Hachette et Cie Bibliothèque Rose illustrée Reliure d'éditeur 1905 In-12 (12 x 18 cm), reliure pleine toile rouge, plaque de l'éditeur sur le premier plat, tranches dorées, 268 pages, illustrations en noir de Tofani ; coins déchirés sur quelques pages (pas de manque de texte), par ailleurs bel état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
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France Loisirs 1982 in8. 1982. Cartonné jaquette. 330 pages. dans le conflit mondial qui ravage le continent européen de 1939 à 1945 la hongrie est restée longtemps hors des atteintes de la guerre. et puis à son tour elle est en feu. les allemands qui y sont entrés en maîtres se sont retranchés dans budapest et entendent défendre la ville qu'assiègent les russes. c'est ce siège de deux mois vécu dans la cave de leur immeuble pris au bord du danube sous les feux croisés des belligérants que raconte christine arnothy. ils sont là une douzaine à attendre l'avance russe avec l'espoir qu'elle marquera la fin de l'oppression et de l'horreur. mais bientôt les parents de christine décident de quitter le pays. ils aboutissent dans un camp de réfugiés en autriche d'où christine veut s'arracher à tout prix. cette existence recommencée est le thème de il n'est pas si facile de vivre qui fait suite à j'ai quinze ans et je ne veux pas mourir. et sa sobriété même rend le témoignage d'autant plus poignant sur ce qui fut le sort de tant de gens de trop de gens pendant et après la seconde guerre mondiale Très Bon Etat
s.d. (ca 1823), 12x18,2 cm et 10x15,5cm, Six pages sur deux feuillets rempliés.
Lettre autographe presque totalement inédite du peintre Eugène Delacroix à sa passion de jeunesse, la mystérieuse «Julie», désormais identifiée comme étant Madame de Pron, de son nom de jeune filleLouise du Bois des Cours de La Maisonfort épouse de Louis-Jules Baron Rossignol de Pron et fille du marquis de LaMaisonfort, ministre de France en Toscane, mécène de Lamartine et ami de Chateaubriand. 90 lignes, 6 pages sur deux feuillets rempliés. Quelques biffures et deux annotations de bibliographe au crayon en partie supérieure de la première page («no114»). Cette lettre est l'une des dernières à son amante en main privée, l'ensemble de la correspondance de Delacroix à Madame de Pron étant conservé au Getty Research Institute (Los Angeles). Seules neuf des quatre-vingt-dix lignes de cette lettre inédite furent transcrites dans le Burlington Magazine de septembre 2009, à l'occasion du long article de Michèle Hanoosh, Bertrand et Lorraine Servois dont les recherches révélèrent enfin l'identité de la fameuse destinataire. Sublime lettre d'amour d'Eugène Delacroix âgé de vingt-quatre ans, adressée à son amante Madame de Pron, de douze ans son aînée, qui déchaîna chez lui la plus vive passion. Cet épisode de jeunesse du peintre, alors considéré commel'étoile montante du Romantisme, est longtemps demeuré un mystère dans la biographie de Delacroix, qui prit soin de conserver l'anonymat de son amante grâce à divers pseudonymes: la «Cara», «la dame des Italiens», ou encore «Julie», comme dans cette lettre, en référence au fameux roman épistolaire Julie ou la Nouvelle Héloïse de Rousseau. Pour des raisons évidentes, Delacroix ne signa aucune lettre de son nom dans sa correspondance avec la dame. Grande figure de l'aristocratie légitimiste, la destinataire de cette lettre enfiévrée est Madame de Pron, fille du marquis de LaMaisonfort, ministre de France en Toscane, mécène de Lamartine, ami de Chateaubriand. Sa beauté fut immortalisée en 1818 par Élisabeth Vigée-Lebrun, qui réalisa son portrait au pastel, coiffée à l'orientale. La rencontre de Delacroix et de Madame de Pron eut lieu en avril 1822 lors de la commande du portrait du fils de celle-ci, Adrien, élève au lycée Impérial (actuel lycée Louis-le-Grand). Delacroix avait été commissionné pour le portrait par son ami intime Charles Soulier, amant de Madame de Pron, qui bien malgré lui servit d'entremetteur à Delacroix. En l'absence de Soulier parti en Italie, le peintre et la jeune femme nouèrent une relation amoureuse intense. La commande de portrait devint un prétexte à leurs tendres rendez-vous dans son atelier de la rue de Grès tandis que nulle trace de peinture de