Amsterdam. Changuion. 1769. Edition originale. 2 parties en un volume in-12 (103 x 178mm) pleine basane racinée, dos lisse orné, tranches rougies, 1f.n.ch., 248 pages et 1f.n.ch., 218 pages, 3ff.n.ch. (table et catalogue de nouveautés). Le titre est chaque fois inscrit dans un cadre évoquant un élégant boudoir. reliure usagée, dos fâné et fendu sur 6 cm, coiffe supérieure arrachée, bon état intérieur.
Reference : ORD-812
Quérard I, 198. Voir aussi le long article que lui consacre le Larousse du XIX°, I, 274.
Librairie Les Vieux Ordinaires
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Amsterdam, Chez Changuion, 1769. "9 x 16, 2 parties, 248 + 218-8 pages, 2 pages de titre gravées, nombreux culs-de-lampe, reliure dos cuir à 5 nerfs, dos : 1 pièce de titre et 5 caissons à motifs floraux, tranches mouchetées, état moyen (bords et coins fortement émoussés; très peu de rousseurs)."
"Dos probablement d'époque, remonté sur une reliure plus récente; 2 parties reliées en 1 seul volume."
Reference : 547447
P., 1794 - vers 1815. 5 pièces réunies en un volume in-8, cartonnage bradel ancien rouge, titre et filets dorés au dos.
La signature de Collin d'Harleville figure sur la première pièce. Une Romance de Martini (15 pp., musique notée) figure entre les 4e et 5e pièces. Table manuscrite sur le contreplat. Coins et coiffes émoussés, cart. solide ; rouss. et brunissures, grandes marges conservées, bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
[Imprimerie Emile Flouret] - DE LA BATUT, Jeanne et Pierre
Reference : 44471
(1900)
1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]
Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.
CBS. non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette en couleurs, l'âge d'or du music-hall. Collection chouette. Petite biographie sur JEAN LUMIERE dérrière la pochette. Du jazz a la java.. . . . Classification : 410-33 Tours
Disque n°52 484 Classification : 410-33 Tours
France Loisirs 1995 in8. 1995. Relié jaquette.
Très Bon Etat