Lausanne, Rencontre, 1963, in-8, cart. éd., nombreuses ill. (L.179)
Reference : 1353390
Collection Atlas des voyages.
Librairie HURET
M. Jean-Etienne HURET
9 rue de la Pompe
75116 Paris
France
33 01 40 50 15 40
TELEPHONER avant de venir à la librairie car une grande partie de notre stock est en réserve, il faut 48 heures avant qu'il soit à la librairie. Les ouvrages sont expédiés après réception du règlement (chèque,carte Visa,virement) SAUF PAYPAL. Frais de port variables selon poids à ajouter au prix du livre. Envoi en colissimo (Livres et brochures pour l'étranger pour les livres de moins de 70 €) sauf indication contraire du client.
RIVERA (Diego). KAHLO (Frida). SIQUEIROS (David Alfaro). OROZCO (José Clemente). POSADA (Jose Guadalupe). TAMAYO (Rufino).
Reference : 45675
Calagogue de l'exposition présentée au Musée d'art moderne de Villeneuve d'Ascq de septembre 2004 à janvier 2005. Fort volume 22,5x27,5cm cartonné sous couverture en couleurs, 330 pages abondamment illustrées en couleurs dans et hors texte présentant 233 oeuvres exposées de plus de 70 artistes. Bel exemplaire.
DIAMANT-BERGER (Renée) - BLOC (André) - L'Architecture d'aujourd'hui -
Reference : 44257
Boulogne : L'Architecture d'Aujourd'hui, directeur : André Bloc, rédacteur en chef : Alexandre Persitz. Un volume broché (24x30,7 cm), XC et 123 pages. Contient 45 pages de publicités, 45 plans et photographies d'habitations mexicaines dans la première partie et un dossier sur l'urbanisme et l'architecture mexicaines en seconde partie. Illustré de plans et photographies en noir, couverture et publicités en couleurs. Bon état.
Paris Institut des Hautes Etudes de l'Amérique Latine 1952 in 8 (27,5x18,5) 1 volume reliure toilèe grège moderne, dos lisse, pièce de titre de cuir noir, couverture conservée, 220 pages [2]. Ex-libris R. V. F. Les aspects démographiques de Mexique; L'Agriculture mexicaine; L'irrigation au Mexique; L'industrie électrique au Mexique; L'industrie chimique au Mexique; L'industrie minière du Mexique; Les charbonnages mexicains vus par un ingéieur français; L'industrie du pétrole au Mexique; Les industries manufacturières au Mexique; La politique monétaire et bancaire du Mexique; L'évolution du commerce extérieur du Mexique; La politique commerciale du Mexique; Stabilité et developpement de l'économie mexicaine. Bon exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Bon Reliure
Genève, Editions Olizane, 1993, gr. in-8°, 513 pp, une carte, qqs croquis dans le texte, index des noms, broché, couv. illustrée, bon état
Avec la plume caustique d'un Voltaire et la truculence d'un Toepffer, Henri de Saussure relate à ses proches son exploration des Antilles et du Mexique de 1854 à 1856. Le verbe haut et l'invective facile, il se veut à 24 ans meilleur que Humboldt. Voyageur infatigable et sans égards pour ses compagnons, il est toujours prêt à braver mille dangers pour visiter les curiosités et observer les phénomènes naturels... Henri de Saussure (1829-1905) est le petit-fils du naturaliste et alpiniste Horace-Bénédict et le père du linguiste Ferdinand de Saussure. — "Cet ensemble de lettres adressées par Henri de Saussure à sa mère et à divers membres de sa famille est un précieux témoignage, non pas du Mexique des années 1854-1856, mais de la vision que pouvait en avoir un jeune homme de bonne famille, ambitieux et savant, désireux de connaître le monde et de marcher sur les traces illustres de son modèle : le baron Alexandre de Humboldt. En effet, Henri de Saussure a vingt-cinq ans quand il débarque au Mexique, après quelques escales dans les Antilles, afin d'explorer un pays encore mal connu et dont les richesses naturelles attirent de nombreux Européens. Une lettre de Humboldt, datée du 14 novembre 1854, l'incitait à travailler sur les phénomènes tectoniques et volcaniques qui compliquent et enrichissent la géologie du Mexique. Très vite, pourtant, les lettres qu'il rédige vont se faire l'écho de ses états d'âme plus que de ses découvertes scientifiques. En outre, à cause des nombreuses difficultés rencontrées en chemin, son voyage va se limiter à la région centrale du Mexique. Il n'est donc pas étonnant de le voir réduire l'immense variété des paysages mexicains à leur plus simple expression : « Cette végétation du Mexique [autour d'Orizaba] est mille fois plus belle que celle des Antilles, mais elle est peu générale, parce que le pays est extraordinairement sec », écrit-il le 16 mars 1855 (en pleine saison sèche !). Il ne faut donc pas espérer trouver dans ce recueil les remarques pertinentes et le vaste tableau économique et social développé par Alexandre de Humboldt dans son Essai politique sur le royaume de Nouvelle-Espagne (1808). En revanche, on trouvera une foule d'anecdotes et de descriptions qui sont autant d'instruments pour mieux appréhender la vie quotidienne et les coutumes d'un Mexique qui vient à peine d'acquérir son indépendance et vit dans une époque troublée. Ainsi, plusieurs événements fondamentaux pour l'histoire du pays transparaissent à peine dans les lettres du jeune Henri de Saussure, qui préfère se plaindre des retards et des déconvenues occasionnés par des bouleversements dont il ne semble pas toujours saisir toute la portée, même s'il montre par moment une grande lucidité qu'il semble avoir réservée aux lecteurs du Journal de Genève, à qui il donne la primeur de ses informations politiques (p. 473). En revanche, il décrit avec beaucoup de saveur et de verve les événements auxquels il assiste personnellement, comme le bombardement de Veracruz (février 1856). Les lettres de Saussure s'inscrivent donc dans une tradition qui, dès cette époque, met l'accent sur l'exotisme du Mexique et des Mexicains, au détriment d'une approche plus scientifique. Pourtant, le lecteur actuel est saisi d'un certain malaise devant les propos tenus par ce jeune homme bien né qui, malgré ses prétentions, ne possède pas encore la grandeur de vue et l'esprit d'analyse de son illustre modèle, Alexandre de Humboldt. Trop imbu de lui-même et de sa valeur, convaincu de la supériorité de sa culture sur celle des Mexicains (des papistes il néglige souvent l'essentiel pour ne retenir que l'anecdotique. Il passe son temps à se plaindre des gens (tous des voleurs et des paresseux), du climat (qui le rend malade), des objets (qui sont mal faits), des animaux (qui sont dangereux). Ses analyses économiques restent souvent rudimentaires et si ses remarques sur les biens du clergé ne manquent pas de profondeur, il faut plutôt y lire la critique acerbe d'un protestant qui s'emporte contre la de l'Église catholique. De fait, ses jugements de valeur sont souvent sans appel et se situent à la limite de l'injure ou de la calomnie. Il parle de l'« apathie des Mexicains » (p. 173), de la « vanité mexicaine » (p. 260) et de la « turpitude mexicaine» (p. 477). Les Indiens sont « vicieux » (p. 486), « ils ne veulent pas travailler » (p. 486). Les moines sont tous prévaricateurs et concupiscents (p. 148). Chaque Mexicain est « brigand en » (p. 143). Dans le meilleur des cas, on les reconnaît « doux, inoffensifs et bons enfants », mais il ne faut rien leur demander, car ils sont trop paresseux pour entreprendre quoi que ce soit (pp. 147, 171). Quant aux créoles, ils « n'inventent rien ; ce sont de sottes bêtes et voilà tout » (p. 172). Il faut attendre les ultimes pages de ce long réquisitoire pour que le voyageur se laisse aller à dire son attachement pour une terre et des hommes qu'il a appris à aimer malgré tous leurs défauts. Mais ce lyrisme final semble trop poli, trop convenu, pour être honnête : « Adieu, beau Mexique, adieu, vous, beaux déserts, sans routes et sans gênes, où l'Indien libre comme l'air adore à deux genoux le soleil à son lever [...] » (p. 490). A la décharge d'Henri de Saussure, il faut souligner que ces lettres n'étaient pas destinées à la publication et qu'il s'y livre sans retenue. En dépit de leurs excès et, parfois, leur suffisance (quand il se mêle par exemple de critiquer le travail réalisé par Humboldt), elles sont de lecture agréable et on se laisse prendre au charme d'un style enlevé et d'un récit riche en péripéties. Il reste que les véhiculés dans l'œuvre de Saussure continuent à encombrer l'imaginaire collectif des Européens. Le Mexique contemporain, malgré tous ses efforts, souffre encore d'une image que ce livre, pris au pied de la lettre, ne pourra qu'entretenir, même si Joaquin Galarza, dans sa préface, replace fort justement les lettres d'Henri de Saussure dans leur contexte historique et culturel." (Alain Musset, Revue française d'histoire d'outre-mer, 1994)
Mission Archéologique et Ethnologique Francaise au Mexique, Mexico , Etudes Mésoaméricaines Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1977 Book condition, Etat : Bon relié, cartonnage imprimé éditeur gris, sous jaquette imprimée éditeur noir, orange et blanc, illustrée d'une statuette en noir et blanc In-4 1 vol. - 911 pages
