1972 Editions Bibliothèque Marabout, collection "Science Fiction" N° 403 - 1972 - In-12, broché couverture illustrée - 246 pages
Reference : 117647
Bon état - Frottements sur la couverture, les coins et les "coiffes" - Petit accroc en bas du dos
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LE TRIPODE ED
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782370553232
Verdier (10/2018)
LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782864329961
Librairie Ch. Poussielgue à Paris Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1893 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur crème fort et grand In-8 1 vol. - 629 pages
1 planche en frontispice, portrait photographique en pied du général de Sonis, 1825-1882 mention de 37eme édition édition de 1893 "Contents, Chapitres : Préface, xvi, Texte, 616 pages, 16 pages de catalogue Poussièlgue - La Guadeloupe, la France, le collège, 1825-1844 - Saint-Cyr, Castres, Paris, Limoges, 1844-1854 - L'Algérie, la Kabylie, 1854-1859 - La campagne d'Italie, mai-août 1859 - Le Maroc, octobre 1859 - Tenez, Laghouat, Saida, 1860 - Combat de Metlili, une expédition dans le désert, 1865-1866 - Laghouat, la vie chrétienne - Combat d'Ain-Madhi, 1869 - Aumale, 1869-1871 - L'Armée de la Loire, Brou et Loigny, 1879 - L'ambulance et le congé, 1871 - Rennes, 1871-1874 - Saint-Servan, 1874-1880 - Chateauroux, Limoges, 1880-1883 - Paris, l'éternité, 1883-1887 - Appendice - Louis-Gaston de Sonis, comte romain et de Sonis (1er, 1880), né à Pointe-à-Pitre le 25 août 1825 et mort à Paris le 15 août 1887, est un officier de l'armée française qui s'est particulièrement illustré lors de la bataille de Loigny durant la guerre de 1870, où il perdit une jambe. - Louis-Gaston de Sonis est né à la Guadeloupe où son père, Jean-Baptiste de Sonis (1795-1844), était officier. Il s'installe en métropole au Prytanée militaire pour y faire ses études4. Il intègre le collège de Juilly puis l'École spéciale militaire de Saint-Cyr, à la sortie de laquelle il rejoint l'École d'application de Cavalerie à Saumur. Il en sort sous-lieutenant et rejoint le 5e régiment de hussards basé à Castres. Sollicité par ses camarades de s'affilier à la franc-maçonnerie, ignorant les condamnations de l'Église qui la frappent, il est initié par la loge maçonnique du Grand Orient de France et s'affilie dès son arrivée en 1848 à la très républicaine loge lHarmonie universelle à Castres. Remplaçant régulièrement le 1er surveillant, il est élu 2e maître des cérémonies le 16e jour du 10e mois de 5848 (16 décembre 1848). Il claque avec fracas la porte de cette organisation quelques mois plus tard : « [] c'est un piège ! [] Vous n'avez pas tenu vos promesses ; je suis délié des miennes. Vous ne me reverrez plus. Bonsoir ! » De son passage de neuf mois dans la franc-maçonnerie, il conserve un mauvais souvenir et déconseillera plus tard à ses fils d'y adhérer : « Le père de famille veillera avec soin à ce qu'aucun des siens ne fasse partie d'une société secrète » (Mémoire). - Après Paris, puis Limoges, il est nommé capitaine en 1854 et quitte Limoges pour l'Algérie. Il s'établit à Alger et participe à l'expédition de la Kabylie lors de la campagne de 1857. Après l'attaque d'El-Amiz et la soumission des Beni-Raten, il conduit une messe d'action de grâces. Louis-Gaston de Sonis est ensuite désigné pour la campagne d'Italie de mai à août 1859. Il commande la charge de son escadron lors de la bataille de Solférino. En octobre 1859, il se porte volontaire pour la campagne du Maroc, durant laquelle son principal ennemi sera le choléra. En 1860, Sonis est nommé commandant supérieur du cercle de Tenez, puis de Laghouat et enfin de Saïda. En 1865 il participe au combat de Metlili et conduit une expédition dans le désert en 1866. En 1869, il dirige le combat d'Ain-Madhi. Cet officier très pieux est connu aussi pour avoir combattu en 1870 à la tête des Zouaves pontificaux et des Volontaires de l'Ouest sous l'étendard du Sacré-Cur de Jésus et la devise Miles Christi (soldat du Christ), aux côtés du futur général de Charette. Grièvement blessé lors du combat, il passa la nuit, par -20°, sur le champ de bataille de Loigny à rassurer les soldats blessés eux aussi autour de lui. On lui amputa la jambe gauche le 4 décembre 18707. Il est anobli par le pape Léon XIII et titré « comte romain et de Sonis » en 1880. La même année, à Châteauroux, il se fait mettre en disponibilité pour protester contre l'expulsion des religieux de France. En 1883, du fait de ses infirmités, il doit quitter le commandement actif et devient membre d'une commission au ministère de la Guerre à Paris, où il meurt en 1887. Son corps est inhumé à Loigny, dans la crypte de l'église, près des zouaves pontificaux et soldats tombés à la bataille du 2 décembre 1870. Sur la pierre tombale est gravée l'inscription « Miles Christi » (Soldat du Christ). (source : Wikipedia)" couverture en bon état, avec une légère trace de pliure au coin supérieur droit du plat supérieur, un infime petit manque au coin inférieur, intérieur sinon frais et propre, papier à peine jauni, cela reste un bon exemplaire, presque très bon, bien complet de la planche en frontispice
[ Pièce autographe signée, billet consacré à Frédéric Mistral : ] 1 P.A.S. d'une page : "Mistral a réalisé par son oeuvre et par sa vie la figure idéale du poète. Tout y est tendresse et noblesse, tout y est pureté, simplicité, fidélité, lumière. En un temps qui, pour sa honte à venir et comme dans un aveu de sa présente pourriture, verra peut-être ériger sur une de nos places telle effigie immonde, évocatrice d'oeuvres perverses et pervertissantes dont on n'oserait pas même graver les titres sur le socle - il est beau, il est bon, il est exemplaire que le poète de Calendal et de Mireille ait sa statue, sans plus attendre. Et lorsqu'après une très longue vieillesse il entrera dans l'éternité, je pressens qu'on dressera de même son image sous les routes de ce Panthéon au fronton duquel, d'avance et comme pour lui inspirer le plus sublime de ses poèmes, David d'angers avait sculpté le Tambour d'Arcole". On joint une carte postale (portrait de Mistral)
Rétrospectivement curieuse et amusante pièce autographe signée de l'écrivain de Cambrai, Auguste Dorchain (1857-1930).
Phréatique - Langage et Création - Revue trimestrielle du Groupe de Recherches Polypoétique (G. R. P.)
Reference : 40625
N° 50 - 13e année - Automne 1989 - revue illustrée - broché - 136 pages
bon état