Datée du 27 juin 1924. 1 page in-8 avec adresse au verso dans laquelle il recommande une nouvelle très réussie de Léon Vérane pour un prochain numéro, il ajoute qu'il est prêt à céder son tour avec plaisir à son ami Vérane. C'est un poète de grand talent et sa Maison sans numéro a de grandes qualités.
Reference : ORD-15503
LITTERATURE.,LITTERATURE XX°.,AUTOGRAPHES.,LITTERATURE.,RÉGIONALISME.,PROVENCE.,PROVENCE.,VAR.,PROVENCE.,TOULON.
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La Petite Illustration 1923 1 vol. broché plaquette in-4, agrafée, 8-16 pp., 3 photos en noir. Couverture légèrement défraîchie, sinon bon état.
...Merci pour le Chevalier Canepin !...Surnommé le Dickens français, Henri Duvernois est l'auteur de nombreux contes et romans, composés avec un style alerte et familier (Crapotte, 1908 ; Gisèle, 1920). A partir de 1922, il écrivit seul ou en collaboration, un grand nombre de pièces de théâtre : Seul, 1923 ; Le geste, avec Maurice Donnay, 1924.Le Chevalier Canepin est une pièce d'Henri Duvernois créée à la Comédie-Française en 1951 dans une mise en scène de Jacques Charon, avec, notamment, Georges Chamarat et Gisèle Casadesus.
...Le délicieux article et comme il m'a fait chaud au cœur !... s'exclame Henri Duvernois. Il ajoute : ...Je ne souhaite rien tant, en effet, que d'être placé dans le casier P et les deux noms que vous avez cités, celui de Colette et celui de Charlot me sont les plus chers... L'écrivain revient ensuite sur son dernier ouvrage : ...Vous êtes, à peu près, le seul à avoir signalé l'essai de transposition poétique qui me donne tant de mal (et tant de joies) et que je croirais avoir manqué si un écrivain de votre pénétration n'y était pas sensible...Surnommé le Dickens français, Henri Duvernois est l'auteur de nombreux contes et romans, composés avec un style alerte et familier (Crapotte, 1908 ; Gisèle, 1920). A partir de 1922, il écrivit seul ou en collaboration, un grand nombre de pièces de théâtre : Seul, 1923 ; Le geste, avec Maurice Donnay, 1924.
Paris, edite' par Roger Dacosta pour le laboratoire de l'hepatrol, 1936. in-8 de 79-(2) pp.; en feuilles, sous chemise illustree rempliee, etui. illustrations en couleurs de Georges Gaudion à la manière de... Toulouse-Lautrec, Boucher, Vlaminck, Rodin et Friesz. Très bon état. avec un envoi de l'auteur
Ray J4*
Très intéressante correspondance révélant un comédien enthousiaste pour les anciens du théâtre, particulièrement pour Le Bargy. « Le souvenir de sa fascinante personnalité est étonnamment vivant en moi et la sympathie que j’ai reçue de lui a été assurément, le plus encouragement de ma carrière », ainsi que pour l’actrice Julia Bartet, à laquelle il écrit. « J’écris aujourd’hui à Albert Dubeux ma reconnaissance pour la merveilleuse émotion que m’a procuré la lecture de l’ouvrage qu’il a consacré avec tant de talent, de délicatesse, de respect et d’intelligence à votre personnalité et à votre carrière qui sont pour nous des exemples auxquels nous nous reportons bien souvent, à notre époque où nous souffrons de voir le théâtre perdre tant de son éclat et de sa dignité… ». En écrivant à Albert Dubeux, il veut lui manifester son émotion « C’est une œuvre très importante pour le théâtre : son sujet étant le plus digne, le plus parfait, le plus exemplaire qui ait été offert à un critique sincèrement attaché à l’art dramatique. Vous l’avez traité avec un talent digne de la très grande artiste dont vous fixez pour jamais le caractère et le génie… ». 1948, à Willemetz, il lui manifeste sa déception à la lecture de la pièce d’Alfred Gehri. « Je ne vois la dedans aucune spontanéité, aucune sincérité aussi indispensable dans le comique qu’ailleurs. Le comique de ce 3 actes a quelque chose de laborieux….Le tout, comme vous semblez le trouver, d’un ton démodé. Ce n’est jamais sans scrupule que je donne mon opinion sur une pièce car je sais comme il est difficile de juger… ». Il tient à exprimer son regret à ce « Cher Monsieur » de ne pas être l’interprète du personnage de la pièce pour lequel il avait souhaité donner le rôle à Fresnay. « Je serais désolé que vous puissiez croire à mon indifférence de ma part à l’égard de votre pièce ». Il pense que des appointements aléatoires perçus pour cette pièce ne lui permettront pas d’assurer son quotidien, « non que mes craintes s’adressent à cette pièce mais parce que je doute de ma propre action sur le public et que le théâtre de la Potinière est un théâtre difficile… ». [10 août 1931] A Raoul Audier ( ?) A propos de la pièce de Lucien Descaves et Henri Duvernois « La Tuile d’argent », jouée à la Potinière. « Il y a plusieurs mois Messieurs Descaves et Duvernois ont bien voulu me parler de ce personnage et je leur ai moi-même signalé le mois de mars 1931, comme la date la plus proche où je puisse envisager d’être libre. Ils ont bien voulu aussi me proposer de me faire connaître la pièce dès qu’elle serait achevée… ». On joint un manuscrit autographe de Fresnay (4 pp. in-8) à propos d’un entretien avec Erich Von Stroheim portant sur ses rôles et sur le film « La Grande Illusion ».