Firmin Didot Frères Relié 1853 In-8 (14,5 x 22,8 cm), reliure demi-chagrin, dos lisse, gardes couleurs, 455 pages ; frottements aux plats, coupes usées, quelques rousseurs en début et fin de volume, par ailleurs assez bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
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A Cologne, chez Nicolas Schoute, 1666. In-8 de (16)-355-(1) pp. Suivi de :Censura sacrae Facultatis theologiae parisiensis in librum cui titulus est Amadaei Guimenii (…) Paris, Vitré, 1666. 20 pp. La Théologie morale des Jésuites et Nouveaux Casuistes : représentée par leurs pratiques et par leurs livres : condamnée il y a déjà longtemps par plusieurs censures, décrets d'université et arrêts de cours souveraines : Nouvellement combattue par les curés de France ; et censurée par un grand nombre de Prélats et par des Facultés de Théologie catholique : Divisée en Cinq parties, qui se peuvent voir en la page suivante. Et augmentée en cette Nouvelle édition d'une Censure faite par la Sorbonne. Cologne, Nicolas Schoute, 1666. (4)-893 pp.3 parties en 1 vol. in-8, vélin ivoire rigide, titre manuscrit sur le dos (reliure de l'époque).
Première édition posthume des Provinciales suivies de la Censure de la Faculté de Théologie de Paris et de la Théologie Morale sortie des presses de Nicolas Schoute à Cologne qui publia la même année (1666) une édition différente des seules Provinciales (476 pp., Willems, n°1372).Les trois pièces (Provinciales, Censure, Théologie) avaient été réunies une première fois en 1659 par le même Nicolas Schoute, du vivant de Blaise Pascal (1623-1662). Les dix-huit Lettres provinciales parurent séparément du 23 janvier 1656 au 24 mars 1657. Cette édition comprend la 19e lettre (Lettre d'un avocat au parlement à un de ses amis) qui n'est pas de Pascal mais probablement de l'avocat Antoine Le Maître (Willems). Titre en rouge et noir ; chaque partie a sa page de titre propre avec la même adresse pour les Provinciales et la Théologie Morale et l'adresse : "Parisiis, apud A. Vitré" pour la Censure. Rousseurs mais bel exemplaire en reliure d'époque.Maire, II, 190-201 ; Basse, Monographie des éditions des Lettres provinciales, 31.
Les Provinciales ou les lettres écrites par Louis de Montalte à un provincial de ses amis, et aux rr. pp. jésuites. Dixième édition, dans laquelle on a ajouté la Lettre d'un Avocat du Parlement à un de ses Amis. Cologne, Nicolas Schoute, 1689. 1 vol petit in-12 de (12) ff, 432 pp, vélin rigide d'époque, titre à la plume au dos, tranches jaspées. Trace d'étiquette en queue du dos, petit trou de ver au milieu sans prolongation dans le corps d'ouvrage. Accolades à l'encre brune en marge du texte pp 58-59. (Basse, 50).
Bon exemplaire en vélin d'époque, exempt de rousseurs. Les mentions d'édition, apparaissant pour la première fois sur une impression elzévirienne de 1666 ("6e édition") et se retrouvant sur certaines d'entre-elles, tant hollandaises que françaises, jusqu'à la fin du siècle, sont absconses sinon fantaisistes : il y a ainsi une douzième édition l'année suivant la nôtre, et une neuvième en 1699...
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A Cologne chez Nicolas Schoute, 1685.Un volume relié In-12 (9 x 15,3 cm) de 10 ff. n. ch., 369 pp. ch. 259, 96 pp. ch. 114. (erreur de pagination sans manque). Reliure plein veau brun de l'époque, dos à nerfs orné, titre doré. Reliure usée, coiffes usées, coins émoussés et mors légèrement fendu sur cinq centimètres. Intérieur en bon état."Conçues comme une défense d'Arnauld et de l'attitude de Port-Royal dans la controverse des "cinq propositions", les Provinciales se présentent comme un réquisitoire contre les jésuites français, leur politique et leur indulgence en matière de moeurs. Mais elles brisent aussi ce cadre accidentel et polémique en traitant du péché et de la grâce, questions cruciales du christianisme et objet d'un débat perpétuel au sein même de l'Église catholique." (T. Prieur). Les dix-huit Provinciales parurent d'abord séparément et anonymement de janvier 1656 à mars 1657. À la fin de 1657, une édition en recueil fut publiée et signée du pseudonyme Louis de Montalte. L'anonymat ne fut levé qu'en 1659. L'ouvrage remporta un grand succès et fut tout de suite mis à l'index. "Unanimement admirées par les grands maîtres de l'éloquence et de la controverse du XVIIe et du XVIIIe siècle, elles finirent par s'imposer comme le modèle de toute polémique." (T. Prieur). La plupart des éditions anciennes, comme celle-ci publiée à Cologne, contiennent une dix-neuvième lettre, connue aussi sous le titre Lettre d'un avocat au Parlement à un de ses amis, et d'autres textes liés à la querelle opposant jansénistes et jésuites comme Avis de messieurs les curés de Paris à messieurs les curés des autres diocèses de France.
Cologne, Nicolas Schoute, 1685. In-12 (90 x 153 mm), 10 ff. n. ch., 369 pp. ch. 259, 96 pp. ch. 114. Veau brun moucheté de l'époque, dos à nerfs orné, roulette sur les coupes et les coiffes, tranches mouchetées, p.13 : petite déchirure en marge droite avec légère atteinte au texte sans manque, usures sur deux coins (reliure de l'époque).
Un chef d'œuvre de l'éloquence. "Conçues comme une défense d'Arnauld et de l'attitude de Port-Royal dans la controverse des "cinq propositions", les Provinciales se présentent comme un réquisitoire contre les jésuites français, leur politique et leur indulgence en matière de mœurs. Mais elles brisent aussi ce cadre accidentel et polémique en traitant du péché et de la grâce, questions cruciales du christianisme et objet d'un débat perpétuel au sein même de l'Église catholique." (T. Prieur). Les dix-huit Provinciales parurent d'abord séparément et anonymement de janvier 1656 à mars 1657. À la fin de 1657, une édition en recueil fut publiée et signée du pseudonyme Louis de Montalte. L'anonymat ne fut levé qu'en 1659. L'ouvrage remporta un grand succès et fut tout de suite mis à l'index. "Unanimement admirées par les grands maîtres de l'éloquence et de la controverse du XVIIe et du XVIIIe siècle, elles finirent par s'imposer comme le modèle de toute polémique." (T. Prieur). La plupart des éditions anciennes, comme celle-ci publiée à Cologne, contiennent une dix-neuvième lettre, connue aussi sous le titre Lettre d'un avocat au Parlement à un de ses amis, et d'autres textes liés à la querelle opposant jansénistes et jésuites comme Avis de messieurs les curés de Paris à messieurs les curés des autres diocèses de France. Bel exemplaire en veau moucheté de l'époque. Dictionnaire des écrivains de langue française, Larousse, 2001, II, p. 1361, notice de Thierry Prieur.
à Cologne, Chez Nicolas Schoute 1685 In-16. Reliure plein veau glacé, 20-433-114 pp. Reliure frottée, coiffes usées, premier mors fendillé.
Avertissement sur les dix-huit lettres, où sont expliqués les sujets qui sont traités dans chacune - rondeau aux RR. PP. Jésuites sur leur Morale accomodante - Lettres écrites à un provincial par un de ses amis - Bon état d’occasion