‎OSTER (Daniel) et GOULEMOT (Jean-Marie).‎
‎Ecrire Paris.‎

‎P., Éd. Seesam et Fondation Singer-Polignac, 1990, gr. in-8, br., couv. ill., 143 pp., photos in-texte, biographie des auteurs. (DG26) ‎

Reference : 1363536


‎Actes du colloque L'image de Paris dans la littérature de la deuxième moitié du XIXe siècle, 17 novembre 1989, Fondation Singer-Polignac, sous la dir. de Daniel Oster et Jean-Marie Goulemot.Textes de Pierre Georges Castex, Marie-Claire Bancquart, Pierre Citti, Alain Corbin, Bernard Delvaille, Jean-Yves Tadié, etc. ‎

€20.00 (€20.00 )
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‎ELZEAR, Pierre; [ BONNIER ORTOLAN, Elzéar ]‎

Reference : 63944

(1891)

‎[ Lot de 7 lettres autographes signées et d’un portrait photographique signé dont une très intéressant sur le «féminisme littéraire» ] L.A.S. d’une page: «Mon Cher Hauser, ne trouvez-vous pas qu’il est temps que cette plaisanterie finisse? Suis-je trop exigeant en vous priant de veiller à ce que les tableaux confiés à vous ou à votre ami Mr. Bender soient [… ] chez ma mère, qui revient dans huit jours? Devrais-je faire le voyage exprès? Avec surprise, mais sans rancune»; 1 L.A.S. de 2 pages manuscrites (sur 2 ff.) datée de Paris le 20 octobre 99: «Mon cher Hauser, Vous me demandez ce que je pense du féminisme littéraire. On ne peut songer à interdire la prose et la poësie au sexe faible. Dans l’écriture la femme laide trouve parfois un soulagement, le femme âgée une consolation. Ca et là, j’en conviens, de vrais talents surgissent. On déclare alors que ces talents sont «virils». C’est ce qui fut dit pour George Sand. Mais permettez-moi de me situer à un point de vue spécial. Quand je vois une femme, que son cœur, ses sens, une enveloppe aimable ont destiné à la passion, se servir d’un porte-plume autrement que pour écrire à l’absent des phrases délicieusement incohérentes, je me sens fort attristé. Que de biens perdus! L’amour, en effet, prime toute littérature. La vie est courte, et il n’y a pas de gloire au monde qui vaille l’échange d’un baiser sincère. Or on ne peut être à la fois une femme de lettres et une femme de tendresse. Mlle de Pougy elle-même n’a pu réaliser ce double idéal. Juliette – pas plus que Roméo d’ailleurs – n’a songé à écrire un recueil de sonnets et à faire antichambre chez un éditeur. Et la femme journaliste? Je n’évoque son spectre qu’avec terreur. Elle peut devenir une force; je préfèrerais qu’elle restât une adorable faiblesse […] ».; 1 L.A.S. d’une page, datée du 20 février 1906. Il s’excuse d’avoir dû rester s’occuper de sa mère souffrante; «Le directeur du [ … ] ne paraît pas décidé absolument à faire le Peuple Souverain. Et voici pourtant l’époque des élections. Il faudrait peut-être que vous, le principal auteur, donnassiez un coup d’épaule. Qu’en pensez-vous? [… ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 13 décembre 1908: «Mon cher ami, Fernand Sarnette dépasse toutes les limites de l’impudence, vis-à-vis de moi et vis-à-vis d’autres. Si vous ne l’avez pas fait, veuillez lui écrire 14 rue des Sts Pères pour lui réclamer dans un délai de quatre jours Le Peuple Souverain, sinon nous aviserons la Société des Auteurs. Emile Rochard et moi en faisons autant de notre côté [ … ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 29 janvier 1909: «Mon cher Hauser, [ … ] Sarnette fait le mort. Il faudrait, comme Rochard et moi, écrire un mot à M. Gangnat, agent général des Auteurs Dramatiques, [ … ] Henner, qui va convoquer le délinquant avant de le traduire devant la Commission»; avec 2 autres L.A.S.‎

‎[ Lot de 7 lettres autographes signées et d’un portrait photographique signé dont une très intéressant sur le «féminisme littéraire» ] L.A.S. d’une page datée au crayon par une autre main de 1882: «Mon Cher Hauser, ne trouvez-vous pas qu’il est temps que cette plaisanterie finisse? Suis-je trop exigeant en vous priant de veiller à ce que les tableaux confiés à vous ou à votre ami Mr. Bender soient [… ] chez ma mère, qui revient dans huit jours? Devrais-je faire le voyage exprès? Avec surprise, mais sans rancune»; 1 L.A.S. de 2 pages manuscrites (sur 2 ff.) datée de Paris le 20 octobre 99: «Mon cher Hauser, Vous me demandez ce que je pense du féminisme littéraire. On ne peut songer à interdire la prose et la poësie au sexe faible. Dans l’écriture la femme laide trouve parfois un soulagement, le femme âgée une consolation. Ca et là, j’en conviens, de vrais talents surgissent. On déclare alors que ces talents sont «virils». C’est ce qui fut dit pour George Sand. Mais permettez-moi de me situer à un point de vue spécial. Quand je vois une femme, que son cœur, ses sens, une enveloppe aimable ont destiné à la passion, se servir d’un porte-plume autrement que pour écrire à l’absent des phrases délicieusement incohérentes, je me sens fort attristé. Que de biens perdus! L’amour, en effet, prime toute littérature. La vie est courte, et il n’y a pas de gloire au monde qui vaille l’échange d’un baiser sincère. Or on ne peut être à la fois une femme de lettres et une femme de tendresse. Mlle de Pougy elle-même n’a pu réaliser ce double idéal. Juliette – pas plus que Roméo d’ailleurs – n’a songé à écrire un recueil de sonnets et à faire antichambre chez un éditeur. Et la femme journaliste? Je n’évoque son spectre qu’avec terreur. Elle peut devenir une force; je préfèrerais qu’elle restât une adorable faiblesse […] ».; 1 L.A.S. d’une page, datée du 20 février 1906. Il s’excuse d’avoir dû rester s’occuper de sa mère souffrante; «Le directeur du [ … ] ne paraît pas décidé absolument à faire le Peuple Souverain. Et voici pourtant l’époque des élections. Il faudrait peut-être que vous, le principal auteur, donnassiez un coup d’épaule. Qu’en pensez-vous? [… ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 13 décembre 1908: «Mon cher ami, Fernand Sarnette dépasse toutes les limites de l’impudence, vis-à-vis de moi et vis-à-vis d’autres. Si vous ne l’avez pas fait, veuillez lui écrire 14 rue des Sts Pères pour lui réclamer dans un délai de quatre jours Le Peuple Souverain, sinon nous aviserons la Société des Auteurs. Emile Rochard et moi en faisons autant de notre côté [ … ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 29 janvier 1909: «Mon cher Hauser, [ … ] Sarnette fait le mort. Il faudrait, comme Rochard et moi, écrire un mot à M. Gangnat, agent général des Auteurs Dramatiques, [ … ] Henner, qui va convoquer le délinquant avant de le traduire devant la Commission»; avec 2 autres L.A.S.‎


‎Intéressant lot d’autographes de l’écrivain Pierre Elzéar. Petit-fils du juriste Joseph Ortolan, frère du naturaliste Gaston Bonnier, Pierre Elzéar (1848-1916) verra l’un de ses poèmes publié dans le «Le Tombeau de Théophile Gautier», l’un des grands témoignages du mouvement parnassien. On peut le voir dans le célèbre tableau de Fantin-Latour, le Coin de table, où il est représenté, portant un haut-de-forme, debout à Gauche, aux côtés d'autres poètes comme Paul Verlaine et Arthur Rimbaud. Bon ensemble (prix du lot, non séparable). Les lettres sont adressés à l'écrivain de Toulon et félibre Fernand Hauser (1869-1941)‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR495.00 (€495.00 )

