Fayard Dos carré collé 1985 In-8 (15,3 x 23,5 cm), dos carré collé, 220 pages ; dos et bords du quatrième plat un peu jaunis, papier bruni, bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
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2011 Paris, Mémorial de la Shoah, 2011 24 x 15, 664p Neuf car service de presse. Jamais lu.
Revue d'histoire d la Shoah, juillet / décembre 2011.
2010 Paris, Mémorial de la SHoah, 2010 15x24cm, 567pp Etat neuf car service de presse
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2010 Paris, Mémorial de la Shoah, 2010 15 x 24 cm, , 775 pp Neuf car service de presse
N° 193, juillet-décembre 2010 Revue du Centre de documentation juive contemporaine.
Centre de Documentation Juive Contemporaine, 2008, in-8 br., 772 p., N° 193 (juillet-décembre 2010) de la "Revue d'Histoire de la Shoah", illustrations photos, très bon état.
Lassitude, difficultés, obstacles et manifestations d'antisémitisme. Ces dernières années la chronique est abondante de ces récits de professeurs dits à mots couverts expliquant leur difficulté à enseigner " ce sujet ". Réalité de la France en 2010. S'en tenir à ce seul constat occulterait pourtant l'essentiel : depuis vingt à trente ans, en France, les pouvoirs publics, les instances académiques, les éditeurs scolaires et les professeurs ont fait un réel effort pour mieux enseigner l'histoire de la Shoah. Une histoire qui, de proche en proche, met en lumière les taches aveugles de l'intégration. À l'exception du cours sur les Hébreux, la figure juive semble avoir été placée sous le seul signe de la souffrance (pogroms, Inquisition), de la victime (Dreyfus) et de la Shoah. Comme si l'être juif était par essence l'être du rejet dans un enseignement qui, tout entier pétri de " bonnes intentions ", apparaît pourtant irréfléchi. Mais il y a un monde des directives et des programmes aux manuels, et des manuels au cours déroulé en classe. L'évolution des programmes depuis 1945 recoupe-t-elle les fractures repérées dans la mémoire collective de l'Occupation ou épouse-t-elle les inflexions de la mémoire juive telles qu'on les repère en Israël ? Le travail des historiens a-t-il fait évoluer les regards, préciser le vocabulaire et fait mieux entendre la spécificité de l'événement ? Pourquoi les voyages scolaires à Auschwitz se sont-ils multipliés et sont-ils synonymes d'un enseignement politique qui semble, en France, condenser les tensions non-dites de la société et les contradictions d'une nation en difficulté ? Voir le sommaire sur photos jointes.
Centre de Documentation Juive Contemporaine, 2008, in-8 br., 555 p., N° 188 (janvier-juin 2008) de la "Revue d'Histoire de la Shoah le monde juif", très bon état.
Comment l’histoire de la Shoah a-t-elle été appréhendée dans le Foyer national juif, puis dans l’État d’Israël à partir de 1948 ? Quelles furent les conceptions historiques dominantes au cours des années cinquante ? Pourquoi le Mémorial de Yad Vashem ne fut-il pas d’emblée le centre de la recherche historique sur le sujet, laquelle s’est prioritairement épanouie à l’université hébraïque de Jérusalem, puis dans les quatre autres universités du pays fondées à partir de 1955 ? Quelles furent les césures principales dans la formation de la mémoire collective du génocide, objet de débats violents et jusqu a aujourd’hui de contestations venues tant du monde orthodoxe que de l’actuelle mouvance post sioniste. En quoi, enfin, et pourquoi, est-ce une conception mémorielle et juive qui l’emporta des décennies durant, en Israël, et qui fit en sorte de laisser l’école historique israélienne sur la Shoah en marge des grands courants de la recherche qui s’illustraient en Europe et aux États-Unis. Ce sont là quelques unes des questions abordées dans ce numéro réunissant des auteurs quasi exclusivement israéliens.