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Brack Ludy
L'Encéphale
C.P.E. (Compagnie Parisienne d'Édition) Broché 1955 In-12 (11,5 x 17,8 cm), broché, 224 pages ; pliure au dos de biais, réparation au ruban adhésif au dos en tête, mors, coiffes et bords des plats frottés, traces et coin corné au quatrième plat, par ailleurs assez bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
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L'Encéphale. Journal des maladies mentales et nerveuses
Paris, G. Masson [puis J.-B. Baillière], 1881-1888, in-8, 8 volumes, 42 (sur 43) planches, dont quelques unes en couleurs et plusieurs comprenant des photographies originales, Demi-basane bleu-vert de l'époque, dos lisses et fileté, Collection quasi complète, d'une insigne rareté, de la revue l'Encéphale, publiée de 1881 à 1889. Elle contient de nombreux articles originaux, notamment de ses fondateurs Luys (1828-1897) et Ball (1833-1893). Sans l'année 1889. Lacunes au tome III (année 1883) : sans les pages 337 à 352 et la planche numéroté 3. Ce journal se caractérise, selon ses rédacteurs, par son impartialité, son esprit pratique et son scepticisme ; « nous n'entendons point par-là cette ironie banale qui s'attaque sans distinction à toutes les idées nouvelles ; nous voulons parler de cette vertu négative qui constitue l'un des traits les plus élevés de l'esprit scientifique, et qui nous apprend à ne jamais accepter un fait sans le contrôler, une idée sans la discuter, une hypothèse sans lui demander ses preuves ». L'Encéphale comprend de nombreuses planches, dont plusieurs donnent des clichés photographiques tirés en photoglyptie, certains publiés ici pour la première fois, à l'instar des célèbres photographies d'Esther et de Gabrielle, patientes sur lesquelles Luys expérimenta les effets de l'hypnose sous diverses substances, et qui sont l'objet de l'article célèbre, « Les émotions dans l'état d'hypnotisme », qui parait en librairie peu de temps après. La publication de l'Encéphale se ressent, à partir de ces années, du nouvel état d'esprit de Luys, qui vient d'être nommé médecin-chef à la Charité et qui y fonde sa propre école de recherches sur l'hystérie, inspirée de celle de Charcot à la Salpêtrière, et se lance sans discernement dans des expériences parfois douteuses sur le plan de la rigueur scientifique, expériences auxquelles assiste l'occultiste Gérard d'Encausse, dit Papus. Si l'Encéphale n'est pas encore l'"organe" de ces expériences de la Charité, elle n'en délivre pas moins pour la première fois à la société savante ces "égarements", qui s'exprimeront pleinement dans la brève "Revue d'hypnologie" que dirige Luys, après la cessation de l'Encéphale, en 1890. Contributions, outre de Ball et Luys, de Boyé, E. Régis, J. Giraud, Fusier, Boucheron, Chambard, Marandon de Montyel, Sicard, G. Pichon, etc... Défaut habituel de pagination pour l'année 1882 ; après la page 696, la numérotation reprend à 997. Quelques surcharges au crayon bleu. Dos insolés. Titre de la cinquième année (1885) non conservé. Couverture rigide
Bon 8 volumes, 42 (sur 43)
Recherches sur l'encéphale [premier et deuxième mémoire]
Paris, Just Rouvier, 1836-1838, in-8, 2 mémoires en 1 volume, [8]-111-[8]-120 pp, 12 tableaux dépliants, Demi-percaline crème à la bradel, pièce de titre rouge, Édition originale du premier travail important de Parchappe, composé de deux mémoires ; dans le premier, paru en 1836, il se propose de "rechercher la solution des questions qui se rattachent à l'influence du volume de la tête et de l'encéphale de l'homme sur sa puissance intellectuelle" ; dans le second, paru en 1838, "il étudie les altérations de l'encéphale dans l'aliénation mentale et termine par l'examen des rapports de coïncidence, de succession et de causalité entre ces altérations et les lésions fonctionnelles" (Semelaigne). Maximilien Parchappe de Vinay (1800-1866) fut médecin en chef de l'un des premiers asiles d'aliénés de France, celui de Saint-Yon à Rouen, de 1835 à 1848. La création de cet établissement fut le point de départ d'une véritable vogue pour la statistique médicale dans les milieux rouennais. Ses Recherches sur l'encéphale révèlent l'influence de la phrénologie ; elles comprennent des tableaux statistiques dépliants où apparaissent des mesures de crânes chez des hommes et des femmes sains, homicides ou aliénés. Pour lui, l'émergence de la folie et la dégradation de l'intelligence étaient des corollaires du faible poids du cerveau. Parchappe appartient à cette génération de médecins qui ont cherché à améliorer le travail dans les maisons d'aliénés et qui fit mettre en corrélation la construction d'établissements asilaires et pénitentiaires avec leurs fonctions propres. Il se place en cela dans la lignée d'Esquirol et de son prédécesseur à Saint-Yon, Lucien Debouteville. Cachets de l'Institut catholique de Paris, étiquette en pied du dos. Dos sali. Des rouseurs, principalement en début et en fin de volume. Semelaigne I, p. 268. Couverture rigide
