‎PÉLABON Louis, l'ouvrier-poète toulonnais.-‎
‎Recueil de 11 de ses oeuvres accompagnées d'une Notice biographique par Émile ESNAULT, et 2 oeuvres de Constant PÉLABON, son fils.-‎

‎Notice biographique, 16 pp. Toulon. Monge. 1859. Puis: 1. Le siège de Toulon par le duc de Savoie, 80 pp. Toulon. Aurel. 1852. 2. Sous les cyprès! Élégies, 40 pp. Toulon. Vve Baume. 1853. 3. Angéline, drame moral, 32 pp. Toulon. Vve Baume. 1855. 4. Le Barde de Crimée, recueil de poésies militaires, 48 pp. Toulon. Vve Baume. 1857. 5. La Guerre d'Italie, poème militaire dédié à l'armée, 32 pp. Toulon. Hyacinthe Vincent. 1860. 6. Notre-Dame de Bonne-Garde ou la Chapelle du Cap Sicié, suivie d'une ode au port de Toulon, 34 pp. Toulon. Vincent. 1862. 7. Toulon et son Port depuis son origine jusqu'à nos jours, 40 pp. Toulon. Vincent. 1863. 8. Les anciens troubadours du Var, leurs notices biographiques, 48 pages. Toulon. Vincent. 1864. 9. Une séance de Cour d'Amour au Château de Signes, 40 pages. Toulon. Laurent. 1868. 10. La Madeleine ou Pèlerinage à la Sainte-Baume, suivi des cantiques populaires de la Provence, 48 pages. Toulon. Laurent. 1869. 11. La cathédrale de Toulon ou quelques vers nouveaux sur une vieille église, 16 pp. Toulon. Laurent. 1872. 12. Bagage littéraire de Constant Pélabon de Toulon, édition posthume, précédée d'une notice biographique, 52 pp. Toulon. Laurent. 1872. 13. Fifrelin, comédie en un acte et en prose, par Constant Pélabon, édition posthume, 36 pages. Toulon. Laurent. 1872. Le tout en 1 volume in-8 (145 x 216mm) dos veau rouge cerise à 4 nerfs, titre, filets et fleurons or, gardes jaspées, hommage de l'auteur. Bon exemplaire de ce rare recueil.‎

Reference : ORD-8212

‎Louis Pélabon, né à Toulon en 1814, était ouvrier-voilier à l'Arsenal de Toulon. Auteur de nombreux ouvrages en provençal ou, en français, comme ceux que nous présentons. Il a notamment participé à la rédaction du journal lo Bouil-Abaisso de Joseph DÉSANAT. Son fils Constant, né en 1837, Capitaine au 2e bataillon des Mobiles du Var, après bien des aventures militaires dont il sortit indemne, devait mourir le 5 février 1871 entre Sanary et Bandol dans l'explosion de plusieurs barils de poudre transportés par le train de voyageurs dans lequel il était. ‎