P., Flammarion, 1997, br. (SD82)
Reference : 1347812
Édition originale.Envoi de l'auteur : "pour Bernard Mazo Entre temp en hommage... le 10.1.1997"
Librairie HURET
M. Jean-Etienne HURET
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N° 213 - 19e année - Février 1964 - revue mensuelle - Broché
bon état malgré une couverture sale
Editions en Langues Etrangères à Moscou Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1957 Book condition, Etat : Bon relié, cartonnage éditeur pleine percaline, bordeaux et blanc, illustré d'un portrait de Tchernychevski en médaillon fort et grand In-8 1 vol. - 655 pages
1 photographie en noir et blanc de Tchernychevski en frontispice 1ere traduction en français, 1957 "Contents, Chapitres : Tchernychevski et sa conception du monde - Le principe anthropologique en philosophie - Perles polémiques - Caractère de la connaissance humaine - Critique des préventions philosophiques contre la possession communale du moi - L'évolution graduelle des doctrines philosophiques anciennes dans ses rapports avec l'évolution des religions paiennes - Essai d'une conception scientifique de certains problèmes de l'histoire universelle - Rapports esthétiques entre l'art et la réalité (Thèse et critique) - De poésie, traité d'Aristote - Essais sur la littérature russe du temps de Gogol - Préface et commentaires pour le livre de Carpenter, L'énergie dans la nature - Lettres - Notes et index - Nikolaï Gavrilovitch Tchernychevski, né le 12 juillet (30 juin) 1828 à Saratov et mort le 29 octobre (17 octobre) 1889 dans la même ville, est un écrivain, philosophe et révolutionnaire russe. - Socialiste utopique, communiste, nihiliste ou encore libertaire, Tchernychevski ne se laisse pas facilement rattacher à une école politique ou philosophique. À la croisée des chemins, trop graphomane et trop polyvalent pour se cantonner à quelques domaines précis, il a, dans ses multiples ouvrages, puisé aux sources du socialisme utopique chrétien français et de sa propre éducation religieuse, élaboré un système politique et économique qui s'en inspirait, souhaité une révolution sans y travailler aucunement, servi peut-être à son corps défendant d'inspiration pour les mouvements terroristes, été considéré comme le chef des nihilistes sans peut-être en être un lui-même, et fini par être intégré à la liste des auteurs officiels d'un régime soviétique qui n'était pas le modèle qu'il défendait. - Pour Tchernychevski, la voie du progrès (social, économique, moral, philosophique, esthétique...) est à chercher dans la science. Celle-ci est à la fois une valeur en soi, le fondement de l'organisation économique et sociale permettant d'arriver à la prospérité économique, elle-même condition du bonheur, et un critère d'évaluation de la réalité et de jugement esthétique. Encore adolescent, il avait juré de découvrir le mouvement perpétuel, qui permettrait d'abolir toute nécessité de travail physique ; plus tard, il tentera de découvrir une formule mathématique universelle qui décrive et régisse l'ensemble de la réalité. La primauté est donc donnée aux mathématiques, mais les sciences appliquées ne sont pas négligées pour autant, en particulier l'économie et la médecine (Kirsanov et Lopoukhov, deux des protagonistes de Que faire ?, sont étudiants en médecine, comme d'ailleurs Bazarov, le héros de Pères et fils, de Tourguéniev) ; on retrouve là les sources chrétiennes de Tchernychevski, dont il fut nourri dans son enfance, et qu'il retrouve plus tard chez Charles Fourier et les socialistes utopiques français : le travail physique et la maladie sont les deux fardeaux de l'homme, qu'il est nécessaire d'abolir afin de bâtir la société nouvelle, car la révolution sociale ne peut être que l'instauration d'un nouvel Éden. (source : Wikipedia)" bel exemplaire, frais et propre
