1979 Editions du Bastion - 1979 - In-4, broché souple, couverture décorée verte - 96 p. - Illustrations en N&B in et hors-textes
Reference : 110215
Bon état - Légers forttements sur la couverture - Petite trace de tasse à café au niveau de la quatrième de couverture + petite trace d'étiquette
Librairie Le Père Pénard
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Les Amis du Vieux St Etienne - Société historique, archéologique, littéraire - M. Chalendard
Reference : 42632
N° 51 - Septembre 1963 - Revue trimestrielle - 13 bis, rue Gambetta. Saint-Etiennne (Loire) - broché
Bon état
Paris, Lemercier & C.ie, [1867]. En 32 sections montées sur toile et repliées, formant une vue de 63 x 85,5 cm hors marges, 85,5 x 115,5 cm avec les marges.
Très rare et très grande vue aérienne de Saint-Étienne, dessinée et lithographiée par Théodore Müller, imprimée par Lemercier à Paris, et publiée en 1867. Comme la plupart des vues de Saint-Étienne de cette époque, telles la vue d'Alfred Guesdon, celle-ci est prise depuis le cimetière de Saint-Claude, qui se trouve en bas à gauche de la vue, aujourd'hui cimetière du Crêt de Roc, au nord-est de la ville. La vue nous permet de voir notamment les jardins de la Promenade de l'Heurton, la place Chavanelle, qui accueillait les magasins de la Manufacture royale d'armes, l'église Sainte-Marie qui se distingue par ses trois coupoles, ou encore la place Marengo. Comme en témoignent les fumées de cheminées d'usines autour de la ville, Saint-Étienne était au XIXe siècle l'une des plus grandes villes industrielles françaises. Déjà ville prospère dans l'armurerie et la rubanerie, elle devint, grâce à la présence de houille dans la région, l'un des principaux centres d'usines métallurgiques de France. C'est aussi à Saint-Étienne que fut construite, en 1829, la première ligne de chemin de fer française par l'ingénieur Marc Seguin, la première à expérimenter en 1832 la traction par des locomotives à vapeur, transportant simultanément des marchandises et des voyageurs. En 1855, lorsque les communes limitrophes de Valbenoîte, Montaud, Beaubrun et Outre-Furan sont annexées à l'agglomération stéphanoise, la population passe de 30 000 à 80 000 habitants. Le 1er janvier 1856, elle devient le siège de la Préfecture du département de la Loire à la place de Montbrison. Très rare. À notre connaissance, il s'agirait de la toute première vue générale de Saint-Étienne de ce format, mentionnée dans les deux bibliographies citées ci-dessous, mais dont nous n'avons trouvé aujourd'hui aucune trace dans les collections publiques. Le Musée d'Art et d'Industrie de Saint-Étienne conserve une vue identique, portant le nom de J.M. Ogier et la date de 1866. Nous n'avons trouvé aucune autre information sur cette estampe, y compris sur ses dimensions. Bel exemplaire à très grandes marges. Mouillures claires dans la marge supérieure. Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 1867, p. 320, 1028 ; Annales de la Société Impériale d'Agriculture, Industrie, Sciences, Arts et Belles-Lettres du département de la Loire, 1867, p. 258, 143.
[FOREZ] - VEY (Eugène) - LAURENT (B.) - DUFOUR - GRAS (L.-J) - PAUZE (Marius) - DORNA (Abbé L.).-
Reference : 56568
(1911)
1911 Paris, Champion, 1911, 113 pages..... Saint-Etienne, L'Auteur, 1937, 10 pages..... Sans lieu ni nom ni date, 9 pages..... Saint-Etienne, Théolier, 1906, 20 pages..... Saint-Etienne, Théolier, 1935, 51 pages..... L'Auteur, sans date, 17 pages. Soit 5 ouvrages reliés en un volume in 8°, pleine toile vert pré, dos lisse, étiquette brune.
"Le Cénacle des Pingouins" a été tiré à 300 exemplaires, celui-ci enrichi, sur la garde blanche, d'une dédicace signé par l'auteur. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Imprimerie Pierotti, 1977, IX-250 p., in-8 br., 1ère édition, préface d'Ernest Hildesheimer, illustrations photos., une grande carte dépliante, état de neuf
Le chanoine Galléan, originaire de Saint-Étienne-de-Tinée explore tout d'abord la « période protohistorique » de Nice et de Saint-Étienne (occupation hellénique, fondation de Nikaïa au VIe siècle avant J.-C., occupation romaine), puis celle qui va du VIe au XIVe siècle, avec l'indépendance et la dédition de Nice et les premiers indices sur Saint-Étienne (charte de 1066, relevé de biens de 1297), il insiste ensuite sur la situation stratégique de la cité et décrit avec beaucoup de précision le régime féodal des coseigneurs stéphanois (âpre et cupide), la gestion municipale (surtout liée aux affaires commerciales) et les nombreux faits guerriers qui affectèrent la ville : elle est en effet occupée par les huguenots et incendiée par les catholiques, en 1593, prise par les troupes d'Henri IV en 1597, sous le joug des Français en 1694, dotée d'une garnison par le duc de Berwick en 1706, investie par les Espagnols en 1747, au cœur de la Révolution et de la guerre en 1793... Il évoque aussi naturellement la vie religieuse, ancienne en ces lieux (la charte de 1066, contenant l'appellation Sancti Stephani Ecclesiam, indique qu'il existait alors une paroisse constituée), l'église et les chapelles et « Saint-Étienne pépinière de prêtres », ainsi que les ressources économiques du terroir.Il s'attarde ensuite sur les villages environnants (Bosieyas, Le Pra, Saint-Dalmas-le Selvage, Roya, Isola, Molières, « véritables communautés courageuses et fidèles à leur foi » et aborde le XXe siècle avec l'arrivée (enfin !) de la route qui a forcé les gorges de Tinée, vaincu les rochers (à la sortie de Saint-Sauveur et face au vallon de Molières) et nécessité la construction d'un pont à deux arches. Il relate aussi l'incendie de 1907 (12 maisons ont perdu leur toiture), les débuts de la municipalité Rovéry, la guerre de 1914-1918 (plus de cent Stéphanois y laisseront la vie), l'érection de l'hôpital de Saint-Maur et les reconstructions après le nouvel incendie (1929), ainsi que l'inauguration de la route d'Auron (1932), celle du téléphérique (1937) et l'occupation italienne à partir de 1940. Il décrit enfin l'ouverture de la route de la Bonette (Bernard Issautier), la construction du collège Jean Franco, du nouvel hôpital et de la salle des fêtes, le captage et l'adduction d'eau à Auron (Lucien Pascal) et il fait état des investissements importants dans le tourisme d'hiver (Paul Ollié), avant d'en venir aux éphémérides de la cité, au dialecte local, à un portrait émouvant (Un prêtre de chez nous) et à un hommage à « nos mères et grands-mères ».
L'illustration. 8 octobre 1927. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 200 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte. Dos abimé.. . . . Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon
Sommaire : Le département de la Loire par A. Durafour, Le Forez historique par S. Mulsant, Saint Etienne et sa région par Louis Soulié, Le vieux Saint Etienne par Charles Boy, Le palais des arts de Saint Etienne par G. Grivolat, L'école régionale des beaux arts de Saint Etienne par Léo Carrière, Le conservatoire national de musique de Saint Etienne par E. Maurat Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon