P., Éd. du Seuil, 1983, in-8, br., couv. ill., 407 pp., bibliographie, index. (DD15)
Reference : 1361932
L'idéologie fasciste en France.
Librairie HURET
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Rocher monaco / Documents 2005 24 x 16 cm. 2005. Broché. 289 pages. préface de Alain-Gérard Slama Essai qui entend montrer que le clivage droite-gauche n'est plus pertinent face à la réalité actuelle et propose des pistes de réflexion pour une politique d'inspiration gaullienne à l'écoute de son temps. Quel intérêt peut encore présenter le clivage droite/gauche pour les trentenaires français ainsi que pour tous ceux qui veulent s'émanciper des discours creux et des oppositions factices ? Aucun. Ce clivage est un duel sous perfusion maintenu en vie par des politiciens ou des intellectuels incapables de fournir des réponses adéquates aux défis que nous lance le nouveau siècle. Le clivage droite/gauche a jadis signifié quelque chose sur le plan philosophique : la droite était la championne du sacrifice de soi et la gauche symbolisait le combat pour les libertés individuelles. Mais aujourd'hui les partis politiques n'ont plus d'identité. Par conséquent l'avenir appartient aux hommes qui sauront faire une politique par-delà droite et gauche reposant néanmoins sur l'héritage de la gauche mythique et humaniste centrée sur la promotion de l'individu et non sur la nostalgie du rêve collectiviste. Il faut donc qu'une «jeune droite» impose son existence qu'elle se proclame de droite non par référence à une tradition d'autoritarisme mais par rejet d'un dogmatisme se réclamant indûment de gauche qui n'est qu'une paresse d'esprit épaulant activement le libéralisme sauvage. Il revient à cette jeune droite de revendiquer une politique par-delà droite et gauche pleinement à l'écoute de notre temps et refusant définitivement une rhétorique socialiste qui traduit le véritable immobilisme contemporain. Expert en intelligence économique et stratégique Éric Delbecque est diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris titulaire d'une maîtrise de philosophie et docteur en histoire du XXe siècle Etat de Neuf
Montpellier, Université Paul Valéry, 1975, gr. in-8°, 377 pp, cartes (dont 2 dépliantes hors texte), tableaux, broché, couv. illustrée, bon état
20 études érudites. — "Le Centre d'Histoire contemporaine du Languedoc méditerranéen-Roussillon (Université de Montpellier) publie les communications présentées au Colloque organisé sur ce thème en juin 1973. Trois thèmes principaux se retrouvent : les problèmes du vin, auxquels se rattache l'étude des structures économiques et sociales, sont abordés par L. Loubère, “Vins et politique en bas Languedoc (1848 à 1914)”, et par R. Pech qui analyse “Les thèmes économiques et sociaux du socialisme ferrouliste à Narbonne (1880-1914)”. L'étude des facteurs religieux dans la vie politique et sociale est l'objet d'articles importants, principalement celui de G. Cholvy, “Religion et politique en Languedoc méditerranéen et Roussillon”, qui met bien en évidence les persistances des antagonismes entre catholiques et protestants. Des études particulières portent plus précisément sur le monde protestant (celles de A. Encrevé et J. D. Roque). Les études de sociologie politique et électorale portent principalement sur la IIIe République : J. Sagnes étudie “Gauche marxiste et gauche jacobine en Biterrois en 1906” ; J. M. Gaillard analyse “La pénétration du socialisme dans le bassin houiller du Gard”. S'y rattachent une étude de R. Huard, “Montagne rouge et Montagne blanche en Languedoc-Roussillon sous la Seconde République”, et une autre de J. R. Maurin sur “La gauche en Lozère sous la IVe République”. R. Laurent, dans un article d'introduction, avait posé le problème : “Droite ou gauche en Languedoc. Mythe ou réalité” ; dans son étude, comme dans d'autres articles, apparaît, en arrière-plan, le radicalisme du XXe siècle ; un thème peut-être pour un prochain colloque de l'Université Paul-Valéry." (A. J. Tudesq, Revue Historique, 1977) — Table : I. Problèmes généraux : Allocution d'ouverture (A. Martel) ; Droite et gauche en Languedoc. Mythe ou réalité (R. Laurent) ; Vins et politique en Bas-Languedoc, 1848 à 1914 (L. Loubère) ; Religion et politique en Languedoc méditerranéen et Roussillon à l'époque contemporaine (G. Cholvy) – II. 1789-1848 : Traditions municipales et vie politique en 1789 (G. Fournier) ; Les magistrats héraultais et la Restauration, 1814-1815 (J.-C. Gegot) ; Une révélation ? Les luttes populaires dans le département de l'Hérault au début de la Monarchie de Juillet, 1830-1834 (S. Vila) – III. L'époque de la Seconde République : Montagne rouge et Montagne blanche en Languedoc-Roussillon sous la Seconde République (R. Huard) ; Protestantisme et politique. Les protestants du Midi en décembre 1851 (A. Encrevé) ; Contribution à la discussion (M. Agulhon) ; Positions et tendances politiques des protestants nimois au XIXe siècle (J.-D. Roque) – IV. Socialisme et syndicalisme : Gauche marxiste et Gauche jacobine en Biterrois à travers les campagnes de Marcel Cachin et Louis Lafferre en 1906 (J. Sagnes) ; Les thèmes économique et sociaux du Socialisme Ferrouliste à Narbonne, 1880-1914 (R. Pech) ; La pénétration du Socialisme dans le bassin houiller du Gard (J.-M. Gaillard) ; Le mouvement de grève de juin et juillet 1936 dans le Bas Languedoc méditerranéen (M. Caron-Leulliez) – V. Felibrige et Royalisme : Droite et Gauche dans l'entourage de Mistral (Cl. Goyard) ; A propos de cinq lettres inédites d'Albert Arnavielle à Charles Maurras (M. Lacave) ; La Gauche en Lozère sous la IVe République (J. R. Maurin) ; Une décennie électorale (1945-1956) dans le Gard. Matériaux de géographie électorale (Abbé H. Chambon) – Clôture du colloque (G. Cholvy).
