bleu à grande dorure aux quatre plaques et douze empreintes, armoiries royales au centre, dos à nerfs orné d’étoiles dorées, de fleurs de lys et de chiffres couronnés, coupes décorées, roulette intérieure, tranches dorées. Reliure de l’époque. 33 ff. gravés de texte, 1 f. plié gravé pour la table, 1 frontispice, 9 planches doubles par Audran, Beauvais, Cochin père, Desplaces, Duchange, Dupuis, Larmessin, Tardieu, Edelinck, Chereau, Drevet, Haussard et Petit et 30 planches de costumes. 630 x 465 mm.
«Splendide volume, entièrement gravé… revêtu d’une superbe reliure de Padeloup ornée d’une large dentelle aux riches bordures, aux armes et chiffres du Roi Louis XV». Catalogue Rahir, Première Partie n°220. Magnifique volume. Le texte, rédigé par Danchet, est orné de riches encadrements, de cartouches et fleurons gravés par d’Ulin. Voici la description des gravures principales: Un grand cartouche-frontispice non signé. 8 grandes vignettes en-tête représentant: 9 grandes planches doubles: Le Char du Soleil. Le Lever du Roy. La Reine accueillie par la Religion. Le Roy allant à l’Eglise. La Reine en prière. L’Arrivée de la Sainte-Ampoule. La Reine devant Dieu. Le Roy prosterné devant l’Autel. La Reine aperçoit les Vertus. La Cérémonie des Onctions. La Reine distribuant des couronnes. Le Couronnement du Roy. La Reine allant s’asseoir sur le trône. Le Roy mené au Trône. La Reine arrêtant la marche du temps. La Cérémonie des offrandes. La Reine retenant l’Abondance et les Grâces. Le Festin royal. Précieux exemplaire, identique a celui cité par Cohen qui provenait de la plus belle collection privée du siècle, celle d’Edouard Rahir. 1931. Première partie n°220, adjugé 31 200 FF en 1931.
BOUCHER, François / LONDERSEEL, Assuerus van / BOUCHARDON, Edme.
Reference : LCS-17828
Ce recueil est du plus haut intérêt pour la connaissance des métiers et des costumes sous Louis XV. Certaines des gravures sont de véritables estampes de mode. Paris, chez Huguier, vers 1735. Plein veau havane marbré, dos à nerfs richement orné, pièces de titre en maroquin rouge, tranches jaspées. Reliure de l’époque. 318 x 238 mm.
12 planches in-4 gravées par Le Bas et Ravenet d’après les dessins de Boucher. 1. Gaigne Petit – 2. A Racomoder les vieux souflets – 3. Des noisettes au litron – 4. Balais Balais – 5. Charbon Charbon – 6. A. Ramonner du Haut en bas – 7. A la crème – 8. Des patez – 9. Chaudronier chaudronier – 10. Des radix des raves – 11. La Laittiere – 12. Au vinaigre. Ce recueil est du plus haut intérêt pour la connaissance des métiers et des costumes sous Louis XV. Certaines des gravures sont de véritables estampes de mode. « Le père de Boucher, dessinateur de broderies, fut le premier maître de l’enfant. Mais devant les dispositions dont il témoignait, il se décida à le faire travailler sous une direction plus autorisée que la sienne. François Boucher entra dans l’atelier de Le Moine, dont il imita bientôt la manière, dans Le jugement de Suzanne. Il n’y resta que fort peu de temps, quelques mois à peine, puis vint travailler chez le père du graveur L. Cars, lequel était éditeur. Mariette nous dit à ce sujet que Boucher y dessinait pour les planches de Cars et qu’il recevait pour ce travail 60 livres par mois, non compris le logement et la table. Ce fut ainsi qu’en 1721 il fit les illustrations de l’Histoire de France de Daniel, gravées par Baquoy. Entre temps, il avait commencé à s’adonner à l’art de la gravure et ses premiers essais décidèrent M. de Julienne à lui confier le soin de graver les dessins de Watteau. Le jeune artiste, encore très épris de son art, travaille à la fois le dessin, la gravure et la peinture. Les 24 livres par jour que M. de Julienne lui donnait pour prix de son travail lui faisaient la vie assez facile, mais Boucher voulait entrer à l’Académie et s’efforçait de perfectionner sa technique. En 1723, il emporta le premier prix au concours de l’Académie, avec Evilmerodach délivrant Joachim. Il avait à peine 20 ans. Mais il ne possédait pas encore la faveur dont il devait jouir plus tard et l’influence contraire du duc d’Antin ne lui permit pas d’obtenir son envoi à Rome comme pensionnaire du roi. Deux ans plus tard, néanmoins, ayant