Presses Universitaires de France Le Philosophe Broché 1977 In-8 (13,6 x 20,9 cm), broché, 124 pages ; quelques traces et marques d'usage sur la couverture, intérieur frais, assez bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Reference : ce1351
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Fêtes et saisons. 1973. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 33 pages agrafées - quelques illustrations en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Mon corps ce compagnon - j'ai un corps - je suis mon corps - ni ange ni bête - mon corps dans le monde - mon corps un langage - mon corps une vocation - la science et le corps humain - le culte du corps - le corps et la souffrance - érotisme et pornographie - mon corps en prière etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
FALGAYRETTES-LEVEAU (Christiane) - LE BRETON (David) - KACIMI (Mohamed) - YOYOTTE (Jean) - ALEM ( Kangni) - BOUNOURE (Gilles)...
Reference : 29581
Paris, , Musée Dapper, 2004. Un volume in-4, broché, couverture illustrée en couleurs et à rabats, 389 pp.
" Ce magnifique ouvrage regroupe une centaine de pièces appartenant à des cultures différentes (Afrique, Océanie, Amérique, Asie). Les oeuvres - de la statuaire et des masques les plus élaborés aux ornements de nez ou d'oreille les plus épurés - témoignent des interventions sur le corps : tatouage, scarification, piercing." " Aujourdhui, les interventions sur le corps révèlent une personnalité que lindividu, homme ou femme, sest choisie et façonnée.Expressions dune esthétique autre, dun désir de liberté, du souci dafficher une différence, les signes du corps, irréversibles ou non, témoignent aussi dune manière de vivre et de dire sa relation au corps. Au sein des sociétés dites traditionnelles, les transformations corporelles ont parfois atteint un haut degré de sophistication. Imposées et subies, elles traduisent également le positionnement de lindividu dans la société. ". "Le corps marqué joue à cache-cache : il se dissimule par crainte des regards réprobateurs pour protéger le secret d'une intimité, mais, lorsqu'il s'affiche, il peut le faire sous l'impulsion de la provocation ou de la dérision. Ce corps-là, parfois défait, déstructuré à l'extrême pour mieux se reconstruire, renvoie à l'image de l'Autre qui, depuis toujours en Afrique, en Asie, en Océanie ou dans les Amériques, se plie aux exigences d'une tradition millénaire. Sur ces terres lointaines, les pratiques corporelles évoluent ; elles se sont, pour quelques-unes d'entre elles, "allégées" ou totalement perdues sous la férule des missionnaires. L'urbanisation grandissante a pris le relais, infligeant à ceux qui quittaient leurs villages l'oubli des pratiques anciennes." Parce que ces pratiques font de nouveau surface dans nos sociétés (tatouage, scarification, piercing, implants, branding sont des ornementations corporelles qui séduisent la jeunesse contemporaine), cet ouvrage et l'exposition qui l'accompagne s'efforcent de "servir de guides dans le labyrinthe des signes révélateurs des transformations du corps ". En quelque onze chapitres (L'écriture sur la peau, Anthropologie des marques corporelles, La femme comme langue étrangère, Signes du corps chez les anciens Egyptiens, Marques du corps en Afrique subsaharienne, " Arts plastiques " et " arts du corps ", Corps-trésor du Nouveau Monde, Les signes corporels des Amérindiens d'Amazonie, Transformations et ornements corporels, Extension, altération, ou le corps détaché d'Orlan, (Paroles du corps), cet ouvrage richement illustré s'attache à toutes les marques, éphémères ou indélébiles, qui servent à affirmer une identité, et remonte aux sources de ces métamorphoses.".Exemplaire à l'état neuf. Photos sur demande.
