P., Alcan, 1914, in-12, br., 302-36 pp., 1 carte dépliante h.-t. (GK12B)
Reference : 1321773
Envoi de l'auteur : "à M. le député Painlevé / affectueux hommage / Gal Percin", daté du 16.4.14. La stratégie du combat au fil des siècles. On trouve in-fine un "extrait du catalogue" de la librairie Alcan. Dos légèrement passé.
Librairie HURET
M. Jean-Etienne HURET
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France
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LOMBARDO Patrick, pionnier du Combat Libre en France, Fondateur du Pankido, Ceinture noire 5ème dan de Karaté (grade d'Etat), Ceinture Rouge 7ème degré de Pankido et de Self-défense, Professeur diplômé d'Etat, Créateur du Tournoi des Ceintures d'Or (The Golden Belts Championships) - Antony Rea, les champions de l'Institut Pandokan
Reference : 96617
(2007)
2007 Editions E.M., collection "les livres d'or des arts martiaux" - 2007 - In-8 broché avec rabat - 95 pages - nombreuses reproductions photographiques
Bon état, très légers frottements sur la couverture, étiquette de prix sur le bas du quatrième plat
Polizei-Combat, Schuss, Techniques de combat avec armes à feu Lot de 14 livres
Reference : 35501808
(1975)
1975-1980 ; In 8 Cart. et br. Ouvrages en langue allemande. Toutes les techniques pour manipuler les armes à feu. Nbr ill et pl. Joint un livre sur la technique des lasers.
relié - in 8 - XX et 395 pp - 13.5x21 -1819 - éditions C.L.F. PANCKOUCKE, Paris
le tome est accompagné de 8 plans :Plan du port de BOULOGNE (planche triple) - Combat naval du 22 juillet 1805 - Combat naval de TRAFALGAR - Combat naval du 4 novembre 1805 - Carte générale de la bataille d'JENA et du combat d'AUERSTAEDT (planche double) - Plan de la bataille d'JENA - Plan du combat d'AUERSTAEDT. Tous ces plans sont dressés par M. Amboise TARDIEU, d'après le texte même , et d'après les meilleurs matériaux.RELIURE ETAT MOYEN , INTERIEUR TRES FRAIS
Librairie Ch. Poussielgue à Paris Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1893 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur crème fort et grand In-8 1 vol. - 629 pages
1 planche en frontispice, portrait photographique en pied du général de Sonis, 1825-1882 mention de 37eme édition édition de 1893 "Contents, Chapitres : Préface, xvi, Texte, 616 pages, 16 pages de catalogue Poussièlgue - La Guadeloupe, la France, le collège, 1825-1844 - Saint-Cyr, Castres, Paris, Limoges, 1844-1854 - L'Algérie, la Kabylie, 1854-1859 - La campagne d'Italie, mai-août 1859 - Le Maroc, octobre 1859 - Tenez, Laghouat, Saida, 1860 - Combat de Metlili, une expédition dans le désert, 1865-1866 - Laghouat, la vie chrétienne - Combat d'Ain-Madhi, 1869 - Aumale, 1869-1871 - L'Armée de la Loire, Brou et Loigny, 1879 - L'ambulance et le congé, 1871 - Rennes, 1871-1874 - Saint-Servan, 1874-1880 - Chateauroux, Limoges, 1880-1883 - Paris, l'éternité, 1883-1887 - Appendice - Louis-Gaston de Sonis, comte romain et de Sonis (1er, 1880), né à Pointe-à-Pitre le 25 août 1825 et mort à Paris le 15 août 1887, est un officier de l'armée française qui s'est particulièrement illustré lors de la bataille de Loigny durant la guerre de 1870, où il perdit une jambe. - Louis-Gaston de Sonis est né à la Guadeloupe où son père, Jean-Baptiste de Sonis (1795-1844), était officier. Il s'installe en métropole au Prytanée militaire pour y faire ses études4. Il intègre le collège de Juilly puis l'École spéciale militaire de Saint-Cyr, à la sortie de laquelle il rejoint l'École d'application de Cavalerie à Saumur. Il en sort sous-lieutenant et rejoint le 5e régiment de hussards basé à Castres. Sollicité par ses camarades de s'affilier à la franc-maçonnerie, ignorant les condamnations de l'Église qui la frappent, il est initié par la loge maçonnique du Grand Orient de France et s'affilie dès son arrivée en 1848 à la très républicaine loge lHarmonie universelle à Castres. Remplaçant régulièrement le 1er surveillant, il est élu 2e maître des cérémonies le 16e jour du 10e mois de 5848 (16 décembre 1848). Il claque avec fracas la porte de cette organisation quelques mois plus tard : « [] c'est un piège ! [] Vous n'avez pas tenu vos promesses ; je suis délié des miennes. Vous ne me reverrez plus. Bonsoir ! » De son passage de neuf mois dans la franc-maçonnerie, il conserve un mauvais souvenir et déconseillera plus tard à ses fils d'y adhérer : « Le père de famille veillera avec soin à ce qu'aucun des siens ne fasse partie d'une société secrète » (Mémoire). - Après Paris, puis Limoges, il est nommé capitaine en 1854 et quitte Limoges pour l'Algérie. Il s'établit à Alger et participe à l'expédition de la Kabylie lors de la campagne de 1857. Après l'attaque d'El-Amiz et la soumission des Beni-Raten, il conduit une messe d'action de grâces. Louis-Gaston de Sonis est ensuite désigné pour la campagne d'Italie de mai à août 1859. Il commande la charge de son escadron lors de la bataille de Solférino. En octobre 1859, il se porte volontaire pour la campagne du Maroc, durant laquelle son principal ennemi sera le choléra. En 1860, Sonis est nommé commandant supérieur du cercle de Tenez, puis de Laghouat et enfin de Saïda. En 1865 il participe au combat de Metlili et conduit une expédition dans le désert en 1866. En 1869, il dirige le combat d'Ain-Madhi. Cet officier très pieux est connu aussi pour avoir combattu en 1870 à la tête des Zouaves pontificaux et des Volontaires de l'Ouest sous l'étendard du Sacré-Cur de Jésus et la devise Miles Christi (soldat du Christ), aux côtés du futur général de Charette. Grièvement blessé lors du combat, il passa la nuit, par -20°, sur le champ de bataille de Loigny à rassurer les soldats blessés eux aussi autour de lui. On lui amputa la jambe gauche le 4 décembre 18707. Il est anobli par le pape Léon XIII et titré « comte romain et de Sonis » en 1880. La même année, à Châteauroux, il se fait mettre en disponibilité pour protester contre l'expulsion des religieux de France. En 1883, du fait de ses infirmités, il doit quitter le commandement actif et devient membre d'une commission au ministère de la Guerre à Paris, où il meurt en 1887. Son corps est inhumé à Loigny, dans la crypte de l'église, près des zouaves pontificaux et soldats tombés à la bataille du 2 décembre 1870. Sur la pierre tombale est gravée l'inscription « Miles Christi » (Soldat du Christ). (source : Wikipedia)" couverture en bon état, avec une légère trace de pliure au coin supérieur droit du plat supérieur, un infime petit manque au coin inférieur, intérieur sinon frais et propre, papier à peine jauni, cela reste un bon exemplaire, presque très bon, bien complet de la planche en frontispice
[MARTINIQUE] — ROSSEL de CERCY (Auguste-Louis de) — DEQUEVAUVILLER (François Jacques).
Reference : LBW-7481
(1810)
Paris, Bance, [vers 1810]. Gravure originale (53 x 72,5 cm).
Magnifique estampe figurant le combat naval dans la rade du Fort Royal de la Martinique livré le 18 décembre 1779 par le comte de La Motte Picquet contre l'escadre anglaise de l'amiral Hyde Parker. Elle a été gravée par François Jacques Dequevauviller d'après le tableau original du marquis Auguste-Louis de Rossel de Cercy, et publiée par Charles Bance à Paris. Au premier plan figurent de nombreux personnages en mouvement : canonniers qui traînent des mortiers, des canons et des boulets, compagnies de soldats qui marchent, hommes et femmes venus en spectateurs. Sous le titre figure le texte suivant : "Ce combat fut livré en vue du Fort Royal de la Martinique, contre l'Armée Anglaise aux ordres de l'Amiral Hyde Parker. Le Général Français commandant l'Annibal de 74 canons, combattit d'abord seul contre treize vaisseaux ennemis. Les vaisseaux le Vengeur et le Réfléchi de 64 canons, l'un commandé par Mr. de Sillard de Surville, et l'autre par Mr. de Fournoue, tous les deux Capitaines, les seuls qui se trouvèrent en état d'appareiller, vinrent au secours de Mr. le Comte de La Motte Picquet, combattirent toute la journée contre les forces Anglaises ; ce qui favorisa le convoi marchand Français, composé de vingt six voiles, et attaqué sous le Cap Salomon, qui rentra en partie au mouillage du Fort Royal". Ce combat naval fait partie de la série des 18 estampes exécutées à partir de la série du même nombre de tableaux illustrant les combats de la Guerre d'Indépendance américaine. Ces tableaux furent commandés par Louis XVI à Rossel de Cercy, marin et peintre, ayant lui-même accompagné La Fayette et Rochambeau, et témoignent de l'importance de ce conflit pour la Marine Française. La Motte-Picquet se distingua particulièrement lors de la Guerre d'Indépendance de États-Unis. En juin 1779, il rallia l'escadre du comte d'Estaing à la Martinique et prit part au combat de la Grenade et à l'expédition de Savannah. Le 18 décembre de la même année, devant Fort Royal de la Martinique, il attaqua avec seulement trois navires, l'Annibal, le Vengeur et le Réfléchi, l'escadre anglaise de treize navires de l'amiral Hyde Parker. L'habileté de ses manœuvres et la rigueur de son action lui valurent une lettre de félicitations de l'amiral anglais. Il existe une édition antérieure à celle-ci, publiée par Mérigot le jeune en 1790, également gravée par François Jacques Dequevauviller, et dont le titre est orné d'une allégorie. La maison d'édition de Bance fut domiciliée au 214 rue Saint-Denis entre 1805 et 1832. Bel exemplaire. Mouillure claire dans l'angle inférieur gauche. Catalogue d'estampes, livres, recueils dans tous les genres, composant le fonds de Bance aîné, graveur a Paris, rue Saint Denis, No. 214, 1817, p. 5, n°15.