1975 Ed. chez l'auteur - Imprimerie du C.R.D.P - 1975 - In-8 broché avec jaquette - 131 pages
Reference : 82938
Bon état - tranches de la jaquette très légèrement émoussées
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Chez l'auteur. 1975. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 131 pages. Illustré de quelques dessins en noir et blanc hors texte. Envoi manuscrit de l'auteur en page de garde.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
(Rare) Gravure originale de Katiamiouny. Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
IMP. DU C.R.D.P.. 1975. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 131 pages - jaquette en bon état - quelques illustrations en noir et blanc hors texte - envoi de l'auteur - 2 photos disponibles.. . . . Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
Gravure originale de Katiamiouny . Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1858 ; petit in-12, broché couverture bleue imprimée. 2 ff., 82 pp., 1 f. de tableEDITION ORIGINALE. “De toute rareté” dit le catalogue de la vente Monselet (n°152): “Ce recueil fut tiré à 200 exemplaires environ.” Launay précise qu’il fut tiré à 300 exemplaires.Dubellay avait l’intention d’appeler son recueil : Péchés de jeunesse, titre auquel il renonça en apprenant que Dumas fils s’en était déjà servi. Ce sont 24 pièces de vers pleines de charme et fort habilement tournées.La vente de ce livre fut l’occasion d’un petit scandale, ou plutôt d’une sorte d’escroquerie commerciale que la Revue Anecdotique d’avril 1860 flétrissait à juste titre. Henry Dubellay vendait son volume de porte à porte “pour pouvoir acheter un morceau de pain”. Après sa mort un colporteur de livres, escroc de petite espèce, reprit l’idée en la perfectionnant. Il déposait le livre avec une lettre propre à arracher les larmes et sollicitait un secours auprès d’éventuels acheteurs. La lettre manuscrite (habilement reproduite par la lithographie) était tantôt signée Dubellay, tantôt Chabau, auteur de la tragédie Herménégilde.Exemplaire avec la couverture. Elle est datée de 1859. Le second plat, outre la mention de l’imprimerie Poulet-Malassis et De Broise à Alençon, porte des publicités pour Vrignault, H. Heine et J. Boulmier, trois recueils de vers parus chez Poulet-Malassis. - Quelques infimes rousseurs.DUBELLAY (Henry)Ce mystérieux personnage n’appartenait sans doute pas à la famille de Joachim, même si son livre porte en épigraphe huit vers de l’amant de la belle Viole. On ne sait presque rien de sa vie. Avant de mourir dans une misère affreuse, il fut en 1855 collaborateur au Moniteur du Calvados à Caen. Il vint à Paris en 1856, écrivit dans de petits journaux et fut aussi secrétaire intime d’un député, chambellan de Napoléon III, le marquis de Chaumont-Quitry. En 1858 il fit paraître chez Poulet-Malassis son premier et unique livre. Firmin Maillard lui consacre une notice dans Les derniers Bohêmes, pp. 222-26.
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1858 ; petit in-12°, Bel exemplaire relié en demi-chagrin havane, nerfs, fleurons aldins dorés, tranches peignées. (Reliure de l’époque) 2 ff., 82 pp., 1 f. de tableEDITION ORIGINALE. “De toute rareté” dit le catalogue de la vente Monselet (n°152): “Ce recueil fut tiré à 200 exemplaires environ.” Launay précise qu’il fut tiré à 300 exemplaires.Dubellay avait l’intention d’appeler son recueil : Péchés de jeunesse, titre auquel il renonça en apprenant que Dumas fils s’en était déjà servi. Ce sont 24 pièces de vers pleines de charme et fort habilement tournées.La vente de ce livre fut l’occasion d’un petit scandale, ou plutôt d’une sorte d’escroquerie commerciale que la Revue Anecdotique d’avril 1860 flétrissait à juste titre. Henry Dubellay vendait son volume de porte à porte “pour pouvoir acheter un morceau de pain”. Après sa mort un colporteur de livres, escroc de petite espèce, reprit l’idée en la perfectionnant. Il déposait le livre avec une lettre propre à arracher les larmes et sollicitait un secours auprès d’éventuels acheteurs. La lettre manuscrite (habilement reproduite par la lithographie) était tantôt signée Dubellay, tantôt Chabau, auteur de la tragédie Herménégilde.Exemplaire avec la couverture. Elle est datée de 1859. Le second plat, outre la mention de l’imprimerie Poulet-Malassis et De Broise à Alençon, porte des publicités pour Vrignault, H. Heine et J. Boulmier, trois recueils de vers parus chez Poulet-Malassis. - Quelques infimes rousseurs.DUBELLAY (Henry)Ce mystérieux personnage n’appartenait sans doute pas à la famille de Joachim, même si son livre porte en épigraphe huit vers de l’amant de la belle Viole. On ne sait presque rien de sa vie. Avant de mourir dans une misère affreuse, il fut en 1855 collaborateur au Moniteur du Calvados à Caen. Il vint à Paris en 1856, écrivit dans de petits journaux et fut aussi secrétaire intime d’un député, chambellan de Napoléon III, le marquis de Chaumont-Quitry. En 1858 il fit paraître chez Poulet-Malassis son premier et unique livre. Firmin Maillard lui consacre une notice dans Les derniers Bohêmes, pp. 222-26.