P., Jouaust, 1879, 3 vol. in-18, demi-chagrin brun à coins rehaussés d'un double filet doré, dos à nerfs, double filet doré formant caissons eux-mêmes décorés de motifs dorés, têtes dorées, non rogné. (L.79)
Reference : 1338626
Série complète des Chansons de Gustave Nadaud parues dans la "Petite bibliothèque artistique".Chansons populaires (T. I). Chansons de salon (T. II). Chansons légères (T. III). Bien complet des 12 eaux-fortes (4 par volume) par Edmond MORIN. "Auteur-compositeur-interprète (1820-1893). D'une famille de marchands, il touche d'abord aux tissus paternels puis abandonne Roubaix pour Paris et le tissu pour la rime. Auteur prolifique (romans, opéras, poèmes, chansons), [...] il a les faveurs du second Empire et sera le premier chansonnier à être décoré à ce titre de l'ordre national" (Cent ans de chanson française 1880-1980. Éd. du Seuil, 1996, p. 283.)
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Sans lieu, , 1760. Manuscrit in-4 broché (17 x 22 cm) à 14 lignes par page de (1)-264 pp. (17) pp., "Table alphabétique des chansons contenues au présent recueil", (4) pp. entre les pages 24 et 25.
Recueil compilé de 105 chansons grivoises avec l’indication des airs sur lesquels les couplets sont chantés dont La Tentation de Saint Antoine attribuée à Michel-Jean Sedaine (pages 217-227, imprimée en 1752 dans les Pièces fugitives de M. S***). Les autres pièces ne sont pas attribuées, parmi lesquelles : Ah Lucas que m’allés vous faire, Après avoir fourni trois fois, C’est à l’hameçon, C’est ma faute Michelle, Colin à la chasse, Dans un bois planté par l’amour, Foutre des Mousquetaires, Je guettais près d’un bosquet, Jeunes gens pleins d’audace, Il était un Père Célestin, l’hypocrite Babet, le gros Guillot d’amour épris, La Brune fait le bonheur, Le curé de St Sulpice, Mesdames voici Pierrot, Pour jouer à la chemisette, Vive le frère Oignon etc. Le recueil daté 1760 s'inscrit dans le goût chansonnier et gaillard de l'époque, contemporain des compilations manuscrites ou imprimées de Pierre-Antoine de La Place, André-Charles Cailleau (Almanach polisson ou Etrennes boufonnes et poissardes pour l'année 1761 enrichies de chansons grossières sur des airs distingués), Charles Collé (Chansons qui n'ont pu être imprimées et que mon censeur n'a point du me passer 1784).Joint : 1. La Guillotine d'Amour. Air : du Serein qui te fait envie. (1) f. manuscrit sans date (1760) ; Examen subi par M.elle Flora, à l’effet d’obtenir un diplôme de putain et d’être admise au bordel de Mme Lebrun. 68 bis rue de Richelieu. Manuscrit in-12 en feuilles de (13) pp. Sans date (vers 1860). Par Louis Protat, d'après Pascal Pia (Livres de l'Enfer, 257). Publié une première fois en 1864, il sera réédité plusieurs fois de manière clandestine, avec ou sans illustrations. Gay, II, 200.Manuscrit XVIIIe d'une belle et large écriture ; les cahiers sont cousus, prêts à être reliés.
Avallon, À l'enseigne du Bonnet a Poil ; Rome, À l'enseigne des sept péchés capitaux, 1901-1902. 2 fort vol. in-4 manuscrits de 905 et 1182 pp., demi-maroquin vert à coins, dos lisse orné d’un bouquet pour le "Recueil" et d'un feuillage pour le "Parnasse", double filet doré sur les plats, tête dorée, étui (L. Dartus rel.).
