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AUG. BERNARD de lma Société des Antiquaires de France
Le Temple d'Auguste et la Nationalité Gauloise
1863 A Lyon, N. Schevring, Libraire-Editeur - 1863 - 1 volume in-folio - Demi basane brune marbrée à coins, 5 nerfs, filets et titre en doré - 169 pages - Planches hors texte en noir & blanc - Couverture originale conservée ( adhésif sur tous les bords) - Ex-libris d'Albert Boissier au revers du premier plat - Une gravure de la construction de Lyon issue du Progrès Illustré de 1901 contrecollée au revers de la première page de garde -
Reference : 103861
Assez bon état - Intérieur plutôt frais avec quelques rousseurs - Marques d'érosion sur la basane de la reliure / dos et coins - Reliure un peu voilée - Annotations au crayon à papier sur la première page de garde - Marques de frottements et une petite tache d'humidité sur le premier plat
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Le temple d'Auguste et la nationalité gauloise.
1863 Lyon, Scheuring, 1863, in 4°, XVI-169 pages, cartonnage éditeur ; 12 planches hors-texte dont une en couleurs ; petits défauts au cartonnage.
...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Le temple d'Auguste et la nationalité gauloise
Lyon, N. Scheuring, libraire éditeur, 1863. In folio (37 x 28 cm) cartonnage éditeur imprimé, xvj p., 12 planches dont une carte en couleurs, 172 pages. Cartonnage défraîchi mais bon état des feuillets et des planches.
Louis Perrin, suit les cours de l'École de dessin et il est formé, à partir de 1818, chez l'imprimeur lyonnais Ballanche, imprimerie rachetée par Mathieu-Placide Rusand. En 1822 il s'associe avec Zacharie Durand, gendre de son ancien patron et qui possède le brevet d'imprimeur, pour racheter l'imprimerie typographique de Siméon Darnaud, qui vient de mourir. Louis Perrin obtient lui-même le brevet d'imprimeur le 1er août 1823, puis celui de libraire, le 28 octobre 1833. L'association de Durand et Perrin dure seulement deux ans et Louis Perrin poursuit l'entreprise sous son propre nom. Il obtient, en 1833, le brevet de lithographe et, le 4 juin 1852, le brevet pour la taille-douce, qu'il pratique depuis déjà longtemps. Louis Perrin, tout en imprimant livres et publications courants, se consacre progressivement à l'édition des beaux livres. En 1846, il doit imprimer le livre Inscriptions antiques de Lyon d'Alphonse de Boissieu. Il estime que les caractères existants, principalement le Firmin Didot, ne conviennent pas à l'ouvrage. Il crée et fait réaliser par le fondeur Francisque Rey un alphabet complet en capitales qu'il appelle « les caractères Augustaux », il crée ensuite les minuscules, ciselées par Jean-Marie Fugère et fondues par Rey. L'imprimerie emploie, dans les années 1850, une dizaine de personnes dont le graveur et lithographe Jean-Marie Fugère, entré à son service vers 1845, qui dessine nombre d'ornements typographiques et de planches.