‎THEVENOT DE COULON Jean‎

Reference : 5487

(1795)

Phone number : 04 70 97 40 16

EUR50.00 (€50.00 )

‎BERNE-BELLECOUR, Etienne‎

Reference : 56073

(1883)

‎[ Lot de 9 lettres autographes signée ] 1 LAS datée de Cannes le 31 Janvier 1883 : "Tu serais bien gentil de demander pour moi, au fils de l'Amiral Garnand, l'autorisation qu'il m'a si gracieusement offerte, alors qu'il est venu me voir : la permission de visiter 'escadre du Golfe Juan, pour moi et quelques membres de ma famille. Si cela offrait quelques difficultés, dis-le moi franchement, ceci entre nous - et je m'adresserais à mon ami Miot [ ... ] ; 1 LAS datée de Cannes le 21 avril 1883 : [ ... ] "Je t'adresse un mot pour Garnand en te priant de le lui faire parvenir. Je voudrais aussi envoyer ma carte à la personne qui m'a présenté au Capitaine Michel [ ... ] ; 1 LAS datée de Paris le 25 Février 1885 : [ ... ] Il y a environ dix-huit mois que je suis allé, avec mon ami Miot, à ton ministère où je t'ai vu pour savoir s'il y avait des petits canons de marine. Tu dois te souvenir de cela ? Il n'y en avait point. Aujourd'hui on m'affirme qu'il y en a. Je viens te demander le service de vérifier le fait et de m'en écrire un mot le plus tôt possible, car je suis bien pressé par mon tableau du salon prochain, qui tu le sais représente un débarquement. [... ] J'irai dîner demain au Cercle de la Presse. Tâche d'y venir tu verras Arban, Lami et d'autres ex-copains des malheureux anti-libéraux !!..." ; 1 LAS datée de Paris le 4 mars 1885 [ Il invite son correspondant à Sevran pour venir voir son tableau ] ; 1 LAS datée de Paris le 29 mars 1888 [ Il expose une sollicitation pour un jeune homme dont les parents sont d'Egreville en Seine-et-Marne ] "Nous travaillons ferme à une entreprise qui, si elle réussit, réunira à nouveau tous mes anciens camarades..." [... ] ; 1 LAS datée d'Egreville (Seine-et-Marne) le 27 juin 1888 : [ Il demande pour une famille d'un marin décédé sa montre, et sollicite pour un autre moisson un congé d'un mois "au moment des moissons, c'est-à-dire vers la fin de Juillet. Je sais que cela s'accorde car je viens de l'obtenir pour un soldat du 76e de ligne". Il invite son correspondant Gustave Lévy à Egreville où il pourra dormir "dans la chambre du Commandeur (Nicham !) qu'on te réservera" ] ; 1 LAS datée du Château d'Egreville le 16 septembre 1888 : [ Il le sollicite encore pour son soldat et continue : ] "Quand donc t'aboucheras-tu avec Edouard Philippe - dont j'ai à faire un petit portrait - pour venir me voir à Egreville" [ ... ] ; 1 LAS datée de Paris, le 4 décembre 1888 : "Mon Cher Vieux, Comment je ne t'aurai pas répondu pour te remercier du dernier service, que je t'avais demandé et que tu m'avais fait obtenir ? Comment ? Eh ! bien je t'avoue franchement que je suis un cochon. Toutefois, il faut avoir un peu d'indulgence, et me pardonner : je t'ai tellement écrit pour te réclamer quelque chose que, ma foi, j'ai cru sincèrement t'avoir écrit pour te remercier. Puis mon intention très-ferme était d'aller te serrer la main aussitôt mon retour à Paris, mais Patatra ! Voilà environ trois semaines que je suis arrivé et je n'ai pas eu une heure à moi. Je suis rentré dans la fournaise, et j'ai repris ma sale existence vertigineuse de la Capitale. [ Il l'invite à dîner au Cercle de la Presse pour rencontrer ses vieux copains Philippe, Lami, Arban, etc... ] ; 1 LAS du 13 décembre 1888 : "Mon Cher Vieux, c'est encore moi. Tu sais mon protégé le soldat-marsouin Chevrillon, celui pour lequel je t'ai si bien remercié... Eh bien ce pauvre diable qui vient d'avoir la fièvre typhoïde ainsi qu'on t'en avait informé n'est pas encore bien chic [ Il sollicite pour un lui un renouvellement de congé. Il a regretté de ne pas le voir au Cercle de la Presse avec Arban, Lami et Crémieux. ] "Nous avons énormement causé de toi avec de Marçai, chez Bloch" [ il évoque l'Amiral Besnard "lequele entre parenthèses ne m'a pas l'air d'être fort commode" qu'il a également sollicité indirectement en vain... ]‎