Seuil, 1983, in-8°, 408 pp, biblio, index, broché, bon état
“Ni droite ni gauche” remonte le cours du fascisme jusqu'à ses sources culturelles à la fin du XIXe siècle et suit son évolution tout au long du demi-siècle qui sépare la crise boulangiste de la fin des années 1880 au régime de Vichy. Analysant les idées de Georges Sorel, Georges Valois, Henri De Man, Marcel Déat, Zeev Sternhell montre la profondeur de l'imprégnation fasciste dans les milieux intellectuels français. Ainsi comprend-on que l'installation du régime de Vichy, le caractère révolutionnaire des réformes entreprises par les hommes du maréchal Pétain, ainsi que le très large consensus dont jouit son régime, ne s'expliquent véritablement que par l'effet d'accumulation qui se fait pleinement sentir seulement au lendemain de la défaite de 1940. — Rarement livre aura à ce point été au cour de tous les grands débats historiographiques, intellectuels et politiques depuis sa première parution en 1983. Il n'empêche : malgré la virulence du front du refus opposé dès l'origine par certains historiens, il s'est imposé comme une des références majeures pour l'histoire du fascisme et de la catastrophe européenne du XXe siècle. De quoi s'agit-il ? Enfermés dans le schéma des trois droites (légitimiste, orléaniste, bonapartiste), nombre d'historiens soutenaient que la France avait été, par sa culture républicaine, rationaliste, universaliste et humaniste, immunisée contre le fascisme ; en sorte que le régime de Pétain, appuyé sur l'Action française, était un ultime sursaut de la droite légitimiste. Zeev Sternhell fait exploser littéralement ce mur de l'oubli. D'abord, en révélant l'existence en France dès le XIXe siècle d'une droite révolutionnaire, organiciste, particulariste, irrationaliste, antidémocratique et antihumaniste (La Droite révolutionnaire 1885-1914. Les origines françaises du fascisme). Puis, avec cet ouvrage, en mesurant l'ampleur, dans l'entre-deux-guerres, de la contamination des intellectuels - quand bien même l'occupation nazie en fera basculer plus d'un dans la Résistance – par cette droite révolutionnaire et sa révolte contre la République et la démocratie. Vichy, régime à beaucoup d'égards plus brutal et sanguinaire que le fascisme italien, est un pur produit de l'histoire nationale ; son essence se trouve dans cette droite révolutionnaire qui réussit à légitimer chez les meilleurs esprits l'idée qu'il fallait inventer une autre forme de communauté nationale autour du Chef et des chevaleries d'experts. La guerre froide et l'enrôlement des intellectuels dans les deux camps effaceront chez les uns le souvenir des ces textes, voire blanchiront d'authentiques collaborateurs en penseurs libéraux.
1956 Editions Princesse. Sans date (vers 1980). 1 vol In-8 cartonnage illustré - 377 + 299 + 255 pages
Bon état - Dos insolé
La vie nouvelle. 1922. In-Plano. En feuillets. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 4 pages - petite annotation sur la page 1 - mouillures en coins en tête du journal sans conséquence sur la lecture.. . . . Classification Dewey : 70.1-Journaux
Sommaire : Notre tâche - l'action chez nous - nos voeux - pour préparer le congrès national de 1922 - de droite & de gauche - le rédacteur en chef - pain et viande - le congrès communiste et la questions agraire - pain et viande - faits & gestes - congrès eucharistique de Rome 24-29 mai 1922 - la campagne pour le repos hebdomadaire - ses motifs - travail en profondeur - l'action ses moyens - vie de l'union - conclusions du congrès - la campagne pour le repos dominical dans la région parisienne . Classification Dewey : 70.1-Journaux