1973 Editions RTP - 1973 - Petit in-4, broché, couverture illustrée - 84 planches en N&B
Reference : 114482
Bon état - Tampons en 1ère page
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, Jaarboek 1979 van het Felix Timmermans genootschap,, Ingenaaid, originele omslag in kleur en opdruk, 143pp +foto's, ISBN 9026435460.
het zevende jaarboek, Het dertiende kind (Louis Vercammen)Felix Timmermans op school ,(Jose De Ceulaer) De man van de Lion, (Felix Timmermans)De vertelsels van Felix Timmermans,(Jan Vercammen) Vader vertelt ,(Clara Timmermans) De schipper, de ooievaar en de rode kool, (Cyriel Verleyen) Het verbeteringshuis, een verbeterd Sinterklaasverhaal, (Jose De Ceulaer) Pallieter in Holland ,(Felix Timmermans) Het verbeternis-huis, (Felix Timmermans)Gemengde berichtjes,(Jose De Ceulaer) Praten met Felix Timmermans, (Jan Vercammen) Gommaar Timmermans schrijft over zijn vader, Hoe zien jonge mensen van nu het werk van Timmermans? Felix Timmermans?? kerstboodschap,(Herman-Emiel Mertens) Timmermans als illustrator van kinderboeken, (Cyriel Verleyen)Moltmann en Timmermans?? Pallieter Herman- Emiel Mertens) In memoriam Leo Arras,(Jose De Ceulaer)
, Jaarboek 1975 van het Felix Timmermans genootschap, softcover, originele omslag in kleur en opdruk, 186 pp + foto's. ISBN 9026435339.
Franciscus en Timmermans door Louis Vercammen, 3e jaarboek. Comment Saint Francois a decouvert le Christ (Felix Timmermans) - Hoe ik monseigneur Pronti zag (Mgr. Jules V. Daem) - Trefpunt Assisi (Louis Vercammen) - Hoe " De Harp van St. Franciscus " ontstond (Mgr. Giuseppe Pronti) - Romantische klokjes rond "De Harp " (Armand Boni) - Beeldende kunst uit "De Harp" en "Boerenpsalm" (Bernard Haazevoet) - Bronnen onderzoek van " De Harp " (Louis Vercammen) - De Harp van Felix Timmermans (Emiel Janssen) - St. Franciscus in de Nederlandse letterkunde (Bruno Vijdt) - Die " Harp " heeft mijn ziel geraakt (Mon Van Ouytsel) - De Lierse versie van " De Harp " (Louis Vercammen) - De weerklank van " De Harp " (Jose De Ceulaer) - Het filmspel van Sint Franciscus (J. Van der Veken/Gaston Durnez) - In memoriam F. Van Reeth, E. Yoors en M. Geuens (Jose De Ceulaer) - Mijn vriend Flor Van Reeth (Felix Timmermans) - Kunstschilder Flor Van Reeth (Felix Timmermans) - Eugeen Yoors (Felix Timmermans) - Hoe Pietje Vogel aan zijn bijnaam kwam (Modest Geuens) - Timmermans als plastisch kunstenaar (Jose De Ceulaer) - Timmermans woordenboek III (M. Boschmans/Jose De Ceulaer) - Kroniek 74 (Gaston Durnez) -Timmermansbibliografie 1974 (Louis Vercammen) - Mededelingen - Herkomst van de illustraties. Boek is in goede staat.
, Jaarboek 1988 van het Felix Timmermans genootschap, Ing, originele omslag in kleur en opdruk, 190pp + foto's. ISBN 9030613327.
