P., Flammarion, 1929, in-8, demi-basane marron foncé, dos à nerfs, 332 pp. (GE29A)
Reference : 1307190
Librairie HURET
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1949 Couverture souple Paris, Jean Vigneau, 1949. In-12 broché (19 x 12 cm), couverture imprimée en deux couleurs, accrocs aux coupes, déchirure sur 3cm au bas du dos. 243 pages, non coupé, intérieur légèrement passé. Service de presse. Envoi de l'auteur daté de septembre 1949. M. Henry Lémery est né le 9 décembre 1874 à Saint-Pierre de la Martinique, d'une famille de commerçants français établis aux Antilles à la fin du XVIIe siècle. Ses parents, qui devaient périr en 1902 lors de l'éruption de la Montagne Pelée, l'envoyèrent faire ses études à Paris où il fut le condisciple, à Louis-le-Grand, de Charles Péguy, Paul Acker, Jérôme et Jean Tharaud. Homme politique français, il s'opposa avec énergie à Aristide Briand et livre dans cet ouvrage ses vues sur la montée du nazisme et les défaillances des positions françaises dans la période de l'entre-deux-guerres.
Assez bon
Berger-Levrault, 1926, in-12, ix-340 pp, 51 photographies et fac-similés, 4 cartes, broché, couv. illustrée (lég. salie), bon état
Intéressant ouvrage, très documenté sur l'espionnage et la propagande allemande pendant la Première Guerre mondiale. Charles Lucieto fut l'un des nombreux agents français résidants aux Pays-Bas pendant la guerre, avec liberté de mouvement en territoire ennemi et à Paris, où il rendait compte à ses chefs ; un homme qui entre autres déguisements opérait sous la couverture un d'homme d'affaires, et dont la mission la plus connue a consisté à voler une nouvelle formule du gaz moutarde introduit dans des obus que les Allemands, en contradiction avec toutes les conventions internationales, ont commencé à employer sur le front en 1915. Il décrit dans le chapitre 2 l'organisation et la structure des services secrets allemands, avant, pendant et après la guerre, présentés comme une monstrueuse machine criminelle, omnisciente, presque toute-puissante, parfois stupide... Dès son second livre, Lucieto passa franchement à la fiction et écrira nombres d'aventures d'espionnage (présentées comme des "romans documentaires"), avec des titres tels que : La Vierge rouge du Kremlin, Le Diable noir, L'Espion du Kaiser, etc. — "Il y a eu la guerre des baïonnettes, la guerre des grenades, la guerre des canons, la guerre des mines, la guerre des gaz. Il est juste de ne pas oublier la guerre des cerveaux. C'est ainsi que Ch. Lucieto dans son curieux livre « En missions spéciales ». désigne la lutte menée contre les espions allemands par les agents du contre-espionnage allié. J'aurai de nouveau l'occasion de parler de ce livre, car sa lecture a produit sur moi une impression profonde et il est juste que les combattants connaissent ce nouvel aspect de la guerre." (Jacques Péricard, L'Ouest-Éclair, 3 novembre 1926) — "Auteur mystérieux, censé être un ancien agent du renseignement français, Charles Lucieto connut un grand succès de librairie dans les années 1920-1930 avec une série d'ouvrages sous-titrée "La Guerre des Cerveaux", et qui prétendaient révéler les ficelles de l'espionnage international pendant la Première Guerre Mondiale et les années qui précédèrent. Ce genre d'ouvrages était courant à cette époque, mais ceux de Lucieto étaient généralement fort documentés, avec bordereaux, fiches anthropométriques, photos confidentielles. Si Lucieto n'était pas lui-même l'agent secret qu'il prétendait être, il bénéficiait indéniablement d'informateurs et de sources. Toujours est-il que ses livres documentaires connurent un tel succès qu'il en signa au final pas moins de onze volumes, publiés en un temps record entre 1926 et 1932. Parallèlement, on lui doit aussi une saga romanesque, éditée en 12 fascicules, "Les Merveilleux Exploits de James Nobody". En effet, ce qui frappe au premier abord, quand on ouvre ce livre de Charles Lucieto, c'est que, espion ou non, on a affaire à un écrivain, c'est-à-dire à un conteur qui sait allier une certaine rigueur factuelle avec un indéniable talent de feuilletonniste, qui ne craint ni l'emphase ni les rebondissements téléphonés, ni les effets de style propres au roman populaire. "En Missions Spéciales" n'est pas seulement un document informatif sur l'espionnage, mais un reportage palpitant sur les acteurs de l'ombre en temps de guerre. Cette vivacité narrative, qui nuit néanmoins au sérieux de l'ouvrage, fut sans doute pour beaucoup dans le succès que connut cette série. Ce premier tome est divisé peu ou prou en deux parties : – La première s'intéresse avant tout à l'espionnage allemand durant la Première Guerre Mondiale, et à la manière dont les agents du contre-espionnage français parvenaient à traquer et à arrêter les espions allemands agissant en France. Tous les chapitres concernant les courriers secrets et les instructions confidentielles est particulièrement intéressant, et tout à fait crédible : 80% de l'espionnage au XXe siècle était avant tout un travail autour de messages à envoyer, de courrier à intercepter, et de lettres à ouvrir puis à refermer afin qu'on ne sache pas qu'elles ont été lues. Ce trafic d'informations occupait la plupart des espions du monde qui, de ce fait, étaient loin d'avoir une vie aventureuse à la James Bond. Ici, on découvrira volontiers des micro-messages pliés en quatre, collés sous un timbre pour affranchir une enveloppe qui ne contenait qu'une lettre manuscrite sans valeur, mais aussi des dessins aux fusains de peintres du dimanche qui recouvrent le plan d'une base navale française, d'autres messages dissimulés en code au travers des notes d'une partition musicale ou dans le texte d'une petite annonce publiée dans un journal, etc, etc... Ces "trucs" d'espionnage sont particulièrement attendrissants, parce qu'ils appartiennent à une époque totalement révolue. L'avènement d'Internet, du cryptage informatique, des messageries instantanées, du wi-fi, du Bluetooth, font qu'il n'a jamais été aussi simple d'échanger des informations, et que face à l'immense foisonnement des milliards de messages échangés chaque jour, l'espionnage a sans doute considérablement changé de forme. Charles Lucieto nous conte néanmoins, avec l'émerveillement joyeux d'un homme qui apprécie dans l'espionnage ces petits exercices cérébraux qui font alors partie du métier, toute une galerie d'exemples très représentatifs de ce que pouvait être le travail d'un espion. Enfin, d'un espion allemand naturellement, car aux dires de Lucieto, il n'y avait pas de méthodes comparables effectuée par des espions français en Allemagne. Seuls les allemands sont à la fois capables de tout et bons à rien, Lucieto le répète suffisamment pour que cela justifie toute action française effectuée contre eux. D'ailleurs, Lucieto est trop patriote pour faire preuve de beaucoup d'empathie. À plusieurs reprises, il affirme bien que tel espion pris sur le fait, même jeune, même embrigadé par chantage ou l'appât du gain, est quelqu'un dont on "s'occupe" et qu'on ne "revoit" plus. – Dans la deuxième partie de ce livre, Charles Lucieto change quelque peu de ton et aborde le sujet alors très fantasmatique des belles espionnes internationales, en s'arrêtant longuement sur trois cas qui l'ont beaucoup préoccupé : Elsbeth Schragmüller, dite "Fraulein Doktor" (décrite ici comme "Mademoiselle Doktor", son vrai nom n'ayant filtré qu'en 1945, plusieurs années après sa mort), notre Mata-Hari nationale (ou presque) et une allemande du nom d'Irma Staub, qui semble avoir beaucoup hanté Charles Lucieto, y compris dans une dimension érotique, et à laquelle il consacre de très longs chapitres. Il n'est pas inutile de préciser qu'il n'existe aucune autre source sur Irma Staub, qui se faisait appeler en France "comtesse de Louvain", que celles avancées par Lucieto. Il y aurait de sérieuses raisons de remettre en cause l'existence réelle de ce personnage un peu romantique, si Charles Lucieto ne publiait sa photo dans son livre. Sur Fraulein Doktor, Lucieto est nettement moins disert, bien qu'il prétende l'avoir vue une fois et avoir été saisi du regard glacé et impitoyable qu''elle posait sur toutes choses, ce que les quelques photos d'elle existant ne semblent pas confirmer. de par ce pseudonyme par lequel elle s'était fait connaître dans le milieu de l'espionnage, Fraulein Doktor avait alimenté bien des fantasmes et des rumeurs sur la cruauté de ses tortures et de ses mutilations. En réalité, Elsbeth Schragmüller s'était surnommée ainsi parce qu'elle était doctorante en sciences politiques, et non pas doctoresse ou chirurgienne. Il semble que sa principale activité fut de former et d'initier à l'espionnage des jeunes filles chargées de séduire les officiers militaires français et de leur soutirer sur l'oreiller des renseignements. Il est avéré aujourd'hui que Mata Hari et Marthe Richard bénéficièrent de sa formation. Cependant, bien des points sont restés obscurs sur les activités complètes de "Fraulein Doktor". Il n'empêche que Charles Lucieto ne fait à son sujet que ressasser les rumeurs la concernant pendant la guerre. Il ne semble pas en savoir plus, ou du moins être décidé à en dire plus long. Sur Mata Hari, par contre, Charles Lucieto n'est pas avare de détails et le chapitre qu'il lui consacre mérite une lecture, ne serait-ce que parce qu'il va à contrario de tout ce qui a été affirmé par la suite. Il est tacitement admis de nos jours que les activités d'espionnes de Mata Hari ont été un peu surestimées, que ce n'était au final qu'une cocotte un peu amatrice, qui, en temps de guerre, s'est brûlé les ailes à vouloir jouer l'espionne par appât du gain. Charles Lucieto tient un tout autre discours : avec moults renseignements à la clé, et en affichant la photo anthropométrique originale de Mata Hari lors de son arrestation, Charles Lucieto affirme que Mata Hari travaillait pour le renseignement allemand dès 1904, que loin d'être une amatrice, elle était au contraire une professionnelle aguerrie, ce qui expliquerait d'ailleurs le courage avec lequel elle a affronté le peloton d'exécution. Néanmoins, s'il est difficile de prendre en faute Charles Lucieto, tant il dispose de références et d'arguments sérieux, on ne peut qu'être gêné de la haine absolue qu'il voue à cette femme. En effet, déjà en 1926, la légende s'emparait de cette vestale des temps modernes avec une tendresse tout à fait complaisante, et cela faisait entrer Charles Lucieto dans une colère noire. Pour lui, non seulement Mata Hari était une ennemie de la France, qu'il était scandaleux d'aduler, mais en plus, par les trahisons et les fuites qu'elle avait fait durant toutes ces années, elle portait probablement la responsabilité de la mort et de la torture de nombreux agents français. Les mots de Lucieto sont donc extrêmement durs, d'autant plus qu'en devenant une saltimbanque renommée, Mata Hari s'était affranchi de tout le devoir de discrétion d'un véritable agent secret, tout cela à la seule fin de se retourner contre le pays qui la célébrait et qui avait fait d'elle une personnalité du monde des arts, ce qui, aux yeux de Lucieto, confine à la plus écoeurante des perversions. Comme on le voit, Charles Lucieto surprend par son absence de neutralité ou de réserve sur les sujets qu'il aborde, ce en quoi il se démarque de la plupart des espions racontant leurs souvenirs. Si la démonstration est rigoureuse, le ton est particulièrement nerveux, l'émotion est soigneusement entretenue et une telle exubérance a de quoi surprendre chez un ancien agent secret. Il est vrai qu'en préface, Charles Lucieto dit au final écrire les mémoires d'un autre agent secret, toujours en exercice, et qui ne se sentait pas le talent de prendre la plume lui-même. Faut-il y voir justement l'ébauche d'une collaboration entre un authentique espion, et un écrivain-rédacteur qui, petit à petit, s'identifie à son modèle et s'y sent plus à l'aise ? J'avoue que je serais tenté de le supposer, car le livre commence de manière très factuelle, et "s'échauffe" progressivement jusqu'à se montrer très parti-pris dans son dernier tiers. Toujours est-il que, s'il répond finalement à peu de questions cruciales sur la guerre ou l'espionnage, ce premier volume de "La Guerre des Cerveaux" apporte tout de même un grand nombre d'anecdotes et d'informations sur ce que pouvait être, à cette époque-là, le métier d'espion en temps de guerre. Malgré une certaine inégalité dans l'intérêt de ces anecdotes, on passe néanmoins un agréable moment dans ces coulisses de la guerre secrète qui se jouait dans d'autres coulisses, celles de la Grande Guerre..." (Dorian Brumerive, Babelio)
Payot, 1914-1919, 2 vol. in-8°, 444 et 459 pp, traduit de l'anglais, 51 planches de photos et 32 plans hors texte, biblio, brochés, bon état (Coll. de Mémoires, études et documents pour servir à l'histoire de la Guerre mondiale)
"Ce [premier] volume embrasse la période qui s'étend de la guerre de Sécession à la guerre mondiale (1861-1914). Les premiers navires cuirassés avaient fait leur apparition peu de temps avant la guerre de Sécession. Cependant, lorsque la guerre civile éclata, en avril 1861, les Etats-Unis n'avaient qu'une petite marine de guerre, de médiocre valeur militaire, sans aucun navire cuirassé. Les belligérants se hâtèrent d'en mettre en chantier; mais, dans la lutte qui s'engagea et qui devait durer quatre ans. les Etats du Sud avaient par rapport à ceux du Nord une infériorité marquée, due à leur manque de ressources industrielles, de navires marchands et de chantiers de construction. (...) Après la guerre de Sécession, l'auteur passe en revue toutes les opérations, petites et grandes, qui se sont déroulées sur mer jusqu'en 1914. Les plus importantes appartiennent à la guerre austro-italienne de 1866, à la guerre hispano-américaine (1898), à la guerre russo-japonaise (1904-1905). (...) La lecture de l'ouvrage de M. Wilson est à recommander non seulement aux officiers de marine qui y trouveront des renseignements précis sur les batailles navales de la période envisagée, mais aussi au grand public qui ne manquera pas d'être séduit par la clarté de l'exposition et par la sûreté des vues d'ensemble." (Général Hellot, Le Figaro, 1928) — "Ce [deuxième] ouvrage est, à proprement parler, l'histoire navale de la grande guerre. A sa lecture, on se convaincra de l'union étroite qui s'est faite à partir de 1915 entre les armées et les flottes, entre l'action militaire et l'action maritime. Jamais peut-être l'influence décisive de la puissance maritime dans le conflit mondial n'avait été mise en lumière avec autant d'évidence. « La guerre navale de 1914-1918 présente, par rapport à toutes celles qui l'ont précédée, une différence capitale. Elle a eu lieu dans un espace à trois dimensions : dans l'air, à la surface de la mer et au-dessous de cette surface ». C'est dire la complexité des opérations navales. L'auteur les a envisagées sous ces trois aspects. II a tenu à tirer des enseignements généraux de ces opérations, enseignements qu'il est bon de révéler à ceux qui ne sont pas des marins ou des spécialistes des questions maritimes. « Tous les enseignements tactiques de la guerre soulignent l'importance immense – on peut même dire écrasante– du canon. Un feu rapide et précis est l'élément essentiel de la victoire. » Même constatation en ce qui concerne les opérations sur terre : la guerre a nettement mis en évidence la puissance du feu. Ce rapprochement est intéressant. Les mines ont paru jouer au début un rôle important, mais on a trouvé des méthodes de dragage « et il n'est pas exagéré de dire qu'à la fin de la guerre, les champs de mines ne représentaientplus qu'une faible menace pour les escadres alliées ». On consultera utilement les tableaux qui sont à la fin du volume et qui donnent, par exemple, les pertes subies par l'Angleterre, l'Allemagne et les autres puissances pendant la guerre." (Revue militaire française)
Editions Du Rocher -L'Art de la Guerre In-8°, broché, couverture souple ill en vignette ( détail d'un hoplite) et d'une figure de lionne (allusion à Ninive), 217 pages, envoi de l'auteur, bel exemplaire.
Ces Grecs, qui ont inventé la géométrie, la démocratie, l'histoire, n'ont-ils pas inventé aussi leur propre façon de faire la guerre ? C'est chez eux qu'apparaît l'idéal de la guerre héroïque fait d'attaque frontale et d'abnégation, idéal qu'on retrouve ensuite jusqu'à la Grande Guerre. Mais on voit apparaître ensuite la guerre prolongée et inexpiable, en un mot la guerre totale, avec tout son cortège de méfiances, de cruautés et de massacres. Le moment charnière, ce fut la guerre du Péloponnèse (431-404 avant J.-C.). Ce conflit de 27 ans vit s'affronter, en pleine période classique, un grand nombre de cités rassemblées autour de Sparte et d'Athènes. Cette guerre a bien été " la plus grande crise qui ébranla la Grèce et une partie du monde barbare " (Thucydide) : elle affecta la " majeure partie de la terre habitée ". Les Grecs et la guerre étudie d'abord la guerre hoplitique traditionnelle, une guerre déterminée militairement et socialement, codifiée dans la pratique pour rester supportable par ces communautés rivales que sont les cités. Mais ce consensus relatif vole en éclats lors de la guerre du Péloponnèse : jamais plus la Grèce ne retrouvera son équilibre. Ce livre entend moins insister sur les événements que sur l'évolution du système de la guerre, qui reflète les changements de la société elle-même. À partir de sources historiques : la littérature, les inscriptions, les monnaies, les vases funéraires attiques, c'est toute la société des Grecs qui apparaît dans ce livre d'histoire militaire, qui est de fait un livre d'histoire tout court. Bon Etat Franco de port pour la France par MONDIAL RELAY dés 20 euros pour les ouvrages modernes . Paiement immédiat par Paypal . Chèques et virement acceptés. Votre Libraire vous accompagne dans toutes les étapes de vos achats. Achat et déplacement France Suisse.
Guerre aérienne 14/18.Général Théo Osterkamp. Avant tout pilote de chasse Le général Théo Osterkamp était un pilote de chasse allemand de renom, né le 15 avril 1892 à Düsseldorf et décédé le 2 janvier 1975 à Travemünde. Il est surtout connu pour ses exploits dans l'aviation militaire pendant la Première Guerre mondiale et sa carrière militaire exceptionnelle. Voici quelques points clés de la vie de Théo Osterkamp en tant que pilote de chasse : Première Guerre mondiale : Osterkamp a rejoint la Luftstreitkräfte, la force aérienne allemande, pendant la Première Guerre mondiale. Il est rapidement devenu un as de l'aviation, remportant de nombreuses victoires contre les avions ennemis. Il a été crédité de 38 victoires confirmées, ce qui en fait l'un des meilleurs pilotes de chasse allemands de la guerre. Distinctions : Pour ses exploits en tant que pilote de chasse, Théo Osterkamp a reçu de nombreuses décorations militaires, notamment la prestigieuse Croix de fer. Après la guerre : Après la fin de la Première Guerre mondiale, Osterkamp a continué à s'impliquer dans l'aviation. Il a rejoint la Luftwaffe, la nouvelle force aérienne allemande, lors de sa création dans les années 1930. Seconde Guerre mondiale : Pendant la Seconde Guerre mondiale, Osterkamp a occupé divers postes de commandement et de formation au sein de la Luftwaffe, montrant une grande expertise dans la gestion des opérations aériennes. Après la guerre : Après la défaite de l'Allemagne nazie en 1945, Osterkamp a été capturé par les Alliés et a été détenu en captivité pendant un certain temps. Après sa libération, il s'est retiré de la vie militaire et a vécu une retraite paisible. En résumé, le général Théo Osterkamp est surtout reconnu pour sa carrière exceptionnelle en tant que pilote de chasse pendant les deux guerres mondiales. Ses réalisations en tant qu'as de l'aviation allemande pendant la Première Guerre mondiale lui ont valu une place de choix dans l'histoire de l'aviation militaire, et sa carrière ultérieure dans la Luftwaffe a confirmé son expertise dans le domaine de l'aviation. Traduit de l'allemand par R. Jouan, vol broché, 20x15, couvertures illustrées, très bel état intérieur, illustré de nombreuses photographies, cartes, 348pp. Editions France Empire, 1955 ref/266