Épinal. Pellerin. XIXe. Grande gravure sur bois, richement coloriée à la main, sur une feuille de ca 425 x 635 mm. Texte en bas de feuille. Papier fragile légèrement jauni, trace de pli médian, menus défauts, mais bon état. Photo sur demande.
Reference : ORD-19378
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SOUVENIR NAPOLEONIEN. 1980. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 39 pages - quelques illustrations en noir et blanc dans le texte. Texte sur deux colonnes.. . . . Classification Dewey : 944.051-Histoire de Napoléon 1er
Sommaire : George Sand et les Bonaparte - Le Grand Prix du S.N. à George Sand - George Sand et les Bonaparte - George Sand cousine de Napoléon III ? - Un article inédit de George Sans après la mort de Napoléon III - L'actualité napoléonienne : Réception à l'Elysée de LL.AA.II. le Prince et la Princesse Napoléon; Exposition du Prince Impérial - La vie des délégations - Nouvelles brèves - AG du 3 décembre 1979 Classification Dewey : 944.051-Histoire de Napoléon 1er
Paris : Limoges Ardant frères, 1858.IN12 cartonnage editeur,198p.,rousseurs tranches,bon état
S.l.n.d. (1832) in-8, [44] ff. n. ch., couverts d'une écriture soignée, moyenne et parfaitement lisible (environ15 lignes par page), texte dans un encadrement de filet noir, volutes en débuts et fins de chapitres, quelques rosaces aquarellées au début du chapitre sur la mort de l'Empereur, broché sous couverture d'attente de papier gris, titre calligraphié sur la première couverture.
Très original recueil de pièces, dont la date peut se déterminer par les indications du dialogue fictif en fin d'opuscule : intitulé Le Carliste raisonnable, il met en scène les positions politiques d'un républicain, d'un libéral, d'un "napoléoniste" et d'un carliste, et suppose déjà accomplies les Journées de Juillet et le renversement de Charles X. Par ailleurs, une des pièces recopiées du recueil a été donnée à l'impression en 1832 (cf. infra).On a affaire à un carnet où un fervent de Napoléon a réuni des textes divers, généralement liés à la période impériale, et certains déjà imprimés :1. Mort du maréchal Duroc, duc de Frioul ([1813], ff. 1-2). - 2. Vie du sergent Hubert, digne émule de la gloire de Napoléon (ff. 4-9). Il s'agit de la reproduction d'une pièce imprimée donnée par un certain G. Levasseur à l'adresse de Draguignan en 1832, et qui présente la vie fictive d'un fidèle parmi les fidèles, lequel voudra en 1817 faire évader l'Empereur de Sainte-Hélène. - 3. Du Grand Napoléon. La mort de Napoléon (ff. 11-22, avec plusieurs pièces de vers). - 4. Sentiment d'un citoyen sur les cancers héréditaires (ff. 23-25). Là encore, pièce imprimée sur la mort de Napoléon dont l'ancien soldat et charbonnier Frédéric Degeorge (1797-1854) est l'auteur (Paris, juillet 1821). - 5. Beau trait de Murat (ff. 26-27). - 6. Sentiment d'un ancien guerrier sur la bataille de Waterloo (ff. 28-31, vers attribués à "Eugène Lavestine, chef de bataillon à cheval"). - 7. Le Carliste raisonnable, ou Le Triomphe du libéralisme (ff. 32-35). - 8. Les Préceptes d'un père à son fils, par ordre alphabétique (ff. 36-40). - 9. L'Aigle d'Austerlitz, et le coq gaulois, entretien dédié à la Garde nationale de Paris (ff. 41-44). Pièce imprimée également (en 1830), et dont l'auteur est Pierre Colau. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Le Grand Nostradamus - Revue de science conjecturale et d'humanisme Directeur : Maurice Privat
Reference : 74247
N° 5 - 1re année - Novembre-Décembre 1934 - Revue mensuelle illustrée - Editions de l'Institut Nostradamus - In-8 broché - 64 pages
bon état
[Imprimerie Emile Flouret] - DE LA BATUT, Jeanne et Pierre
Reference : 44471
(1900)
1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]
Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.