l'enfant n'a encore été retrouvée à ce jour. Leur aventure dura à peine plus d'une année, mais fut l'une des plus intenses passions de la vie de l'artiste. Notre missive doit sans doute correspondre aux derniers feux de leur relation, au mois de novembre 1823. Après une de ses visites au terme d'un hiatus de plusieurs mois, Delacroix lui réécrit sous le coup de l'émotion : «Je rentre le cur tout bouleversé, quelle bonne soirée! [...]Quelques fois je me dis: pourquoi l'ai-je revue? Dans la paisible retraite où je vivais, même au milieu des lieux invisibles que je m'étais formé [...] je parvenais à faire taire mon cur». Madame de Pron avait en effet décidé de mettre un terme à leurs relations intimes (voir sa lettre du 10 novembre 1823: «Je veux de l'amitié bien douce [...] je ne veux pas vous tourmenter», (Getty Research Institute). Perdant tout discernement et avec une dévotion aveugle, Delacroix tente de faire renaître leur liaison: «Fais-moi mentir, prouve-moi que ton âme est bien celle de la Julie que j'aie vue autrefois, puisque la mienne a retrouvé ses émotions charmantes et ses inquiétudes». Mais le peintre se heurte à Soulier et au général de Coëtlosquet, eux aussi amants de Madame de Pron. Delacroix avait évité de justesse une brouille définitive avec Soulier, qui avait failli apercevoir une lettre de Madame de Pron dans ses appartements : «J'ai feint d'avoir perdu ma clef [...] J'espère que mon tort envers lui n'influera pas sur ses relations avec... Dieu veuille qu'il l'ignore toujours!» (Journal, 27 octobre 1822, éd. Michèle Hanoosh, vol.1, p.94). Prisonnier de ce carré amoureux, Delacroix se résigne à partager l'affection de son amante, mais il lui en fait l'amer reproche: «Je crains que vous ne puissiez pas aimer parfaitement. Il s'est fait dans vos sentiments une lacune qui vous a été fatale [...] dis-moi que non, dis-le-moi de toutes les manières, trompe-moi si tu veux, je te croirai, je veux tant te croire et j'en ai si besoin». Vouvoiement et invectives familières se confondent dans l'esprit tourmenté du peintre. Ironie du sort, Delacroix séjourna fréquemment chez l'autre amant de Madame de Pron, son cousin le général d'Empire Charles Yves César Cyr du Coëtlosquet, chez qui elle logeait rue Saint-Dominique. Delacroix prendra sa revanche sur ce rival en peignant pour lui en 1826 la fameuse Nature morte aux homards (musée du Louvre), prenant soin d'y glisser de facétieuses références à l'ultra-royalisme de son commanditaire : «J'ai achevé le tableau d'animaux du général [...] Il a déjà donné dans l'il à une provision d'amateurs et je crois que cela sera drôle au Salon [de 1827-1828]» écrit-il dans une lettre à Charles Soulier. Un souvenir de la liaison de Delacroix avec Madame de Pron subsiste dans son tableau en cours, les Scènes du Massacre de Scio, révélation du Salon de 1824, qui placera Delacroix en chef de file du Romantisme et révolutionnera l'histoire de la peinture. En effet, il se procurera par l'entremise de son amante des armes Mameloukes, dont il subsiste une étude (J72) et qui figurent au flanc du spahi chargeant les femmes dans la composition finale. Aussi, un album d'aquarelles de la main de son ami Soulier le représente en train d'orner la chambre de son ancienne amante de décors pompéiens dans le château de Beffes, où il séjournera brièvement en juin 1826. L'ardeur de sa passion pour Madame de Pron est enfin révélée par cette lettre qui ne figure dans aucun essai biographique ni correspondance du peintre. Plus tard, Delacroix se rappellera au bon souvenir de son amante: «Tu diras à Mme de Pron que les Françaises n'ont pas d'égales pour la grâce» (lettre à Soulier, 6juin 1825). - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 28 novembre 183 (Planche n°336) - Œuvre : Hauteur: 35.8cm x Largeur: 27.2cm - Image: Hauteur: 23cm x Largeur: 18.5cm - Titre en bas au centre : « Mes bons amis, je ne veux que votre bien, je veux tout votre bien, je veux tout votre bien……. » ; légende plus bas à dte : « (Pensée immuable) » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°159 [160]. », en ht à dte : « Pl. 134 . » [erreur de numérotation, planche 336] - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « AB. » [Auguste Bouquet, dessinateur],épreuve jaunie.
iconographie:Il s’agit d’une représentation de la « PENSEE IMMUABLE » de la monarchie de Juillet. Représentée sous la forme d’une pensée (la variété de fleur. La pl. joue ainsi de la polysémie du mot « pensée ») poussant dans un terreau fait de pièces de cent sous contenues dans un sac, elle a les traits du visage du roi Louis-Philippe. La « pensée immuable » fait partie des surnoms donnés au roi par La Caricature. Deux autres tiges ont donné naissance à des bourgeons en forme de mains ouvertes, aux griffes acérées, avides de piocher dans le tas de pièces. La pl. dénonce la cupidité du roi. L’explication précise que « ceci représente la Pensée immuable, pensée qui préside maintenant à toutes les décisions de nos hommes d’Etat ». Le titre de la pl. est composé des mots censés avoir été prononcés par le roi, s’adressant au peuple. Le dessin met ainsi en lumière le décalage entre ses promesses pleines de générosité et ses actes véritables. Cette recherche avide d’argent au détriment du peuple est, d’après l’explication, pratiquée par le gouvernement dans son entier, voire devient un principe de fonctionnement (« comme incrustée ». Et cette pensée « ne saurait croître au soleil de Juillet et [qui] ne vient bien que dans un fumage de pièces de cent sous » : le régime contemporain ne saurait s’accomoder des principes républicains tels qu’ils furent défendus lors de la révolution de juillet 1830.Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des FrançaisAuguste Bouquet, né à Abbeville (Somme) le 13 septembre 1810, et mort prématurément à Lucques (Italie) le 21 décembre 1846. Peintre, lithographe, graveur et caricaturiste français, Bouquet fait ses études à l'École des beaux-arts de Paris. Élève d' Ary Scheffer, il s'oriente sous l'influence du maître vers l'art nazaréen. Il réalise de nombreuses lithographies de caricatures pour les journaux L'Artiste, La Caricature (1831-1834), Le Charivari (1832-1833), Le Triboulet (1843), ainsi que pour l'ouvrage de Jules Janin Deburau, l'histoire du théâtre à quatre sous (1832).Collaborateur et ami de Philippon, Honoré Daumier et Grandville, Auguste Bouquet fait partie de cette génération de caricaturistes courageux qui osèrent défier la censure, et dont la cible privilégiée était Louis-Philippe.
PARIS MATCH. 9 janvier 1997. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 106 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Mathilda May : jamais je n'ai été aussi fière de mon corps, Laurent Bourgnon-Isabelle Patissier : nous nous aimons a la folie malgré nos caractères de cochon, Meurtre sur la lande irlandaise, Mariage : tu veux ou tu veux pas, De Charlotte Gainsbourg a Brooke Shields, elles sont toutes d'accord pour dire ni oui ni non Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
PARIS MATCH. 11 janvier 1985. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 90 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Henry d'Angleterre : six parrains et marraines pour le baptême d'un petit prince par Irène Frain, Sylvie Vartan et Christophe Lambert fêtent le nouvel an au Cotton Club, Annabelle Mouloudji : je ne veux pas me faire un nom, je veux être connue, Le Gault Millau 85 du rififi chez les chefs par Christian Millau Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues