Paris. A la Librairie chansonnière de Durand. 1848. Petit in-f°(220 x 323mm) de 4 pages, sans couverture, tel que paru. Tête de série d'une revue qui n'eut que 13 numéros (Hatin, page 490). Exemplaire fragilisé mais complet, pli médian d'origine, assez bon état. Rare.
Reference : ORD-15637
BEAUX ARTS.,CHANSON.,HISTOIRE.,1848.,HISTOIRE.,XIX° SIECLE.,SCIENCES HUMAINES.|ESOTÉRISME._______,SCIENCES SOCIALES.,SCIENCES HUMAINES.|ESOTÉRISME._______,POLITIQUE.,PERIODIQUES.,PERIODIQUES HISTORIQUES.,DOCUMENTS.,DOCUMENTS DU XIX°.
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Imprimerie centrale de Napoléon Chaix et cie. 1848. In-Folio. En feuillets. Etat d'usage, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. Journal de 8 pages + le supplément de 4 pages (8 pages au total) - textes sur trois colonnes - livré sans couverture - 2 photos disponibles.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
N°1 DE LA PREMIERE ANNEE - Sommaire : L'histoire parlementaire de la constituante par M.Buchez - feuilleton du spectateur républicain du 29 juillet 1848 - l'initié par M.de Balzac - théatre de la Porte-Saint Martin - du sens historique de la révolution de février - autres temps autres journaux - de l'interdit des journaux - encore les finances ! - nouvelles de Paris - nouvelles officielles - revue des journaux - situation de la banque de France et de ses succursales au 27 juillet 1848 au matin - nouvelles de l'extérieur - nouvelles parlementaires - nouvelles diverses - assemblée nationale présidence de M.Marrast séance du 28 juillet - bulletin de bourse - Sommaire du supplément : Madame de la Chanterie par H.de Balzac . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Ouvrages en 1 volume. 1). 76 pages. 2). 1 feuillet. Recto dépliant. 3). 1 feuillet. (1 feuillet blanc). 4). 4 feuillets. 5). 44 pages. 6). 4 feuillets. 7). 68 pages. 8). 4 feuillets. (20,5x13 Cm). Demi-percaline de l'époque, "Pepin d'Héristal" imprimé en lettres dorées au dos. Coins et coiffes un peu frottés. Intéressant recueil de pièces littéraires publiées par des élèves du collège Notre-Dame de Tournai, et imprimées dans cette ville. 1). Edition Originale de ce drame historique rédigé par un élève du collège. Le nom de l'auteur est écrit à la main sur la page de titre avec l'inscription "Elève du Père Pruvost". 2). Rarissime programme annonçant une séance académique au collège. 3). Edition Originale de cette pièce en vers composée par un élève. 4). Edition Originale de ce programme de distribution des prix, annonçant un spectacle représenté dans l'enceinte du collège. Envoi manuscrit à la page de titre "A M. Pruvost", et longue note manuscrite au dernier feuillet, "Jeunes Enfants, Des beaux jours du collège Ne perdez point de touchants souvenirs…" 5). Edition Originale. Drame historique composé par un élève du collège. Note manuscrite à la page de titre, "Sous le père Pruvost". 6). Edition Originale. Texte des chants repris par les élèves à l'occasion de la séance académique organisée à l'intérieur du collège, sur l'histoire de Tournai. 7). Edition Originale. Pièce de théâtre composée par plusieurs élèves du collège. Papillon collé aux derniers vers. 8). Edition Originale. Dialogue en vers dédié à l'évêque de Tournai. À la suite se trouvent deux articles extraits de la "Collection de précis historiques, littéraires, scientifiques", signés du père Pruvost, professeur jésuite du collège auquel il est souvent fait référence dans les pièces du recueil et à qui l'on doit peut-être de l'avoir constitué. Rousseurs et taches éparses.
Paris, Garnier frères [imprimé par E. Thunot], 1848, in-12, [2] ff. n. ch. de catalogue, 66 pp., broché sous couverture jaune imprimée. Dos défraîchi, abondantes rousseurs.
Édition originale. Très différente des solutions qui seront retenues ultérieurement, la proposition Proudhon expose un projet de loi qui vise à établir un" impôt du tiers" sur les revenus des propriétés, constituant une "mise en demeure adressée à la propriété de procéder à la liquidation sociale, et en même temps de contribuer, pour sa part, à l'œuvre révolutionnaire". Le tiers prélevé sur les revenus mobiliers et immobiliers aurait été redistribué à parts égales entre l'État et les locataires, fermiers ou débiteurs. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
- Une feuille 44 x 56 cm.
Vieux papier. 1200 affiches apposées dans Paris (mention manuscrite au verso.) Boucquin, imprimeur de la Préfecture de police, 26 juillet 1848.
La Vouivre, 1999, 2 vol. in-8° carré, xvi-241 et 255 pp, édition de Jacqueline Le Gallic-Holleaux et de Didier Paineau, texte sur 2 colonnes, 3 gravures dans le texte, 8 pl. hors texte et 8 cartes (pour le T. 1), une gravure dans le texte, 3 pl. hors texte et 4 cartes (pour le T. 2), index, brochés, bon état
De 1792 à 1848, Pierre Boyer participe aux campagnes de la Révolution et à celles de l’Empire. Il poursuit sa carrière militaire en Algérie, au temps de la conquête. Jeune officier, en Belgique puis en Catalogne, il participe aux campagnes victorieuses de la République. Il gravit rapidement les grades militaires. Après l’avènement de Bonaparte, il part en Italie, puis en Egypte. Échappant à la capture, il est choisi pour participer à la reconquête de la colonie de Saint-Domingue. Il est capturé à son retour par un navire anglais. Prisonnier, il résiste à sa façon, et finit par être échangé contre un officier anglais. Il retourne dans le tourbillon de l’Empire : l’Allemagne en 1806, la conférence d’Erfurt, le Portugal, l’Espagne. En 1813 il lutte contre les partisans, puis est refoulé avec le roi Joseph. La France est envahie, Napoléon a besoin de vétérans et rappelle Boyer en 1814. En 1815, il reprend du service puis est mis à la retraite. Après un long exil, Boyer continue sa destinée militaire, il repart en Egypte entraîner les soldats de Méhémet-Ali. Il revient en France et joue un rôle dans la chute de Charles X. Louis-Philippe l’envoie en Algérie. Boyer combat à Médéa puis est nommé gouverneur d’Oran. C’est lui qui, le premier, entreprend l’aménagement de la baie de Mers-el-Kébir, pour contre balancer le Gibraltar anglais. Rappelé en France, il ne cesse de suivre par le menu et de raconter l’impitoyable guerre contre Abd-el-Kader. Il arrête son récit en 1848, après la capture de l’émir et l’achèvement des installations de Mers-el-Kébir.