Paris. Antoine Estiene. 1614. In-12 (101 x 158mm) broché, sans couverture, tiré d'un recueil factice, 8 pages, vignette sur le titre, bandeau et lettrine gravés sur bois. Bon exemplaire.
Reference : ORD-3309
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[P., s.n., 1614] Petit in-8 (15,5x10,5 cm) broché, couv. muette moderne, 15 pp.
Important document historique qui marque le début de la révolte du prince de Condé contre la reine. Mouillure très claire, très bon ex. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Paris. Pierre Chevalier. 1614. Avec Permission. Petit in-8 sans couverture, tiré d'un recueil, 19pp.
Exposé minutieux des griefs du Prince de Condé contre les proches de la reine qui ont prostitué tous les ordres de ce Royaume, duquel ils avoient mesuré la duree à leur vie, sans se soucier de ce qui aviendrait apres... Cette lettre, datée de Mézières le 18 février 1614, marque le début de la révolte du Prince et donne d'importants éclaircissements sur ses raisons et motivations. Elle est suivie|1°:-d'une Lettre du même à Messieurs de la cour de Parlement les suppliant humblement de nous y assister de vos conseils et authorités en une si loüable & raisonnable entreprise, comme la plus considerable au service de sa Majesté, & reformation de l'Estat...|2°- d'une Lettre de Monsieur de Nevers a la Royne (Reprise de la Citadelle de Nevers).|Pierre Chevalier, bien qu'il éditât tantôt pour un camp tantôt pour l'autre, devait être arrêté en mars 1614. Il ne fait aucun doute que cette lettre y fut pour beaucoup. La lettre décisive.
S.l.n.d. (datée du 17 May 1614). Petit in-8 sans couverture, tiré d'un recueil, 7pp.
N'y ayant que trop de langues malignes qui prestent comme il leur plaist des charitez à autruy, j'ay sçeu qu'on vous a r'apporté, que j'estois l'Autheur d'un certain libelle, qui a couru soubs le tiltre imaginaire d'une lettre de MM. de la Cour de Parlement de Bordeaux: Mais c'est chose si fausse... La guerre des libelles!
Chez la veuve de Simon Bernard, à Paris 1695, (2) 51pp. (1) ; (2) 41pp. (1) ; 41pp. (3) ; (2) 44pp. ; (2) 41pp. (3) ; (2) 46pp. ; 14pp. ; 8pp., relié.
Edition originale de l'ensemble des textes composant le recueil. Chacune des oraisons comporte une vignette de titre aux armes du défunt et une seconde en bandeau de titre avec un portrait en médaillon ainsi qu'un cul-de-lampe. Les dates des oraisons sont entre 1695 et 1714. Les deux lettres du Cardinal de Noailles qui terminent le recueil sont repectivement de 1712 et 1714. Reliure en plein basane brune mouchetée et glacée d'époque. Dos à nerfs richement orné. Pièce de titre en maroquin havane. Roulette sur les coupes. Frottements en coiffes et sur les mors. Epidermures et taches brunes sur le haut du plat supérieur. 2 traces de mouillure sur l'oraison du Duc de Berry, en haut et en bas de page sur les 4 premiers feuillets. Bonne et solide reliure. Ex-donoGuillaume Ranneville 1714, à la plume, en page de garde. Les deux lettres du Cardinal de Noailles concernent pour la première une défense contre ses contempteurs et pour la seconde une justification de sa position sur la Constitution Unigenitus qui divisa le clergé français, le cardinal réitère dans cette lettre sa condamnation de la Bible de Port-Royal. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, Toussaincts Du Bray, 1614 ; plaquette in-12, bradel papier marbré ( Lobstein). 15 pp. Exemplaire finement établi. EDITION ORIGINALE. Cette lettre datée du 26 mars supplie le Prince (de Condé) de revenir à la Cour.- Ayant épousé en 1608 Charlotte de Montmorency, dont Henri IV était épris, le prince de Condé fut obligé de prendre la fuite en Belgique puis en Italie. Il reviendra en 1614 (peu après cette lettre) sous la Régence de Marie de Médicis qu'il troublera par ses intrigues et son ambition. Sa première révolte date d'ailleurs de 1614 et se terminera par le traité de Sainte-Menehould.- Après la mort d'Henri IV, le poète Nervèze s'était attaché au service de Henri de Condé. Courtisan accompli, il s'illustra dans le """"parler Nervèze"""", caricature de la conversation et de la lettre de cour qui suscita les railleries de Sorel. Il témoigne pourtant d'un souci esthétique qui fut à l'origine de la préciosité. Cioranesco, 51011.- La Bouralière. Bibl. poitevine 411.- Arbour 7250.