Recueil en partie inédit, établi par Pingray membre de la Lice Chansonnière, qui a réuni 750 chansons et poésies grivoises en deux fort volumes dont les titres sont empruntés à des publications éponymes : I, (448 pièces). Grivoiseries. Recueil de chansons et Poësies Galantes du plus haut goût chantées dans les premières Maisons de Paris principalement à la Patte d'Chat "Allez-y voir !" dédié aux dames suivi du Panier aux ordures [Libreville à la Société pour la Propagation des Livres de l'Enfer, 1866], des Veillées d'un fouteur et de Morceaux choisis de Piron. Avallon à l'enseigne du Bonnet à poil Se trouve chez Mdame Onfout 69 rue Brisemote, 1901 ; II, (302 pièces). Le Parnasse satyrique du dix-neuvième siècle. Recueil de vers piquants et gaillards de MM. Béranger, V. Hugo, A. Barbier, A. de Musset, A. Delvau, F. Desnoyers, Baudelaire, Banville, Degrécourt, A. Glatigny, Portat, Nadaud, C. Monselet, Vacquerie, E. Debraux etc. etc. etc. Suivi de Chansons érotiques de P.-J. de Béranger (Supplément. Paris chez tous les Marchands de Nouveautés, 1834). Pigritia. Invidia Avaritia. Superbia. Furor Luxuria. Gula. Rome , à l'enseigne des sept péchés capitaux, 1902. Créée en 1831, la Lice chansonnière est une des plus célèbres goguettes parisiennes dont les membres sont appelés licéens ou lycéens où naquirent deux des plus célèbres chansons françaises : Ma Normandie de Frédéric Bérat et L'Internationale d'Eugène Pottier.Couvertures et titres calligraphiés à l'encre rouge et noire pour chaque tome, deux portraits photographiques probablement du compilateur R. Pingray contrecollés en frontispice avec deux envois autographes de celui-ci à Frédéric Stader ou Stadler assortis de deux épigraphes de son cru "Quand ça pourra venir, Ça me f'ra bien plaisir" ou encore "Le mou le mou n'est pas de mon goût En tout et partout A bas le mou". Dos passés (brunis), traces de frottement.
Paris, A. Clochard, 1890. 80 livraisons reliées en 2 vol. in-4, toile rouge, pièce de titre noire, couvertures illustrées en couleurs conservées (reliure de l'époque).
Recueil de 80 chansons (paroles et musique) de Paulus établi par l'éditeur Clochard en 1890, soit l'intégralité de son répertoire à cette date. Chaque livraison est précédée d'une grande lithographie en couleur signée Faria illustrant le thème de la chanson.Jean-Paul Habans, dit Paulus, (1845-1908) est un des grands chansonniers populaires de la fin du XIXe siècle. Aimé du public pour sa verve et son entrain, il déploie son art dans des textes d'inspiration cocardière. « Dans son cas on ne saurait parler précisément de "répertoire" mais d'airs, de refrains qui eurent le don de plaire à tous les publics quand l'adéquation entre la musique, les paroles et les gestes se réalisait. Aussi, au lieu d'attacher le mot "répertoire" à Paulus ou d'insister pour parler de "répertoire Paulus" il serait plus juste de spécifier qu'il s'agit de pièces musicales telles qu'interprétées par Paulus. Vers 1900 - Paulus a chanté pendant plus de trente ans, renouvelant son répertoire continuellement -, (on comptait) plus de 200 chansons créées ou chantées par Paulus. » (Yves Sinigaglia, Du Temps des cerises aux feuilles mortes).Envoi autographe du chanteur : A ce brave ami Badoureau Tuteur de Paulus God'lureau. Septembre 1890. Paulus le malin. doublé au tome II : 2e série nette de chansons complète, le Répertoire Paulus Il n'y en a pas plus. Septembre 1890. Paulus.
Paris, Maurice Magnier et Cie, 1887. In-32 tiré au format In-8 de (4)-132 pp., demi basane havane, dos lisse orné, tête dorée, couverture et dos conservés non rogné, coiffes usées (reliure de l'époque).
Édition originale. Tirage limité à 290 exemplaires numérotés. Un des 150 exemplaires sur papier vélin à la cuve.Recueil de 41 chansons avec airs de musique notés, orné d'un frontispice composé et gravé à l'eau-forte par Henry Somm. Dans l'avis publié dans la Bibliographie de la France les éditeurs précisent : « Cette édition ayant été tirée à petit nombre et spécialement pour être illustrée dans les marges, nous ne ferons pas de remise sur les prix fixé ».Cet exemplaire a été effectivement illustré en marges de deux gouaches originales non signées, en miniature ; l'une sur la première chansons, M'aimez-vous ? M'aime-tu ? représente un intérieur de chambre XVIIIe siècle, où un jeune homme faisant la cour à sa belle, assise lui sur une chaise, elle au bord de son lit à baldaquin ; l'autre, sur la deuxième chanson Manon, une scène où deux dames de la halle regarde passé Manon avec son châle. On trouve en marge de la troisième chanson L'Objet, l'esquisse du dessin de deux personnes au crayon noir. Vicaire, VI, 16.