réuni quelque argent, et grâce à la générosité d’un tiers, il fit le voyage d’Italie en compagnie de Carle Van Loo. Il ne semble pas d’ailleurs que Boucher ait tiré grand enseignement de l’étude des écoles italiennes, tout au moins de celles de la grande époque classique. Ses goûts le portaient naturellement vers une forme plus badine et moins étudiée, et des maîtres transalpins c’est assurément Albani, Tiepolo et Baroccio qui produisirent avec lui la plus grande influence. Agréé à l’Académie, dès son retour d’Italie en 1731, il devint immédiatement le peintre mondain, le portraitiste, semi-officiel des femmes à la mode, épouses ou maîtresses des financiers et des mythologies galantes, telles Vénus commandant des armes à Vulcain pour Enée. Il illustra dans le même temps, Molière et La Fontaine » (Benezit). - [Relié avec] : Londerseel, Assuerus van. (Anvers 1572 – Rotterdam 1635). Probablement élève de Peter van des Borcht. On lui doit notamment des bois dans le goût de Virgile Solis pour des figures de la Bible. On lui doit également des gravures d’ornements pour les joailliers, ainsi que cette remarquable suite de masques et danseurs constituée de 9 estampes à pleine page, vers 1600, à ce jour non répertoriée. - [A la suite] : Actions glorieuses de S. A. S. Charles Duc de Lorraine, 13 planches. - [Puis] : Médailles du Règne de Louis XV (par Godonnesche ou Fleurimont), 56 planches. - [Et] : Recueil de différentes Charges dessigné à Rome par Carloo Vanloo, Peintre du Roy, c. 1737. 12 planches. Premier tirage de cette superbe suite de 12 portraits d’hommes en pied de nations étrangères, gravées par Le Bas et Ravenet d’après Van Loo. - 30 planches diverses et portraits de la Marquise du Châtelet et de Voltaire, gravés par Fessard, J. P. Le Bas, Frère, Surugue, Aveline, d’après Jeaurat, Boucher, Wouvermans, Téniers, Watteau, etc. - [Enfin] : Bouchardon. Études prises dans le bas peuple, ou les cris de Paris, 1737-1746. In-4. 60 planches. Ce rare recueil se compose de 5 séries de 12 planches chacune, représentant les types des différents marchands et ouvriers ambulants de Paris. Ces planches, dessinées par Bouchardon, ont été gravées à l’eau-forte par Caylus et terminées par Fessard. Il est très rare de trouver une suite complète des 60 estampes. Première suite, 1737. Et se vendent à Paris chez Fessard. 1 pte. tache sur 1 pl. Seconde suite, 1737. Chez Fessard. Troisième suite, 1738. Chez Fessard. Quatrième suite, 1742. Chez Fessard. Cinquième suite, 1746. A Paris chez Joullain. « Très beau recueil dû au comte de Caylus » (Cohen). La signature du Comte de Caylus, auquel est dû ce très beau recueil, se retrouve encore, à la pointe, sur certaines des planches. La cinquième suite figure ici avant les numéros, comme dans le célèbre exemplaire Charles Cousin, Lord Carnavon, cité par Cohen en maroquin de Hardy. L’illustration superbe, montée sur onglets, constitue la plus belle suite de dessins exécutée par Bouchardon. Mêlant dans ceux-ci élégance et réalisme, ce grand sculpteur, excelle dans la représentation d'attitudes très variées et très vivantes et reproduit ainsi d'une façon très personnelle et pittoresque le monde si multiforme des petits métiers ambulants de Paris au début du XVIIIe siècle : porteur d'eau, vendeur de moulins, écosseuse de pois, écureuse, lanterne magique, vendeur de lardoirs, vinaigre, vendeuse de cerneaux, de petits pâtés, de pommes cuites au four, porteur d'eau, crocheteur, cureur de puits, raccomodeur de seaux et de souflets, mort aux rats, peaux de lapin, lacets, cotterets, balais, café, barbier, vielleux, diseuse de bonne aventure, tonnelier, crieuse de vieux chapeaux etc... Des planches de très belle facture, très pures et à très grandes marges. Remarquable et unique ensemble de 192 gravures sur très grand papier fort des XVIIe et XVIIIe siècles vraisemblablement réunies et reliées vers 1750 pour le roi Louis XV ou son entourage proche comme l’atteste la fleur de lys surmontée de la couronne royale frappée en queue du dos. Les estampes coûtèrent 64 livres, prix considérable au XVIIIe siècle et la reliure 4 livres. De la bibliothèque Edouard Rahir avec ex-libris adjugé au prix de 6 000 F le 7 mai 1935 (n°732).