171 planches hors-texte de figures, 35 planches hors-texte de photographies, quelques figures dans le texte, 1 grande carte dépliante du site et 1 tableau dépliant des différentes formes de poteries (Toutes les illustrations sont en noir et blanc, exemplaire complet de toutes les planches y compris les 2 planches volantes) 1ere édition, 1977 Contents, Chapitres : Avant-propos, préface et introduction méthodologique - Le site et les fouilles - Le matériel céramique de San Antonio Nogalar - Industrie lithique de San Antonio Nogalar, objets fabriqués en os, en corne, en coquille ou en métal, restes de faune - Autres sites archéologiques de la région de San Antonio Nogalar - Discussion du site de San Antonio Nogalar et des sites voisins - Essai de liaison avec les données de l'ethnohistoire - Bibliographie, index, tables, planches volantes - Guy Stresser-Péan, né le 17 août 1913 à Paris et mort le 8 novembre 2009, est un mésoaméricaniste français, et un des principaux spécialistes de la culture huaxtèque de Puebla et San Luis Potosí. Cet anthropologue spécialiste des populations indiennes huastecos (Mexique) sest consacré de 1962 à 1977 à la direction de la Mission archéologique française au Mexique dont il a été le fondateur. - Guy Stresser Péan est, par sa mère, le petit-fils du chirurgien Jules Emile Péan (1830- 1898). Dans sa famille parisienne, il est éduqué par un précepteur jusquen 1923, puis, après le baccalauréat, il sinscrit en 1926 à lEcole libre des sciences politiques. En 1934- 1936 il suit des cours danthropologie, dont ceux de Marcel Mauss. Puis pendant deux ans, jusquen 1938, il est envoyé par Paul Rivet comme boursier au Mexique, y succédant à Robert Ricard et à Jacques Soustelle. Il débute là, épaulé par son frère Jacques, sa carrière dethnologue dans la région de Valles (Hasteca potosina). Avec la seconde guerre mondiale, après avoir été mobilisé, il reprend des études qui lorientent vers lanthropologie religieuse, à la 5e section de lEcole pratique des hautes études. En 1947 il est recruté comme attaché de recherche au CNRS. Grâce à une bourse de deux ans (1950-52) de la fondation Rockefeler, il retourne sur le continent américain, dabord en prenant des contacts avec les institutions des Etats-Unis, puis pour simmerger à nouveau au Mexique chez les Huastecos. Cest grâce à lappui de sa mère, qui laccompagne alors au Mexique, quil y prolonge ses recherches jusquen 1955. Élu professeur danthropologie religieuse à lEcole pratique des Hautes Etudes en 1954, il partage alors son temps entre Paris où il enseigne et le Mexique, toujours pour étudier les Huastecos, mais en multipliant les voyages et les contacts. En 1962 il fonde la Mission archéologique française au Mexique, ce qui limmerge dans le monde des chantiers de fouille, principalement encore en Huasteca. Il est en France, mais aussi au Mexique, un expert reconnu en archéologie comme en ethnologie. Il épouse en 1964 Claude Gantes (1929- ), qui de 1958 à 1963 avait dirigé le centre de Oaxaca de lAlliance Française, puis celui de Mérida. Celle-ci commence alors des recherches dethnologue, tout en participant aux tâches de la Mission archéologique. En 1977, remplacé à la tête de la Mission par Pierre Usselmann, Guy Stresser Péan prend sa retraite, continuant à résider à Mexico jusquà sa mort (2009) et travaillant à lédition de ses travaux antérieurs. (source : Wikipedia) - Le site archéologique de San Antonio Nogalar, datant du Ve siècle de notre ère, est situé à l'extrémité méridionale de la Sierra de Tamaulipas, en limite des plaines du Nord de la Huasteca (Côte Nord-Est du mexique) bel exemplaire, la jaquette est tres legerement jaunie avec d'infimes traces de pliures sur le haut du plat inférieur et aux coiffes sans gravité, l'intérieur est sinon frais et propre, bien complet des 206 planches (171 de figures, 35 de photographies), de la grande carte dépliante du site et du tableau comparatif dépliant des poteries, le volume pèse plus de 3 kilos, il peut y avoir des frais de port additionnels selon les destinations - near fine copy, jacket very lightly yellowing, with minor wear on the top of the bottom part of the dust-jacket which remains complete and nice, inside is fine, no markings, complete of the 206 plates (171 of figures, 35 of photographies, all in black and white), and of the 2 flying folded plates (Map of the site and poteries comparison), a nice volume