Chroniques de l'Art Vivant - Aimé Maeght et Jean Clair - Gilles et Christine Larrain - Jean-Christophe Amman sur Urs Lüthi et Luciano Castelli - Jean-François Lyotard sur Lindner - Gilbert Gatellier sur Gina Pane - Irmeline Lebeer sur Dan Graham - Marie-Claude Volfin - Jean-Noël Vuarnet sur Pierre Klossowski - Jacques Lepage - Alain Clerval - Philippe du Vignal et Jules Cordières - Lise Brunel - Daniel Caux sur Luc Ferrari - Jeannot Lapin
Reference : CAV-41
(1973)
Maeght Editeur - Chroniques de l'Art Vivant Ferce sur Sarthe, France 1973 Book Condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur, illustrée d'une photographie montage de Gilles Larrain, une tête d'homme avec un voile In-4 carré 1 vol. - 40 pages
très nombreuses illustrations en noir et blanc 1ere édition Contents, Chapitres : Jean Clair : Les corps étranges - Gilles et Christine Larrain : Le temps des idoles (travestis) - Jean-Christophe Amman : Le corps ambigu, le travestissement comme expression et comme symptôme, Urs Lüthi, Luciano Castelli - Jean-François Lyotard : Le corps vénal, les filles machines folles de Lindner - Gilbert Gatellier : Un humanisme du corps, Gina Pane - Irmeline Lebeer : Le corps matériau perceptuel, Dan Graham suivi d'un entretien avec Dan Graham - Marie-Claude Volfin : L'atelier d'artiste (suite des numéros 39 et 40), les nouveaux ateliers - Jean-Noël Vuarnet : Lettres, le corps et la monnaie perverse, sur Pierre Klossowski - Exposition André Malraux à la Fondation Maeght, 13 juillet au 30 septembre à Saint-Paul - Jacques Lepage : Textruction - Alain Clerval : La grande bouffe chez nos grands pères, Eros et Agape au 19eme siècle - Philippe du Vignal : Théâtre, Le palais des merveilles suivi d'un entretien avec Jules Cordières - Lise Brunel : Danse, le langage du corps, à travers la danse indienne, africaine, et occidentale (table ronde) - Daniel Caux : Les danses organiques de Luc Ferrari avec un entretien - Jeannot Lapin : Cinéma, La maman, la putain et le petit lapin, fable expérimentale - Actualités et publicités
Gallimard. 1971. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 247 pages - couverture jaunie - étiquette collée sur le 2ème plat.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Recension du corps - notre corps ou le présent d'une illusion - le corps et le self - l'oeil entend - le corps du délit - l'anatomie dans la psychanalyse - sur la formation des concepts freudiens de psychique/physiologique - remarques sur la place et le statut du corps en psychanalyse - du corps à l'âme - l'économie du plaisir - le corps et le code dans les contes de Borges - du ventre humain et de son âme. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Publié en 1785, sans l’assentiment de l’auteur, «Le Diable au corps» a été condamné à la destruction par un arrêt de la cour d’assises de la Seine, en date du 9 août 1842 et par un jugement prononcé par la 6ème chambre du tribunal correctionnel de la Seine le 12 mai 1865. Londres, 1785. In-12, maroquin rouge, double filet doré, dos orné, dentelle intérieure, tranches dorées. Reliure de la fin du XIXè siècle. 131 x 80 mm.
