Photoglyptie. 238 x 189 mm, contrecollée sur carton fort légendé. (GO40A)
Reference : 1304092
Photo de la Galerie contemporaine des illustrations françaises (v.1890). Notice par Louis Narval, 4 pp. Pâle mouillure dans la marge supérieure, sans atteinte à la photo. Dos de la notice fendu.
Librairie HURET
M. Jean-Etienne HURET
9 rue de la Pompe
75116 Paris
France
33 01 40 50 15 40
TELEPHONER avant de venir à la librairie car une grande partie de notre stock est en réserve, il faut 48 heures avant qu'il soit à la librairie. Les ouvrages sont expédiés après réception du règlement (chèque,carte Visa,virement) SAUF PAYPAL. Frais de port variables selon poids à ajouter au prix du livre. Envoi en colissimo (Livres et brochures pour l'étranger pour les livres de moins de 70 €) sauf indication contraire du client.
S. l. n. d. [ca 1885 ] 3 pages in-8.
"Monsieur Michel François Littré, père d'Emile Littré, est né à Avranches d'une famille d'orfèvres qui depuis plus de 200 ans se succède dans l'orfèvrerie. Né en 17 il perd sa mère et quand son père s'est remarié, des difficultés s'élèvent entre lui et sa belle-mère. Il a dix-huit ans, il ne veut pas rester sous le toit paternel et il part engagé dans cannoniers de la marine. En partant il jure qu'il ne reviendra jamais à Avranches. M. M.-F Littré n'est pas revenu à Arranches. Sa vie s'est passée en grande partie à Paris. C'est dans une maison appartenant à des amis à la famille Cosnard qu'Emile Littré est né. Cette maison existe, elle est rue des Augusstins et elle portait il y a quelques années le n°27. Paul Emile Littré à l'âge de onze ou douze mois fut emmené par ses parents à Angoulême, il passa là et à Cognac les premières années de sa vie. Nourri par sa mère, il n'a jamais quitté ses parents. Son père, homme distingué et lettré lui donna les premières leçons. Dans ses souvenirs de ce temps, il se rappelle le chagrin qu'il a éprouvé à la mort d'une sœur en bas âge, qu'il aidait à faire les premiers pas et qui fut enlevée par le (?) en quelques heures. La douleur de sa mère fut si grande que peu de temps après monsieur Michel François Littré rentra à Paris, il avait une place au ministère des Finances. Emile Littré avait alors onze ans, son père l'envoya externe au collège Louis le Grand et il lui donnait des répétitions. A la première composition au collège Emile Littré eut une mauvaise place mais à la seconde il fut premier et toujours après. Il eut du succès dans toutes ses classes et au grand concours. Jamais il n'alla à Avranches qu'après la mort de son grand-père et pour la succession car son père était mort, et il avait 27 ans."
Émile Littré; l'homme et l'auteur - La philosophie positive - Le prix de la vie humaine dans le positivisme vol. demi cuir, 17x14, bon état intérieur, collège de Meaux, 301pp. Peu courant. Paris, Hachette 1883. Édition Originale. Émile Littré était un philosophe, lexicographe et érudit français du XIXe siècle. Il est surtout connu pour son travail en tant que rédacteur principal du "Dictionnaire de la langue française" (Dictionnaire Littré), qui reste l'un des dictionnaires les plus importants de la langue française. En ce qui concerne le positivisme, il s'agit d'un courant philosophique développé par Auguste Comte au XIXe siècle. Le positivisme prône une approche scientifique de la connaissance et de la société, en rejetant les spéculations métaphysiques et en mettant l'accent sur les faits observables et vérifiables. Comte a formulé sa vision de la sociologie en tant que science sociale basée sur l'étude des lois et des régularités sociales. Emile Littré, bien qu'ayant une certaine proximité avec les idées du positivisme, n'était pas un partisan inconditionnel du mouvement. Il était un ami et un disciple d'Auguste Comte et a contribué à diffuser ses idées, mais il a également développé ses propres positions philosophiques. Littré a rejeté certaines parties du système positiviste de Comte, notamment l'idée de la religion de l'Humanité. Littré était un athée convaincu et ne souscrivait pas à la dimension religieuse que Comte attribuait à la sociologie. Néanmoins, Littré partageait la vision positiviste selon laquelle la science et l'observation des faits devraient constituer la base de la connaissance. Il convient de noter que Littré a également été un critique de certaines tendances du positivisme, comme le rejet des sciences spéculatives, la dévalorisation de la philosophie et la négation de toute réalité métaphysique. Il a plaidé en faveur de l'étude de la philosophie et de la spéculation intellectuelle, tout en maintenant un fort engagement envers la rigueur scientifique. En résumé, Littré était un intellectuel important du XIXe siècle, associé au positivisme d'Auguste Comte, mais avec des divergences et des critiques personnelles. Il a joué un rôle essentiel dans la promotion des idées positivistes en France, tout en contribuant également à d'autres domaines, notamment la lexicographie et la linguistique. ref/22
