Dargaud Le moine fou Cartonné 1985 In-4, (29.5x22.5 cm), album cartonné, plats illustrés en couleurs, 48 pages, vignettes couleurs de Vink, première édition, deuxième épisode du Moine fou ; coins et coiffes légèrement frottés, très bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
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Paris, , [1781-1787]. In-8 broché de 62-52-23-13-32 pp.
En février 1787, au moment où Beaumarchaisl s’occupait de la première représentation de son opéra Tarare, parut une brochure virulente signée Nicolas Bergasse : Mémoire sur une question d’adultère, de séduction et de diffamation pour le sieur Kornman contre la dame Kornman son épouse, le sieur Daudet de Jossan, le sieur Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais et M. Lenoir, conseiller d’état, ancien lieutenant général de police. Trompé par sa femme, le banquier strasbourgeois Korman réussit à la faire interner ; l’amant était un certain Daudet de Jossan, homme de confiance du puissant ministre de la guerre M. de Montbarey. Beaumarchais pris la défense de l’épouse maltraitée. Mais l’affaire pris une tournure plus politique quand Kornman eut l'occasion de se lier avec le jeune avocat Nicolas Bergasse, connu par l’extrême exaltation qu’il avait déployée dans des brochures en faveur des expériences magnétiques de Mesmer. Le fond de l’affaire disparut bientôt dans les mémoires de Bergasse ; il ne fut presque plus question de M. et de Mme Kornman, mais de l’exil du parlement et de la scélératesse de Beaumarchais, qu’il accusait d’être vendu aux ministres.
[], [], 1788. In-4 de 36 pp. BEAUMARCHAIS (Pierre-Augustin Caron de). Troisième mémoire, ou dernier exposé des faits qui ont rapport à Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais ; dans le procès du sieur Kornmann contre sa femme. Pièce justificatives. Lettre de Guillaume Kormann au Sieur Daudet, déposées au greffe le premier juin 1787. Paris, De l’Imprimerie de Seguy-Thiboust, 1789. In-4 de 81-18 pp. Relié en tête : FOURNEL (Jean-François Fournel). Eclaircissements pour Me Fournel, avocat en la cour, sur la plaidoirie prononcée par le sieur Bergasse à l'audience de la Tournelle criminelle du jeudi 19 mars 1789. Sans lieu ni date (1789). In-4 de 24 pp.Ensemble 1 vol. in-4, demi-basane havane marbrée à coins, dos lisse ornée de filets dorés, pièce de titre en maroquin blond, tranches rouges (reliure de l'époque).
En février 1787, au moment où Beaumarchaisl s’occupait de la première représentation de son opéra Tarare, parut une brochure virulente signée Nicolas Bergasse : Mémoire sur une question d’adultère, de séduction et de diffamation pour le sieur Kornman contre la dame Kornman son épouse, le sieur Daudet de Jossan, le sieur Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais et M. Lenoir, conseiller d’état, ancien lieutenant général de police. Trompé par sa femme, le banquier strasbourgeois Korman réussit à la faire interner ; l’amant était un certain Daudet de Jossan, homme de confiance du puissant ministre de la guerre M. de Montbarey. Beaumarchais pris la défense de l’épouse maltraitée. Mais l’affaire pris une tournure plus politique quand Kornman eut l'occasion de se lier avec le jeune avocat Nicolas Bergasse, connu par l’extrême exaltation qu’il avait déployée dans des brochures en faveur des expériences magnétiques de Mesmer. Le fond de l’affaire disparut bientôt dans les mémoires de Bergasse ; il ne fut presque plus question de M. et de Mme Kornman, mais de l’exil du parlement et de la scélératesse de Beaumarchais, qu’il accusait d’être vendu aux ministres.
[sans lieu], [sans nom], 1787. In-4 de [4]-93-[1]-26-[2]; 36 pages, cartonnage de papier marbré, à la Bradel, pièce de titre bordeaux, tranches rouges (cartonnage moderne).
Guillaume Kornmann, né en 1741, est un banquier strasbourgeois, dont le procès contre sa femme (soutenue par Beaumarchais) a été particulièrement retentissant dans les années 1780. En 1774, Kornmann épouse Catherine Marie Foesch, une jeune Suisse fortunée qui lui donne deux enfants. Ils s’installent à Paris où le mari s’occupe de la banque de son oncle. Le couple ne s’entend pas et Guillaume laisse toute liberté à sa femme pour prendre un amant, tant que cela arrange ses affaires. L’amant est un certain Daudet de Jossan, homme de confiance du puissant ministre de la guerre M. de Montbarey et syndic-adjoint de Strasbourg. Mais bientôt le ministre quitte sa charge et le jeune homme devient soudain beaucoup moins fréquentable. De plus, Mme Kornmann, qui n’hésite pas à s’afficher de manière scandaleuse avec lui, menace de demander une séparation de biens (le divorce n’existe pas encore). Craignant de perdre à la fois sa femme et surtout la dot, Guillaume Kornmann, qui entre-temps est presque ruiné, obtient du lieutenant de police une lettre de cachet et fait enfermer l’épouse adultère, alors enceinte de son amant. Dans la nuit du 3 au 4 août 1781, la femme est ainsi conduite dans la maison disciplinaire des dames Douai, rue de Bellefond, qui héberge filles perdues et folles. Sur les instances d’amis communs, Beaumarchais vole au secours de Mme Kornmann (qu’il ne connaît pas encore). Commence alors l’affaire Kornmann. Bientôt libérée, la femme tente sans succès d’obtenir une séparation de corps et de biens, arguant pour ce faire de sa détention scandaleuse. Le mari trompé se décide à porter plainte contre son épouse et contre l’amant pour adultère, contre Beaumarchais et le lieutenant de police Lenoir pour diffamation et complicité d’adultère. Il prend pour avocat son ami Nicolas Bergasse, disciple comme lui de Mesmer. C’est alors la grande mode des mémoires judiciaires qui enflamment les lecteurs avides de sensation : Bergasse commence avec un Mémoire sur une « Question d’adultère, de séduction et de diffamation pour le sieur Kornman » publiant de nombreux libelles qui tiennent le public en haleine, tandis que de son côté Beaumarchais met son talent dans la rédaction de ses brillants mémoires. Finalement ce dernier est innocenté par arrêt du Parlement du 2 avril 1789. Kormann et son avocat Bergasse sont condamnés à lui payer des dommages-intérêts, mais l’opinion publique leur reste largement favorable. En 1793, Madame Kormann obtient enfin le divorce, créé par la loi du 20 septembre 1792. wiki. Illustré XXe
La nouvelle revue candienne. 1951. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Papier jauni. 80 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : La peinture canadienne, par Jean Mouton - Sainte-Anne-la-Palud, par Gabrielle Roy - La robe longue de ma mémoire, par Pierre Trottier - La critique et le critique, par Roger Duhamel - Bruits et odeurs de Rome, par Conrad de Buisseret - Gide et la tradition classique, par Suy Sylvestre,etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
1980 Collection d'Etudes Latines. Série Scientifique, fascicule XXXV.Société d'édition les Belles Lettres, Paris, 1980. Un volume in-8 broché, 365 pages. Bon état.
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