Edition originale «introuvable aujourd’hui» de la première parution du «Diable au corps», imprimée dès l’année 1785, l’un des plus illustres romans érotiques parus simultanément avec les œuvres du Marquis de Sade. Ce titre sera repris par Raymond Radiguet (1903-1923) pour son roman autobiographique paru l’année de sa mort. Le Diable au corps est un tableau des mœurs parisiennes un peu avant la Révolution et ce tableau, Nerciat l'a complété par un autre: les Aphrodites, qui a lieu une quinzaine d'année plus tard, pendant les premières convulsions révolutionnaires. C'est sans aucun doute à propos du Diable au corps et Les Aphrodites que Baudelaire écrivit cette note qu'il avait l'intention de développer « La Révolution a été faite par des voluptueux ». Cette rarissime édition originale est ornée de 4 figures érotiques. Publiée de manière clandestine en 1785, sans l'assentiment de l'auteur, cette édition livre au public la première version de la première partie du Diable au corps (1803), dont le texte à l'époque était toujours en cours d'écriture par Nerciat. Ce récit très libre se présente sous la forme d'un dialogue au verbe croustillant et érotique entre plusieurs personnages: une superbe marquise, la comtesse de Motte-en-feu, véritable laidron piquant et blonde ardente qui porte un certificat non équivoque des plus nombreuses & des plus chaudes aventures, une soubrette, un prélat, etc. Le Diable au corps a été condamné à la destruction par un arrêt de la cour d'assises de la Seine, en date du 9 août 1842 et par un jugement prononcé par la 6ème chambre du tribunal correctionnel de la Seine le 12 mai 1865. Si Nerciat, qui joua sur les deux tableaux (royauté ou république), souvent par nécessité financière ou par simple sécurité pour sa personne, ne fut pas aussi fin politique ou chanceux qu'un de ses illustres patrons, Talleyrand, il laissa à la postérité une œuvre littéraire autrement moins périssable. Ses romans, si raisonnables et convenables en philosophie politique, fourmillent de joie de vivre et de santé heureuse, tout à l'opposé du cynisme et de la dureté de la vie politique de son époque, particulièrement corrompue et sanglante. Si son œuvre reflète sa vie, le chevalier, subtil libertin, dut connaître à travers tant de vicissitudes professionnelles de très joyeux moments. Si elle ne la reflète nullement, cette vie chaotique dut lui être particulièrement pénible pour soutirer de lui une telle compensation imaginaire. S'il faut trancher, son œuvre est largement autobiographique et propose un miroir très fidèle des mœurs fort libres (mais sans leur corruption et leurs violences) de l'aristocratie française que la réaction, lors de la Restauration post-napoléonienne, n'avait pas encore assombri de son implacable répression des mœurs. En somme, sa vie fut aussi dangereuse que son œuvre est joyeuse. «André et Nerciat aurait écrit Le Diable au Corps quelques années avant la Révolution et l’eût fait imprimer dès 1789 ou 1790, si les évènements n’eussent entraîné l’ajournement de son projet. Il s’est plaint d’avoir été victime dès 1785 d’un contrefacteur qui, avant même que la rédaction de l’ouvrage fût achevée, en aurait publié une partie en y introduisant beaucoup de fautes et en y apportant ça et là de désastreuses retouches: «Pas le moindre écart, pas la moindre addition, le moindre retranchement qui ne soit un contre-sens, une platitude, ou du moins une faute contre le goût, sans parler des innombrables difformités purement typographiques». Cette contrefaçon, ou plutôt cette pré-façon, introuvable aujourd’hui, avait pour titre: les Écarts du tempérament ou le Catéchisme de Figaro, esquisses dramatiques. Londres, 1785, in-18, et portait en épigraphe: Et flon flon, lure lure lure, Chacun à son ton et son allure, Elle fut réimprimée quelques années plus tard sous un titre différent: les Écarts du libertinage et du tempérament ou Vie licentieuse de la comtesse de Motte-en-feu, du Vicomte de Molengin, du valet Pinefort, de la Conbanal, d’un âne et de plusieurs autres personnages. Nouvelle édition. A Conculix, chez l’abbé Boujarron, bon bretteur, 1793, in-18 de 132 pages avec gravures. Il est peu probable que la première de ces deux éditions d’une partie du futur Diable au corps ait été vraiment publiée sans la complicité de l’auteur. Il est possible, certes, qu’elle ait été imprimée sans que Nerciat ait pu se relire sur épreuves et signer le bon à tirer, mais il va de soi que l’éditeur a disposé d’un manuscrit qui n’a pu être mis en circulation que par Nerciat lui-même. Les protestations de celui-ci ressemblent un peu aux plaintes de la prostituée dont la pudeur se trouve offensée». Pascal Pia, Les livres de l’enfer.