‎TRON (Dominique).‎
‎Editions originales avec envoi à Bernard Delvaille‎

‎Éditions originales avec envoi à Bernard Delvaille. (S3B22) L'ensemble : ‎

Reference : 1335439

‎ - 1965. Stéréophonies. Seghers. Préface par Elsa Triolet. Ex. H.C. sur bouffant. Envoi : "...en remerciement de la collaboration qu'il a apportée à ce livre - ma jeune amitié - Dominique" - 1968. D'épuisement en épuisement jusqu'à l'aurore Élisabeth. Oratorio biographique suivi de Bouches de feu, mystère. Seghers, un dessin exécuté par Élisabeth [TRAMON]. Envoi : "à Bernard Delvaille et à Bernard Delvaille [sic], que je ne connais pas assez, mais avec qui nous avons un souvenir et qui a notre sympathie - D. Tron (un souvenir de café, à un carrefour, cet été avec Élisabeth). Joint une lettre de l'auteur signée, datée Décembre 89 : "Cher Bernard, Je te souhaite beaucoup de bonheur et de sérénité pour cette année 1990. - Voici ma nouvelle adresse, et deux poèmes. Je publie parfois des textes dans des revues comme Podio, à Grasse, ou Poètes en pareo, l'unique revue de poésie de Tahiti actuellement - je diffuse également des cassettes (L'Oracle de l'oiseau de paradis, bien sûr, L'Expédition aux enfers et le Manifeste du pluriculturalisme) - Je retravaille mes anciens poèmes, et de nouveaux surgissent - Que deviens-tu ? Amicalement à toi" (titres des deux poèmes joints à la lettre Notre actualité et leur actualité et Nuage Christine, nuage Dominique). - 1968. La Souffrance est inutile. Seghers, ill. Joint : - lettre d'excuses pour un rendez-vous remis, non datée - lettre confirmant une invitation, non datée : "...Élisabeth m'a dit qu'elle n'inviterait pas Kenneth, à cause des dimensions de notre chambre... Je vous ai donc dit : je me suis marié, et le faisant je n'étais pas ivre. Car c'est un plaisir que je passe de commentaire que de m'inscrire de toute façon dans une histoire voleuse... et si volatile, n'est-ce pas ?... - lettre rédigée sur une longue bande de papier : "Tel jour, telle heure, tel mois, Cher Delvaille, Je suis très bas, très bas : pessimiste, fatigué. Merci d'avoir envoyé les livres à S.M. On m'a invité à St Étienne, à Nice, en Bourgogne. Je suis trop fatigué... + de forces, je me saborde - Si tu peux, envoie mes livres aux plus de poètes, romanciers possibles, américains ou russes (Vosnessenski, pourquoi pas ?) (...) Je suis fatigué, malade, après tant d'insomnies - Enfin, avec un peu de dérision on peut faire semblant d'être fier vis à vis de toute cette bande; (de papier); j'aimerais être à 20.000 lieues sous terre en ce moment. Peux-tu envoyer alors mes 4 bouquins à (...) Pourquoi, en effet laisser les livres s'empoussiérer dans les caves..." - long article de l'auteur publié aux Lettres Françaises, 17.5.67 intitulé Activité d'un garçon au pays des légendes douloureuses. Joint une importante documentation sur ce jeune poète, apprécié par Aragon et Elsa Triolet; Pierre Seghers publiera son premier livre. - manuscrits rédigés sur deux cahiers d'écolier (16 et 40 pages) de Nous irons à Valparaiso (1964-1965) - 1ère partie La Grande romance - 2ème partie : Ababa. - bulletin Poésie 65 publié par Pierre Seghers, février-mars, n° 1 où paraissent quelques poèmes de D. Tron (*) - 32 poèmes ronéotés ou dactylographiés adressés à B. Delvaille, accompagnés d'une lettre de l'auteur, reçue le 18 janvier 1991 : "Cher Bernard, Voici quelques poèmes. Je les ai signés mais ils m'ont été inspirés par des forces de lumière qui veulent répandre le bonheur sur la Terre, et qui m'ont dit aussi que bientôt toute une jeunesse cherchera là de quoi trouver un chemin vers l'avenir, par delà les impasses intellectuelles et psychologiques du siècle. Qu'en penses tu ? - Avec cette offrande, voici aussi mes voeux de jouvence, de santé pour l'année 1991... - P.S. Merci de partager ces voeux avec Mathieu. Voici aussi deux photos [en couleurs] prises en 1990 à Moorea" - feuilles manuscrites numérotées (incomplètes) contenant l'ébauche d'une pièce de théâtre et des poèmes - article de presse (Vogue) intitulé Les Premiers poèmes de Dominique, ill. d'une photo de l'auteur par Robert Doisneau. ‎