Zestiende jaarboek. Timmermans, Cecilia, Averbode en Claes (Frans Verstreken) - Ik zag Cecilia komen/ een halve eeuw later (Anton van Wilderode) - Rondom het ontstaan van "Ik zag Cecilia komen" (Jose De Ceulaer) - Herinneringen aan Averbode (Clara Timmermans) - Het Lied van God.Herman (Emiel Mertens) - De receptie van 'Ik zag Cecilia komen' (Jose De Ceulaer) - Worte der Freundschaft(Anton Kippenberg) - 'Aan den goede vriend Peter Mertens' (Ignaas Dom) - Cecilia op de beeldbuis(Frans Verstreken) - Claes en Timmermans (Emiel Willekens) - De toegevoegde waarde (Jose De Ceulaer) - Felix Timmermans en voordrachten in Duitsland (Ernest Claes) - De Witte, Zichem en Claes (Felix Timmermans) - Hoe de Fee in de hemel kwam (Ernest Claes) -Omtrent de film "De Witte" / Drie close-ups(Frans Verstreken) - Hulde aan Timmermans (Ernest Claes) - Carolus en Pallieter (Louis Vercammen) - Het werk van Felix Timmermans (Antoon Thiry) - Jozef Simons en Felix Timmermans (Marc Somers) - Voorwoord bij Duitse vertaling : "Eer Vlaanderen vergaat" (Felix Timmermans) -I n memoriam Anton Pieck (Jose De Ceulaer) - Timmermans en Zimmer (Frans Verstreken ) - Lodewijk De Vocht en FT. Boek is in goede staat.
Catalogue édité à l'occasion de l'exposition "Felix Gonzalez-Torres - Roni Horn" à la Bourse de Commerce - Pinault Collection, du 6 avril au 22 août 2022, conçue par Caroline Bourgeois.
Reference : 25677
ISBN : 9782373721492
<meta charset="utf-8"><p data-mce-fragment="1">Catalogue de l’exposition « Felix Gonzalez-Torres—Roni Horn ». L'exposition proposée à la Bourse de Commerce est d’abord un rêve, celui de pouvoir présenter deux artistes dont le travail et l’engagement ont énormément compté pour leurs pairs. Dans la continuité de leur profonde amitié et à partir d’œuvres emblématiques conservées par la Collection Pinault, l’exposition fait dialoguer les œuvres de l’un et l’autre, comme si leur discussion continuait d’exister au présent.</p><p data-mce-fragment="1">Dans la continuité d'un échange créatif entre les deux artistes, nourri pendant plusieurs années et brutalement suspendu par la disparition de Felix Gonzalez-Torres, l’exposition de la Bourse de Commerce est rendue possible grâce à l’implication de Roni Horn, avec la complicité de la Felix Gonzalez-Torres Foundation. Entre installations, photographies et sculptures, le dialogue des deux artistes se perpétue à travers une série d’œuvres à la beauté fragile et à l’extrême puissance émotionnelle, tout en miroir et en lumière, avec la conviction que « l’acte de regarder chacun de ces objets est transfiguré par le genre, la race, la classe social et la sexualité » (Felix Gonzalez-Torres). Au cœur de leur travail, et dans cette exposition en particulier, il s’agit donc de saisir le caractère « intermédiaire » de l’existence, la dimension d’entre-deux, prise dans cette tension entre présence fragile et irréductible disparition. Le dialogue entre les œuvres de Roni Horn et de Felix Gonzalez- Torres s’ancre dans le balancement entre ces deux polarités, entre vie et mort, entre le public et le privé, le personnel et le social, « entre la peur de la perte et la joie d’aimer, de croître, de changer, de devenir toujours plus… » (Felix Gonzalez-Torres interviewé par Tim Rollins, in Felix Gonzalez-Torres, New York, A.R.T. Press, 1993).</p> Paris, 2022 Bourse de Commerce - Pinault Collection et éditions Dilecta 176 p., illustré, relié. 22,5 x 28,5
Neuf
P., Imprimerie Schneider et Bouillet, s.d. (1895), gr. in-8°, 404 pp, un portrait de Félix Faure héliogravé en frontispice, 2 autographes en fac-similé, reliure demi-chagrin carmin à coins, dos à 5 nerfs guillochés soulignés à froid, titres, filets et fleurons dorés, frise dorée et à froid sur les plats (rel. de l'époque), rousseurs (assez fortes par endroit), bon état. Très bien relié. Peu courant
