P., Pauvert, 1965, pet. in-8 étroit, br., 122 pp. (Alg)
Reference : 1328413
Suivi de Une victoire par Jean-Paul Sartre, texte qui figure dans le cinquième volume de Situations, aux Éd. Gallimard. Collection Libertés, n° 31.
Librairie HURET
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Editions "L'Avenir de Tunisie", s.d. (v. 1950) in-8°, 40 pp, broché, bon état
"La question nationale et coloniale prend aujourd'hui dans le monde entier une importance décisive. (...) C'est pourquoi nous présentons aujourd'hui ce recueil d'extraits du plus grand théoricien de la question nationale et coloniale, Joseph Staline." (Les éditeurs) — L'article «Le marxisme et la question nationale», écrit fin 1912-début 1913, à Vienne, parut pour la première fois en 1913 sous la signature K. Staline dans les numéros 3-5 de la revue bolchévik Prosvechtchénié, sous le titre : « La question nationale et la social-démocratie ». En 1914, il fut publié en brochure sous le titre : la Question nationale et le marxisme, aux éditions Priboï (Pétersbourg). En 1920, l'article fut réédité par le commissariat du peuple aux Minorités nationales dans le Recueil d'articles de Staline sur la question nationale (Editions d'Etat, Toula). Ce recueil était précédé d'une « Note de l'auteur » dont voici un extrait : ... « L'article reflète la période des discussions de principe sur la question nationale dans les rangs de la social-démocratie russe, à l'époque de la réaction tsariste et des grands propriétaires fonciers, un an et demi avant le début de la guerre impérialiste, époque où montait la révolution démocratique bourgeoise en Russie. Deux théories de la nation s'affrontaient alors et, partant, deux programmes nationaux : le programme autrichien, appuyé par le Bund et les menchéviks, et le programme russe, bolchevik. Le lecteur trouvera dans l'article la caractéristique de ces deux courants... » C'est à propos de cet article de Staline que Lénine écrivait à Gorki dans la seconde moitié de février 1913 : « Nous avons ici un merveilleux Géorgien qui, après avoir rassemblé tous les matériaux autrichiens et autres, a entrepris de composer un grand article pour le Prosvechtchénié. » Lorsque l'ouvrage parut, Lénine en reconnut hautement le mérite dans son article : « le Programme national du P.O.S.D.R. », que publia la revue Social-démocrate, n° 32, du 28 (15) décembre 1913.
[Société Générale de Librairie Catholique , Victor Palmé , Joseph Albanel] - GAUTIER, Léon (1832-1897)
Reference : 15287
(1880)
Deuxième édition, revue avec soin, 1 vol. in-12 relié pleine toile percaline bordeaux, toutes tranches dorées, Société Générale de Librairie Catholique, Victor Palmé, Paris, Joseph Albanel, Bruxelles, 1880, 504 pp. Contient : Lamartine - Montalembert - Brizeux - Auguste Barbier - Monsabré - Victor Hugo - Le cardinal Pitra - Louis Figuier - Mme de Lamartine - L'abbé Le Hir - Duban - Henri Lasserre - Alexandre Dumas - Henri Cochin - L'infaillibilité - La question sociale - L'esclavage - La Guerre - La question du drapeau - La Science - L'Art - La Question de l'Enseignement - L'Histoire - La Géographie - L'Industrie - La Question Ouvrière- Les Publications Populaires - Les Pèlerinages - Un dernier Appel.
Bon état. L'auteur, Léon Gautier, était Chef de la section historique aux Archives nationales (depuis 1859), professeur de paléographie à l'École nationale des chartes (depuis 1871) et Membre de l'Institut. Peu courant désormais.
Colmar, Veuve de Jean Henry Decker, 1743. 2 parties en un volume in-8, 176-161-(3) pp., pleine basane de l'époque, dos à nerfs orné (reliure fortement frottée,coiffe arrachée, coins émoussés, pages jaunies).
