P., Grasset, 1993, in-8, br., 362 pp. (SC20A)
Reference : 1355680
Librairie HURET
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MARIE FEODOROVNA (Sophie-Dorothée de Wurtemberg) princesse allemande qui devint en 1776 par son mariage, avec le futur tsar Paul 1er, impératrice de Russie sous le nom de Marie Féodorovna (née en 1759 et morte le 5 novembre 1828 à Pavlovsk).
Reference : 42gC27
Ces lettres datées du 3 août 1827 au 3 octobre 1828, comprenant la période de la guerre Russo-turque (1828-1829), sont les derniers témoignages avant sa disparition. Elles sont écrites en français, trois de ces lettres sont sans date, le billet est rédigé au crayon d’une écriture difficile. Belle et rare correspondance dévoilant un aspect de l’intimité des Romanov où l’on découvre la sensibilité d’une impératrice douairière, très proche de ses enfants et petits enfants. Elle est très attentive à la santé de l’impératrice Alexandra. « Nos deux lettres, chère Mademoiselle Wildermeth, se sont croisées de près et je vous remercie de tout mon cœur. Je suis persuadée que la saignée fera grand bien à notre chère Impératrice, elle se sentira défoulée, le mal passera et cela influera aussi sur la lourdeur des jambes … ». Elle la questionne de nouveau sur sa santé, en janvier 1827. « Je m’adresse à vous pour vous prier de me dire si notre chère Impératrice a passé une bonne nuit et si elle ne se désole pas de son mal de tête ; elle en soufrait hier, je le voyais quoiqu’elle eut voulu prendre sur elle. La promenade ne l’a-t-il pas augmenté… ». Pavlovsk, 9 Mai 1828, elle tient à informer la gouvernante du dernier voyage de l’impératrice, nouvelles qu’elle a reçues hier : « l’Imp. me parait satisfaite et de bonne humeur, elle me donne des détails de leur voyage… Elle me parle aussi d’une synagogue qu’elle a vue et de l’impression désagréable qu’elle lui a faite, tout comme à moi lorsque j’étais dans le cas d’un soir. Marie s’amuse beaucoup de ce voyage et écrit à sa sœur et à son frère… ». Elle lui demande également de communiquer ces nouvelles à « Guillaume », (Guillaume 1er, empereur allemand) ne pouvant lui écrire aujourd’hui, et lui raconte sa visite chez lui. Le souverain l’a trouvé « bien docile », entourée des petits enfants « qui faisait le train autour de moi ». Elle lui apprend que son fils Nicolas, arrive à Dresde le 11 mai (1828) et que l’impératrice espère le voir. Elle a supporté « admirablement bien le voyage », ainsi que la petite Alexandra. Le 16 juin 1828, de Pavlovsk, elle se sert « d’une main étrangère » pour lui annoncer sa grande peine, causée par la mort du Gand duc de Weimar, « en songeant que ce malheur accélère le départ de mes enfants, en m’ôtant en même temps l’espoir de les revoir ! Jugez de l’état de mon âme ». Toujours de Pavlovsk, le 27 juin 1828, elle lui apprend la reddition « de Brahilev » (pour Braïla), la forteresse de Matte Chine (pour Matchin), de Hirsova et finalement d’Anapa ». C’est l’impératrice qui lui a donné ces nouvelles, qu’elle avait appris par une lettre provenant « du même bâtiment à vapeur », qui avait permis l’acheminement du courrier et le débarquement de l’empereur Nicolas 1er. Sa joie est totale avec la soumission d’Anapa et lui annonce que c’est « une grande et importante nouvelle qui peut nous donner de grands résultats » 11 Juillet 1828, elle répond à son ancienne gouvernante qui l’avait félicité des succès de Nicolas 1er en Turquie. « Je vois que vous avez pris, ainsi que je l’ai prévu, beaucoup de part aux triomphes de l’Empereur… ». L’éloignement de l’Empereur concerné par cette guerre est bien pénible à Alexandra, très inquiète, le sachant « s’approcher toujours d’avantage des forces de l’ennemi ! La confiance seule dans la protection Divine, qui repose si visiblement l’Empereur peut seule donner des forces pour supporter une situation de l’âme aussi pénible… Que Dieu le protège… ». Saint-Pétersbourg, 15 septembre 1828. Au moment « même » de répondre à sa « chère Wildermeth », elle reçoit une