MONSIEUR LITTRE Jean Hamburger avec envoi de l'auteur ! volume in-8, 210x150, broché, 306 pages, bon état général Flammarion 1988 Émile Littré était un philosophe, lexicographe et érudit français du XIXe siècle. Il est surtout connu pour son travail en tant que rédacteur principal du "Dictionnaire de la langue française" (Dictionnaire Littré), qui reste l'un des dictionnaires les plus importants de la langue française. En ce qui concerne le positivisme, il s'agit d'un courant philosophique développé par Auguste Comte au XIXe siècle. Le positivisme prône une approche scientifique de la connaissance et de la société, en rejetant les spéculations métaphysiques et en mettant l'accent sur les faits observables et vérifiables. Comte a formulé sa vision de la sociologie en tant que science sociale basée sur l'étude des lois et des régularités sociales. Emile Littré, bien qu'ayant une certaine proximité avec les idées du positivisme, n'était pas un partisan inconditionnel du mouvement. Il était un ami et un disciple d'Auguste Comte et a contribué à diffuser ses idées, mais il a également développé ses propres positions philosophiques. Littré a rejeté certaines parties du système positiviste de Comte, notamment l'idée de la religion de l'Humanité. Littré était un athée convaincu et ne souscrivait pas à la dimension religieuse que Comte attribuait à la sociologie. Néanmoins, Littré partageait la vision positiviste selon laquelle la science et l'observation des faits devraient constituer la base de la connaissance. Il convient de noter que Littré a également été un critique de certaines tendances du positivisme, comme le rejet des sciences spéculatives, la dévalorisation de la philosophie et la négation de toute réalité métaphysique. Il a plaidé en faveur de l'étude de la philosophie et de la spéculation intellectuelle, tout en maintenant un fort engagement envers la rigueur scientifique. En résumé, Littré était un intellectuel important du XIXe siècle, associé au positivisme d'Auguste Comte, mais avec des divergences et des critiques personnelles. Il a joué un rôle essentiel dans la promotion des idées positivistes en France, tout en contribuant également à d'autres domaines, notamment la lexicographie et la linguistique. C7
Librairie J.-B. Baillière et Fils, à Paris , Bibliothèque Scientifique Contemporaine Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1891 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur grise In-12 1 vol. - 236 pages
1 planche hors-texte (tableau synoptique), complet nouvelle édition avec une préface d'E. Littré, 1891 Contents, Chapitres : Préface d'un disciple par E. Littré, 75 pages (mars 1864) - Dédicace - Avertissement de l'auteur - Tableau synoptique de l'ensemble du Cours de philosophie positive - Première leçon : Exposition du but de ce cours, ou considérations générales sur la nature et l'importance de la philosophie positive - Deuxième leçon : Exposition du plan de ce cours ou considérations générales sur la hiérarchie des sciences positives - E. Littré : Etude sur les progrès du positivisme (pages 209 à 235) - Le Cours de philosophie positive est un livre du philosophe et épistémologue français Auguste Comte. Il s'agit de la transcription en six tomes de son grand cours d'histoire des sciences et de philosophie politique, entre 1830 et 1842. Le Cours débute par des considérations générales, puis reconstruit le savoir scientifique avec dans l'ordre : les mathématiques, l'astronomie, la physique, la chimie, la biologie, la sociologie et la science politique. Comte énonce également dans cet ouvrage la loi des trois états sur le devenir historique de l'esprit humain, et développe la philosophie positiviste qu'il a inventée. - Émile Littré (Maximilien Paul), né à Paris le 1er février 1801 et mort à Paris le 2 juin 1881 est un médecin, lexicographe, philosophe et homme politique français, surtout connu pour son Dictionnaire de la langue française, communément appelé « le Littré ». - il découvrit par hasard les travaux d'Auguste Comte, qui le séduisirent par leur caractère scientifique et méthodique, et dont la lecture constitua, comme il l'a dit lui-même, « le point cardinal de sa vie ». À partir de ce moment se manifesta l'influence du positivisme sur sa propre vie et, ce qui est plus important, sa propre influence sur le positivisme, car il a donné au positivisme autant qu'il a reçu de lui. Il devint bientôt l'ami de Comte et vulgarisa ses idées dans de nombreux travaux sur la philosophie positiviste, donnant un premier résumé lucide et habile de ces idées sous le titre Analyse raisonnée des cours de Philosophie positive. (source : Wikipedia) infime trace de pliure au coin inférieur droit du plat supérieur avec une micro déchirure de 0,2 cms sur le bord droit du plat supérieur, la couverture reste en très bon état, infime petit accroc sur le haut du dos, l'intérieur est particulièrement frais et propre, cela reste un bel exemplaire, bien complet de la planche hors-texte, de cette présentation du Cours de Philosopbie Positive (2 premières leçons) avec près d'une centaine de pages d'Emile Littré, un des principaux disciples d'Auguste Comte (cachet de détaillant au bas de la première page, il ne s'agit PAS d'un exemplaire de bibliothèque).
21/08/(1871) Littré appuie auprès de son ami Jules, la candidature de l'abbé Fliche ... pour un des évêchés vacants ... Il en parle ... comme d'un prêtre dont les idées sages et modérées conviendraient au gouvernement, et qui d'ailleurs se recommande hautement par son savoir et sa piété ... et demande à son ami d'intercéder pour lui auprès de Thiers. Il lui demande également de ne pas oublier ... mes pauvres détenus, dont je t'ai donné la liste : J. Littré, Casimir Sellier, Leclère, Lambert, Jéna ... Il précise également ... que le choléra avance (...) et qu'il serait bien fâcheux qu'il trouvât les pontons et les prisons pleines ...Philologue, traducteur d'Hippocrate, philosophe positiviste, Emile Littré collabora au National, à la Revue des deux mondes, au Journal des Savants ; il fut membre de l'Académie des Inscriptions en 1839, conseiller municipal de Paris en 1848, député de la Seine en 1871, sénateur inamovible en 1875. Il a laissé de nombreux écrits médicaux, philosophiques, philologiques, en plus de son oeuvre majeure le célèbre Dictionnaire de la Langue française.