Bon 2 mémoires en 1 volume,
Recherches sur l'encéphale [premier et deuxième mémoire]
Paris, Just Rouvier, 1836-1838, in-8, 2 mémoires en 1 volume, [8]-111-[8]-120 pp, 12 tableaux dépliants, demi-basane violette de l'époque, dos lisse et fileté, Édition originale du premier travail important de Parchappe, composé de deux mémoires ; dans le premier, paru en 1836, il se propose de "rechercher la solution des questions qui se rattachent à l'influence du volume de la tête et de l'encéphale de l'homme sur sa puissance intellectuelle" ; dans le second, paru en 1838, "il étudie les altérations de l'encéphale dans l'aliénation mentale et termine par l'examen des rapports de coïncidence, de succession et de causalité entre ces altérations et les lésions fonctionnelles" (Semelaigne). Maximilien Parchappe de Vinay (1800-1866) fut médecin en chef de l'un des premiers asiles d'aliénés de France, celui de Saint-Yon à Rouen, de 1835 à 1848. La création de cet établissement fut le point de départ d'une véritable vogue pour la statistique médicale dans les milieux rouennais. Ses Recherches sur l'encéphale révèlent l'influence de la phrénologie ; elles comprennent des tableaux statistiques dépliants où apparaissent des mesures de crânes chez des hommes et des femmes sains, homicides ou aliénés. Pour lui, l'émergence de la folie et la dégradation de l'intelligence étaient des corollaires du faible poids du cerveau. Parchappe appartient à cette génération de médecins qui a cherché à améliorer le travail dans les maisons d'aliénés et qui fit mettre en corrélation la construction d'établissements asilaires et pénitentiaires avec leurs fonctions propres. Il se place en cela dans le sillage d'Esquirol et de son prédécesseur à Saint-Yon, Lucien Debouteville. Cachet du service de psychiatrie de l'Hôpital de la Rochelle. Charnières frottées, rousseurs. Semelaigne I, p. 268. Couverture rigide
Bon 2 mémoires en 1 volume,
Colloque international sur la chlorpromazine et les medicaments neuroleptiques en therapeutique psychiatrique : Paris 20,21,22 octobre 1955.Clinique des Maladies mentales et de l'Encephale de la Faculte de Medecine
G. Doin, 1956, gr. in-8vo, 982 p reliure en toile originale.
Recueil des textes parus dans l'Encéphale. Numéro spécial 1956. Clinique des Maladies mentales et de l'Encéphale de la Faculte de Medecine professeur Jean Delay,
(SLACES, NVVA)
Phone number : 41 (0)26 3223808
Recherches anatomico-pathologiques sur l'encéphale et ses dépendances
Paris, chez Béchet jeune, 1830-1834, in-8, 3 volumes, , Nouvelle édition, augmentée, en trois volumes ; les précédentes éditions ont paru en 2 volumes. Le volume 3 est à la date de 1834. Lallemand, (1790-1853, chirurgien et professeur à la faculté de Montpellier), fit paraitre, sous forme épistolaire, entre 1820 et 1834, une série d'observations cliniques et de compte-rendus pathologiques à propos de la nature des maladies infectieuses de l'encéphale. Rejetant les imprécisions de la phrénologie et la relativité de la vivisection, il décide d'observer, dans un premier temps, les comportements externes et internes des personnes malades du système nerveux, puis de s'attacher aux désordres anatomico-pathologiques dont ils sont les témoins afin de dresser des constats plus justes sur les maladies de l'encéphale. En cela, il redonne un élan nouveau à la physiologie puisqu'en classant les affections cérébrales d'après les altérations pathologiques, et non plus seulement d'après les symptômes ou "les phénomènes extérieurs", il est à l'origine d'une méthode sûre et fiable basée sur l'observation systématique, répétée et particulière. Wellcome III, 434. Neuburger, The Historical Development of Experimental Brain and Spinal Cord Physiology before Flourens, pp. 266 et 334. Couverture rigide
Bon 3 volumes