Première édition. Arrêt du Conseil souverain dAlsace du 28 septembre 1737, entre le comte de Hohenlohe-Bartenstein et les comtes de Linange, confirmé par arrêt du Conseil du 1er Septembre 1742 et concernant une succession aubaine. - Suivi dautres arrêts du même Conseil : "Arrêts sur la question de sçavoir si les biens de lOrdre de Malthe peuvent être baillés en emphytéose", "Peines des secondes noces", "Déclaration qui marque les cas dans lesquels les Contrebandiers condamnés aux Galères, seront flêtris et marqués" ... * Voir photographie(s) / See the picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
[Paris], les Editeurs Français Réunis, 1955. In-4 broché de 59-[4] pages, couverture muette lithographiée en noir. Traces de scotch sur les gardes, autrement bel état.
Illustré de 6 lithographies en noir de Fernand Léger, soit 2 en couverture, un frontispice et 3 hors-textes, tirées par... Bourlot - et ce n'est pas une faute de frappe. Elégante impression en deux tons, noir et vert. Un des 1100 exemplaires numérotés (69) sur vélin blanc Grillet et Féau de l'édition originale de ces nouvelles qui paraîtront en 1956 dans un recueil intitulé "La question du bonheur est posée".
[sans lieu], [sans nom], 1787. In-4 de [4]-93-[1]-26-[2]; 36 pages, cartonnage de papier marbré, à la Bradel, pièce de titre bordeaux, tranches rouges (cartonnage moderne).
Guillaume Kornmann, né en 1741, est un banquier strasbourgeois, dont le procès contre sa femme (soutenue par Beaumarchais) a été particulièrement retentissant dans les années 1780. En 1774, Kornmann épouse Catherine Marie Foesch, une jeune Suisse fortunée qui lui donne deux enfants. Ils s’installent à Paris où le mari s’occupe de la banque de son oncle. Le couple ne s’entend pas et Guillaume laisse toute liberté à sa femme pour prendre un amant, tant que cela arrange ses affaires. L’amant est un certain Daudet de Jossan, homme de confiance du puissant ministre de la guerre M. de Montbarey et syndic-adjoint de Strasbourg. Mais bientôt le ministre quitte sa charge et le jeune homme devient soudain beaucoup moins fréquentable. De plus, Mme Kornmann, qui n’hésite pas à s’afficher de manière scandaleuse avec lui, menace de demander une séparation de biens (le divorce n’existe pas encore). Craignant de perdre à la fois sa femme et surtout la dot, Guillaume Kornmann, qui entre-temps est presque ruiné, obtient du lieutenant de police une lettre de cachet et fait enfermer l’épouse adultère, alors enceinte de son amant. Dans la nuit du 3 au 4 août 1781, la femme est ainsi conduite dans la maison disciplinaire des dames Douai, rue de Bellefond, qui héberge filles perdues et folles. Sur les instances d’amis communs, Beaumarchais vole au secours de Mme Kornmann (qu’il ne connaît pas encore). Commence alors l’affaire Kornmann. Bientôt libérée, la femme tente sans succès d’obtenir une séparation de corps et de biens, arguant pour ce faire de sa détention scandaleuse. Le mari trompé se décide à porter plainte contre son épouse et contre l’amant pour adultère, contre Beaumarchais et le lieutenant de police Lenoir pour diffamation et complicité d’adultère. Il prend pour avocat son ami Nicolas Bergasse, disciple comme lui de Mesmer. C’est alors la grande mode des mémoires judiciaires qui enflamment les lecteurs avides de sensation : Bergasse commence avec un Mémoire sur une « Question d’adultère, de séduction et de diffamation pour le sieur Kornman » publiant de nombreux libelles qui tiennent le public en haleine, tandis que de son côté Beaumarchais met son talent dans la rédaction de ses brillants mémoires. Finalement ce dernier est innocenté par arrêt du Parlement du 2 avril 1789. Kormann et son avocat Bergasse sont condamnés à lui payer des dommages-intérêts, mais l’opinion publique leur reste largement favorable. En 1793, Madame Kormann obtient enfin le divorce, créé par la loi du 20 septembre 1792. wiki.