P., Dentu, [1895], in-18, bradel demi-percaline grise, dos lisse orné de filets et d'un fleuron dorés, pièce de titre rouge, 526 pp., 2 ill. en frontispice h.-t., fac-similés de lettres et une ill. in-t. (GN14B)
Reference : 1318341
Le Général Boulanger et son Amie.
Librairie HURET
M. Jean-Etienne HURET
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G. Mont-Louis in/8 broché, sans date vers 1900, 152é mille, 381 pages. Avertissement et préface de Marie Quinton. Frontispice portrait du Général Boulanger et de Marguerite.
"En fin de volume sont reproduit plusieurs fac-similés de lettres du Gal. Boulanger. En juillet 1887, le Général Boulanger prend ses fonctions militaires à Clermont. En Octobre il est mis aux arrêts et prend avec sa compagne, résidence à l'Hôtel des Marroniers tenu par Marie Quinton, dite la Belle Meunière, à Royat. Une amitié se lie entre le couple et l'hôtelière. Cette dernière livre son journal qui est le récit de cette amitié jusqu'à la mort de Boulanger en 1891"
P., Dentu, s.d. (1895), in-12, (8)-525 pp, 4 planches hors texte (3 portraits et une photo de l'auberge), une gravure dans le texte, 7 pp de fac-similés, reliure demi-basane carmin, dos lisse avec titre doré, filets dorés, pointillés et à froid (rel. de l'époque), plats lég. salis, pt déchirure sans manque sur 9 feuillets, bon état. Edition originale
Sur la liaison du général Boulanger avec Marguerite de Bonnemain. Souvenirs de l'aubergiste auvergnate Marie Quinton (1854-1933). C'est dans son auberge, sise à Royat près de Clermont-Ferrand, où était tenu aux arrêts de rigueur le général Boulanger et où le retrouvait sa maîtresse Marguerite, vicomtesse de Bonnemains, à partir de 1887. Marie Quinton fut leur amie jusqu'aux derniers moments en 1891. En 1895, elle publia ses mémoires extraits de son journal intime et de sa correspondance sous le nom de Journal de la Belle Meunière (la mère Quinton était appelée dans sa jeunesse « Belle Meunière »). Confidente de l'amour clandestin entre le général Georges Boulanger et sa maîtresse Marguerite de Bonnemains, elle les accueillit quatre fois secrètement dans son auberge des Marronniers à Royat-les-Bains au pied des volcans d'Auvergne, et ce pour la première fois le 24 octobre 1887. Elle les suivit dans leur exils de l'île de Jersey à Londres, pour finir à Bruxelles. Elle devait élever leur enfant illégitime et partir au États-Unis avec eux. Après le suicide du général Boulanger, la veuve Marie Quinton publia ce best-seller republié 42 fois de son vivant, ce qui lui valut une grande notoriété...
Reference : 015573
Paris 0 E.Dentu Half-Leather Fine
Le journal de la belle meuniere, le general boulanger et son amie Hard cover, demi- cuir rouge , dos à 4 nerfs ornés dorés, piece de titre, état superieure , 180 x 125 mm, 525 pg
Paris, Dentu, s. d. (1895) ; petit in-8 - 6ff. -525pp.- 2 illustrations hors-texte. Demi-chagrin rouge, dos à nerfs, titre doré. Plusieurs cahiers légèrement déboîtés.
Exemplaire de la première édition, avec un ENVOI AUTOGRAPHE de Marie Quinton. Sont placés après le titre la reproductio manuscrite de la préface, un portrait en pied, gravé, de M. Quinton, et une photographie de l'Hôtel des Marroniers. On trouve hors-texte les portraits de Boulanger et de Mme Margueritte. En fin de volume sont reproduit plusieurs fac-similés de lettres du Gal. Boulanger. En juillet 1887, le Général Boulanger prend ses fonctions militaires à Clermont. En Octobre il est mis aux arrêts et prend avec sa compagne, résidence à l'Hôtel des Marroniers tenu par Marie Quinton, dite la Belle Meunière, à Royat. Une amitié se lie entre le couple et l'hôtelière. Cette dernière livre son journal qui est le récit de cette amitié jusqu'à la mort de Boulanger en 1891.
P., Dentu, s d (vers 1895). In-12, (2) ff., 527 pp., broché, non coupé.
Avec 3 portraits, une vue et quelques fac-similés. Journal de Marie Quinton de l'hôtel des Marroniers, témoin des amours du général Boulanger avec Marguerite. Ce journal va du 9 juillet 1887 au 25 avril 1892.