Tome I (seul paru). Dans un autre ouvrage paru en 1905, l'auteur annonce comme étant “sous presse” le tome II : Trois ans de Présidence (1895 à 1898), mais il n'est jamais paru. — "La 5e Chambre du Tribunal civil avait à juger hier un petit procès fort amusant d'où il appert que, plus heureux que Louis XIV, M. Félix Faure a eu des historiens même avant d'être... Président. C'était la veille des dernières élections présidentielles de janvier 1895. Pendant qu'un peuple entier, debout, haletant, suivait une à une les péripéties de la course à l'Elysée où tantôt M. Charles Dupuy, tantôt M. Félix Faure tenaient la corde, deux hommes eurent une idée de génie : écrire d'avance les monographies des deux concurrents pour publier, le lendemain, celle de celui qui aurait décroché la timbale ! Ces deux hommes étaient l'un M. Martin-Ginouvier, secrétaire général du Crédit mutuel à prêts gratuits, et l'autre le docteur Genesteix, candidat lui-même aux dernières élections municipales du sixième arrondissement. Tous deux écrivirent donc à la fois une « Vie de M. Charles Dupuy, Président de la République » et une « Vie de M. Félix Faure, également Président de la République ». Et à ce moment, M. Félix Faure n'était encore rien. Le lendemain, on sait qu'il était tout. Aussi MM. Martin-Ginouvier et Genesteix s'empressèrent-ils, après l'élection, de déchirer la «Vie» du blackboulé et de porter chez l'éditeur la «Vie» de l'élu. La brochure fut appelée “Félix Faure devant l'histoire”, avec, pour sous-titre : “De son berceau à l'Elysée, 1841-1895”. Malheureusement, avant la publication, un dissentiment s'éleva entre les deux collaborateurs. Le docteur Genesteix accusa M. Martin-Ginouvier d'avoir fait, en cours d'impression, des retouches à la brochure, retouches personnelles et qu'il jugeait de fort mauvais goût. De quel droit M. Martin Ginouvier avait-il ajouté, par exemple, des phrases comme celles-ci ? “M. Brisson est la pintade du parti radical. ... M. Godefroy Cavaignac apparaît comme l'âne de Buridan des partis avancés.” Cela, au dire du docteur Genesteix, ne regardait en rien Félix Faure et cela pouvait compromettre la vente de l'ouvrage : il y aurait au moins deux acheteurs de moins, MM. Brisson et Godefroy Cavaignac..., sans compter leurs amis. Et le docteur demanda à son collaborateur de supprimer ses retouches. Celui-ci ayant refusé, la discussion tourna à l'aigre et l'on se sépara un peu froidement. La rupture éclata définitivement le soir du vendredi saint. M. Martin-Ginouvier faisait prendre l'air à son chien sur la place Saint-Germain-des-Prés, lorsqu'il crut apercevoir, sortant de l'église avec sa femme, le docteur Genesteix, président, comme on sait, du Comité socialiste du sixième arrondissement et, paraît-il, laïcisateur à outrance. Altercation très vive à la suite de laquelle M. Martin-Ginouvier publia seule la brochure présidentielle. D'où procès devant la 5e Chambre civile, où le docteur Genesteix reprochait hier à M. Martin-Ginouvier de lui avoir enlevé sa part de collaboration et surtout d'avoir supprimé sur la couverture le nom de Genesteix, qui y eût fait si bien. Et pour ce préjudice tant matériel que moral il lui demandait, par l'organe de Me Lemarinier, son avocat, 10,000 francs de dommages-intérêts. Après une très spirituelle plaidoirie de Me Deligand pour M. Martin-Ginouvier, le Tribunal a renvoyé les deux plaideurs dos à dos. Certes M. Martin-Ginouvier a eu tort de ne mettre que son nom sur le livre, au mépris des droits de son collaborateur mais, d'un autre côté, M. le docteur Genesteix n'a éprouvé aucun préjudice, puisque la fabrication de la monographie de Félix Faure (c'est dur à constater) s'est traduite par des pertes et non par des bénéfices, et puisque, en définitive, M. Martin-Ginouvier n'a pas eu plus que le docteur Genesteix le moindre bout de ruban que ces Mécènes eussent pu cependant attendre d'Auguste. Et c'est bien là le côté le plus triste de cet amusant procès : MM. Martin-Ginouvier et Genesteix, oubliés à l'Officiel, en ont été pour leur frais avec leur littérature, et ils n'en ont pas moins été condamnés hier chacun à la moitié des dépens du procès. M. Félix Faure, au nom de son Histoire, leur devrait bien un décret spécial les graciant tous deux de ces malencontreux dépens !" (Le Figaro, 13 février 1897)