Manuscrit autographe signé de 2 pages format 25 x21 cm, s.d. [1929 ] : Billet de Minuit : "Aubanel fêté en Avignon ou Le souvenir d'Aubanel" : "On vient de clore le cycle des fêtes données en Avignon ces dernières semaines pour commémorer le centenaire de Théodore Aubanel. Dans ce jardin du musée Calvet, où, voici peu de temps, Pol Neveux honorait le passage de Stendhal, un écrivain du nord de la Loire (le signataire de ces lignes), invité par l'Académie du Vaucluse, a apporté à la poésie méridionale l'hommage d'Oïl à Oc. Hommage d'autant plus convaincu et justifié que les chants intimes de Théodore Aubanel, par la qualité de coeur qui les dicte, par leur accent de vérité humaine et permanente, rayonnent bien au-delà de leur foyer. Les vingt-cinq petites pièces qui, dans la Grenade Entr'Ouverte, composent le "Livre de l'Amour" ont été souvent comparées, égalées à l'Intermezzo de Henri Heine. Intermezzo latin, où celui qui devait chanter plus tard en vers impérissables la vénus d'Arles élève, songeant à celle qu'il aima et qui s'est faite religieuse, sa plainte pure, brûlante et soumise. [...] [il évoque : ] "la pauvre fille de Charité, cette "Zani" au visage d'espagnole qui, pour la robe de bure des Soeurs de St Vincent de Paul, quitta la robe "couleur-de-Grenade" qu'elle portait le jour où Aubanel la vit pour la première fois. Les souvenirs terrestres de Zani et d'Aubanel, dans leur matérialité pour ainsi dire décantée, sont pieusement conservés dans la famille du poëte. Présentement, on peut les voir dans une salle du musée Calvet. Il y a là des portraits d'Aubanel, des siens, entre autres du "Corsaire grec" dont le poète descendait. Il y a là aussi un portrait de Zani, pas bien grand, tout modeste, sombre hostie offerte aux mystères cruels du sacrifice. Il y a là des manuscrits, des lettres ; ce touchant "cahier rouge" où Aubanel consigna mille détails tendres [... ] Enfin, dans sa blancheur immaculée, voici le grand exemplaire unique de La Grenade Entr'ouverte, que le poète fit imprimer spécialement "pour Zani" et que sa sainte inspiratrice, toute vouée à soigner les vieillards, à guider les enfants ne devait jamais, pour le presser sur un coeur inconsolé, toucher de ses maines mortelles".
Beau manuscrit autographe signé de Jean-Louis Vaudoyer de son bel article consacré au grand poète du Félibrige, Théodore Aubanel (1829-1886). Il y évoque notamment la figure de Jenny Manivet dite "Zani", premier amour du poète avignonnais. On joint une carte postale ancienne du monument de Théodore Aubanel à Avignon.
[Bureaux de Rédaction et d'Abonnement] - DE LA BORDERIE, Arthur ; GRIMAUD, Emile ; Collectif
Reference : 55983
(1885)
2 vol. in-8 reliure demi-chagrin brun dos à 4 nerfs orné, mention A. Grimaud au dos en queue, Bureaux de Rédaction et d'Abonnement, Nantes, 1885, 499 et 499 pp. Revue de Bretagne et de Vendée. Année 1885 (2 Tomes, Tomes 57 et 58 - Complet) [ Edition originale ] Vingt-Neuvième Année Sixième Série. Tomes VIII et IX (Tomes LVII et LVIII de la Collection) [ Contient notamment : ] Arthur de Bretagne, comte de Richemont, connétable de France ; Mgr du Coëtlosquet ; Le budget du Duché de Bretagne au XVe siècle ; Chouannerie (1815) Relation d'un officier de l'armée royale d'entre Loire et Vilaine ; Poésie bretonne : une Messe neuve à Pluzunet ; Une famille de paysans nantais pendant la Terreur. Les Bouet ; La Course et les Corsaires : Julienne David ; Louise Antonini ; Froissart et le début de la guerre de Blois et de Montfort en 1341 ; Charles Robinot-Bertrand ; Le cardinal de Boisgelin (1736-1802) ; La dernière tenue des Etats de Bretagne ; Lovocat et Catihern, prêtres bretons du temps de saint Melaine ; Le rétablissement du Culte dans le diocèse de Nantes après la révolution (fin) ; L'Eglise de Rennes à travers les âges ; Duclos ; Nantes pendant les premières années de la Restauration. Souvenirs anecdotiques et politiques ; Les Origines de la Révolution en Bretagne ; Un armorial du XIVe siècle ; Le culte de Saint Gonéri, breton armoricien du VIe siècle ; Les opuscules de Pierre Belordeau ; Les Sévigné oubliés. Souvenirs du XVIIe siècle ; Bonnecamp, poéte et médecin breton du XVIIe siècle ; Le registre des protestants de Blain, de Philippe Le Noir, sieur de Crévain ; Armand du Chatellier
Bon exemplaire très bien relié, bien complet des 2 tomes de l'année 1885. Prix de l'année complète, non séparable.