‎9 lettres autographes signées rédigées de 1883 à 1888, adressées à son ami Gustave Lévy. Les lettres avaient été montées sur onglet, et deux lettres sont restées contrecollées, sans respect de l'ordre chronologique : [ Lot de 9 lettres autographes signée ] 1 LAS datée de Cannes le 31 Janvier 1883 : "Tu serais bien gentil de demander pour moi, au fils de l'Amiral Garnand, l'autorisation qu'il m'a si gracieusement offerte, alors qu'il est venu me voir : la permission de visiter 'escadre du Golfe Juan, pour moi et quelques membres de ma famille. Si cela offrait quelques difficultés, dis-le moi franchement, ceci entre nous - et je m'adresserais à mon ami Miot [ ... ] ; 1 LAS datée de Cannes le 21 avril 1883 : [ ... ] "Je t'adresse un mot pour Garnand en te priant de le lui faire parvenir. Je voudrais aussi envoyer ma carte à la personne qui m'a présenté au Capitaine Michel [ ... ] ; 1 LAS datée de Paris le 25 Février 1885 : [ ... ] Il y a environ dix-huit mois que je suis allé, avec mon ami Miot, à ton ministère où je t'ai vu pour savoir s'il y avait des petits canons de marine. Tu dois te souvenir de cela ? Il n'y en avait point. Aujourd'hui on m'affirme qu'il y en a. Je viens te demander le service de vérifier le fait et de m'en écrire un mot le plus tôt possible, car je suis bien pressé par mon tableau du salon prochain, qui tu le sais représente un débarquement. [... ] J'irai dîner demain au Cercle de la Presse. Tâche d'y venir tu verras Arban, Lami et d'autres ex-copains des malheureux anti-libéraux !!..." ; 1 LAS datée de Paris le 4 mars 1885 [ Il invite son correspondant à Sevran pour venir voir son tableau ] ; 1 LAS datée de Paris le 29 mars 1888 [ Il expose une sollicitation pour un jeune homme dont les parents sont d'Egreville en Seine-et-Marne ] "Nous travaillons ferme à une entreprise qui, si elle réussit, réunira à nouveau tous mes anciens camarades..." [... ] ; 1 LAS datée d'Egreville (Seine-et-Marne) le 27 juin 1888 : [ Il demande pour une famille d'un marin décédé sa montre, et sollicite pour un autre moisson un congé d'un mois "au moment des moissons, c'est-à-dire vers la fin de Juillet. Je sais que cela s'accorde car je viens de l'obtenir pour un soldat du 76e de ligne". Il invite son correspondant Gustave Lévy à Egreville où il pourra dormir "dans la chambre du Commandeur (Nicham !) qu'on te réservera" ] ; 1 LAS datée du Château d'Egreville le 16 septembre 1888 : [ Il le sollicite encore pour son soldat et continue : ] "Quand donc t'aboucheras-tu avec Edouard Philippe - dont j'ai à faire un petit portrait - pour venir me voir à Egreville" [ ... ] ; 1 LAS datée de Paris, le 4 décembre 1888 : "Mon Cher Vieux, Comment je ne t'aurai pas répondu pour te remercier du dernier service, que je t'avais demandé et que tu m'avais fait obtenir ? Comment ? Eh ! bien je t'avoue franchement que je suis un cochon. Toutefois, il faut avoir un peu d'indulgence, et me pardonner : je t'ai tellement écrit pour te réclamer quelque chose que, ma foi, j'ai cru sincèrement t'avoir écrit pour te remercier. Puis mon intention très-ferme était d'aller te serrer la main aussitôt mon retour à Paris, mais Patatra ! Voilà environ trois semaines que je suis arrivé et je n'ai pas eu une heure à moi. Je suis rentré dans la fournaise, et j'ai repris ma sale existence vertigineuse de la Capitale. [ Il l'invite à dîner au Cercle de la Presse pour rencontrer ses vieux copains Philippe, Lami, Arban, etc... ] ; 1 LAS du 13 décembre 1888 : "Mon Cher Vieux, c'est encore moi. Tu sais mon protégé le soldat-marsouin Chevrillon, celui pour lequel je t'ai si bien remercié... Eh bien ce pauvre diable qui vient d'avoir la fièvre typhoïde ainsi qu'on t'en avait informé n'est pas encore bien chic [ Il sollicite pour un lui un renouvellement de congé. Il a regretté de ne pas le voir au Cercle de la Presse avec Arban, Lami et Crémieux. ] "Nous avons énormement causé de toi avec de Marçai, chez Bloch" [ il évoque l'Amiral Besnard "lequele entre parenthèses ne m'a pas l'air d'être fort commode" qu'il a également sollicité indirectement en vain... ]‎


‎Photographe, peintre, graveur et illustrateur, Etienne Berne-Bellecour (1838-1910) se spécialisa dans la peinture militaire et notamment de marine. Il évoque dans cette correspondance un tableau de débarquement de marine, probablement le sujet vendu en 2011 chez Artcurial : "Débarquement de troupes de Marine Française dans des chaloupes" daté de 1885 (à moins qu'il ne s'agisse là que d'un travail préparatoire). Prix du lot, non séparable‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR450.00 (€450.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : ROD0136643

(1996)

‎PARIS LE JOURNAL - N°67 - 15 SEPTEMBRE 1996 - PARIS FAIT SA RENTREE - APPRENTISSAGE UN METIER POUR UN EMPLOI - ZOO DE VINCENNES:MODERNISATION - LA VIE DES ARRONDISSEMENTS - SORTIR - CA S'EST PASSE A PARIS - PHOTOS DU MOIS - LIRE - ECRIRE - MOTS CROISES‎

‎MAIRIE DE PARIS. 1996. In-4. Broché. Etat d'usage, Coins frottés, Dos frotté, Intérieur frais. 122 pages augmentées de nombreuses illustrations en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎SOMMAIRE : APPRENTISSAGE UN METIER POUR UN EMPLOI - ZOO DE VINCENNES:MODERNISATION - LA VIE DES ARRONDISSEMENTS - SORTIR - CA S'EST PASSE A PARIS - PHOTOS DU MOIS - LIRE - ECRIRE - MOTS CROISES Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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EUR19.80 (€19.80 )

‎Collectif‎

Reference : R100055794

(1973)

‎Change la critique générative n°16-17 - Contre-champ, Jean Paris - annonce, Jean Pierre Faye - la machine à écrire, Jean Paris - génitif ablatif, Pierre Beaudry - innovation et créativité, Robert di Pietro - grammaires génératives et style littéraire ...‎

‎Seghers/Laffont. 1973. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 373 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Contre-champ, Jean Paris - annonce, Jean Pierre Faye - la machine à écrire, Jean Paris - génitif ablatif, Pierre Beaudry - innovation et créativité, Robert di Pietro - grammaires génératives et style littéraire, Richard Ohmann - stylistique et grammaires génératives, James Peter Thorne - littérature phrasique, Richard Ohmann - dendrites, Thérèse Moreau Hicks - versions, Laurence Glass - changement de titre, François le Lionnais - phonologie et sens, Jacqueline Guéron - vers une théorie de la forme et du sens en poésie, Samuel Jay Keyser - le style narratif et la grammaire des discours direct et indirect, Ann Banfield etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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