lettre de l’impératrice qui lui précise la date de son départ. « Sa santé et celle de petite Marie (future Marie Nikolaïevna, grande duchesse de Russie qui épousa en 1839 Maximilien de Leuchtenberg) sont bonnes. Elle sera le 4 octobre à Gatchina où j’irai la recevoir avec le petit Alexandre… ». Elle attend des nouvelles de la chute de Varna « d’un moment à l’autre, c’est un temps d’angoisse et d’inquiétude, que les paroles ne peuvent dépeindre sur ce que l’âme l’éprouve trop vivement… ». Gatchina, 3 octobre 1828, l’impératrice est arrivée à Gatchina et elle a éprouvé un grand bonheur en retrouvant ses enfants. « Aujourd’hui nous allons en ville, où j’attends une nouvelle jouissance, celle de revoir chez nous son beau Constantin, avec son air de prospérité. Vous avez fait un des premiers sujets de notre entretien. J’ai parlé à l’Impératrice du plaisir que j’espérais avoir de vous revoir chez nous et elle le partageait vivement ». Elle lui recommande d’être prudente concernant sa santé, lors de sa venue, « mais je me dis quelque fois que le plaisir de revoir notre chère Alexandrine redonnera, je le crois certain et sera aussi d’un bien à votre santé et je me flatte que de vous embrasser ». Un mois après l’impératrice s’éteignait.
Librairie Nouvelle. 4 Septembre 1869. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 8 à 16 pages, paginé de 145 à 160 .Illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc dans le texte et hors texte. Texte sur 3 colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
"Journal hebdomadaire. Sommaire : Lyon - L'Impératrice visite la maison des convalescents, Sainte-Eugénie, fondée par Elle. Le peintre Leys. La France à l'exposition internationale d'Amsterdam. Expsition universelle de Hollande - S. M. la reine de Hollande visite, avec le prince Alexandre, l'intérieur de l'exposition . Exposition internationale d'horticulture, à Hambourg. Voyage de l'Impératrice en Corse - Lyon - S. M. l'Impératrice et le prince Impérial passent la revue des troupes et des gardes nationales, au Grand-Camp. Le yacht impérial ""l'Aigle"", transportant en Corse S. M. l'Impératrice et le Prince Impérial. Voyage de l'Impératrice en Corse - Toulon - L'Impératrice, parès avoir passé la nuit à bord de son yacht, visite l'arsenal de Toulon. Etats-Unis d'Amérique - New-York - Les prisonniers fait à Cuba sont relachés sur la demande de leur gouvernement - On leur fait signer l'engagement de ne plus prendre part à aucune expédition contre l'île. Le mois comique, par Cham. Jardin zoologique de Londres. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique"
Librairie Nouvelle. 16 Octobre 1869. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 8 à 16 pages, paginé de 241 à 256.Illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc dans le texte et hors texte. Texte sur 3 colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
Journal hebdomadaire. Sommaire : Sa Majesté assiste, dans la tribune des Doges, à l'office divin célébré dans l'église Saint-Marc. Suisse - Exercices de l'armée fédérale - Bivouac de la brigade Bargeaud, à l'Isle. - Attaque des hauteurs de Pompaples par la division Philippin. Pontoise - Inauguration de la statue du général Leclerc. Evbénements d'Espagne - Intérieur du couvent de las Capuchinas, à Barcelone. Voyage de l'Impératrice en Orient - Venise - L'Impératrice est saluée par la foule au sortir de sa visite au palais de Doges - Escalier des Géants. Séjour de l'Impératrice à Venise - Sérenade donnée à l'Impératrice devant la Piazetta.Exposition des Beaux-Arts - Après la pluie, montagne de l'Auvergne. Séjour de l'impératrice à Venise - Le roi Victor-Emmanuel rend visite à l'Impératrice à bord de l'Aigle. Le moi comique, par Cham. Jardin des plantes de Paris - Métis d'hémione et de jument, né à la ménagerie. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
Collection " Les femmes des Tuileries ", La jeunesse de l'Impératrice Joséphine. Imbert de Saint-Amand Ecrit par Paul-Louis-Étienne Napoléon d'Oriola, également connu sous le nom d'Imbert de Saint-Amand. Cet auteur français du XIXe siècle était célèbre pour ses biographies historiques et ses ouvrages sur la noblesse française. Le nom "Imbert de Saint-Amand" désigne en réalité un pseudonyme collectif utilisé par un groupe d'auteurs français du XIXe siècle pour écrire des biographies historiques et des récits de la vie à la cour de divers personnages historiques. Leur travail était principalement axé sur la biographie de personnalités royales et impériales, y compris Napoléon Bonaparte et sa première épouse, l'impératrice Joséphine. L'impératrice Joséphine, de son vrai nom Marie Josèphe Rose Tascher de la Pagerie, est née le 23 juin 1763 à Trois-Îlets, en Martinique, qui était alors une colonie française. Sa jeunesse se déroula principalement en Martinique, où elle a grandi dans une famille créole bien établie. Voici quelques points clés de la jeunesse de Joséphine : Enfance en Martinique : Joséphine est née dans une famille de planteurs de canne à sucre. Elle était la fille de Joseph-Gaspard de Tascher, un officier de la marine, et de Rose Claire des Vergers de Sannois. Elle a grandi dans une atmosphère coloniale sur l'île de la Martinique. Éducation : Sa famille a veillé à ce qu'elle reçoive une éducation adéquate pour une jeune femme de son rang social, ce qui incluait l'apprentissage de la musique, de la danse, et des bonnes manières. Elle est également devenue compétente en mathématiques et en botanique, ce qui a influencé son intérêt pour les jardins plus tard dans sa vie. Mariage avec Alexandre de Beauharnais : En 1779, à l'âge de 16 ans, Joséphine épousa Alexandre de Beauharnais, un aristocrate français. Le couple s'installa en France, où ils eurent deux enfants. Le mariage ne fut pas très heureux, et ils finirent par divorcer pendant la Révolution française. La Révolution française : La Révolution française a bouleversé la vie de Joséphine. Son mari, Alexandre de Beauharnais, fut emprisonné et exécuté pendant la Terreur révolutionnaire. Joséphine elle-même a été brièvement emprisonnée, mais elle a survécu à la Révolution. Rencontre avec Napoléon Bonaparte : Joséphine a rencontré Napoléon Bonaparte en 1795 et ils sont tombés amoureux. Ils se sont mariés en 1796, et Joséphine est devenue impératrice des Français lorsque Napoléon est devenu empereur en 1804. La jeunesse de Joséphine en Martinique, son éducation raffinée et son mariage initial avec Alexandre de Beauharnais ont façonné son caractère et son style de vie. Elle est devenue une figure emblématique de l'histoire française en tant qu'épouse de Napoléon et impératrice de la France, et son influence a été ressentie à travers sa passion pour les arts, la mode et les jardins. volume in-8, 20x15, reliure demi cuir, bon état intérieur, 248pp. Paris, Dentu, 1892 ref/267
Au bureau du journal. 1er septembre 1866. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages environ illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc - Paginées de 130 à 144. . . . Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon
SOMMAIRE : Texte : Revue politique. — Visite de LL. MM. l’Empereur et l'Impératrice à S. M. l’Impératrice du Mexicfue. — Courrier de Paris. — Campagne du Tyrol. — Guerre du Paraguay. — Qui trop em-brasse... manque le train, proverbe (fin;. — École des Beaux-Arts : Envois de Eome. — Correspondance : Lettre de M. Carafa.—Le tombeau de la Chrétienne. — On pend la crémaillère. — Courrier de la province. — Les salines de Batz. — Revue scientifique.Gravures : Visite de LL. MM. l’Empereur et l’Impératrice àS.M.l’Impératrice du Mexique. — Campagne du Tyrol (3 gravures'.—Guerre du Paraguay : Bataille de l’Estero-Bellaco. — Plan de la bataille deJEstero-Bellaco. — École des Beaux-Arts : Prix et envois de Rome (5 gravures). — Le tombeau de la Chrétienne (3 gravures). — Les pupilles de la marine (8 gravures). — Les salines de Batz (9 gravures). — Échecs. — Rébus. Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon